sábado, 6 de febrero de 2021

Réactions: Sarkozy a "beaucoup de difficultés avec le monde paysan" - Libération

Sarkozy a «beaucoup de difficultés avec le monde paysan»

C'est Jean-Michel Lemétayer, le président de la FNSEA, qui le dit. Il déplore que le chef de l'Etat ne vienne qu'à la fin du salon de l'agriculture, qui ouvre samedi à Paris, et ne l'inaugure pas.

189 commentaires affichés.

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La France
Le pays où vous arrachez des paysans, il pousse des subventions. FNSEA le syndicat qui a fourni les ministres-lobbyers à tous les gouvernements et présidents de droite et ç'a le front de chialer.
Samedi 27 février à 19h17
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les aides
Un Président de la République a-t-il des problèmes avec la chose agricole dès lors qu'il n'inaugure pas le Salon de l'Agriculture ?
C'est encore demander à un élu de jouer les "assistantes sociales" d'une corporation ou d'une profession. Et la demande d'aide est bien là pour me conforter dans cette analyse.
Le problème des agriculteurs aujourd'hui n'est-il pas de pouvoir vivre des revenus de leur exploitation. Que beaucoup aient des problèmes de trésorerie, je ne l'ignore pas, mais je ne suis pas sûr que les promesses, aussi folles soient-elles, puissent changer la réalité des difficultés de consommateurs à assurer la viabilité des exploitations agricoles.
Si j'avais à dire quelque chose aux agriculteurs, c'est que nous comprenons tous leur combat. Le problème des prix dans les supermarchés et hypermarchés, nous en sommes en partie responsables quand, parce que les revenus stagnaient, nous avons cherché à payer des produits moins cher.
La filière courte, si j'en crois les propos que j'ai lu dans les Dernières Nouvelles d'Alsace de ce jour, ne sera pas la solution à tous les problèmes, et je préfère que ce soit expliqué ainsi.
Le Salon de l'Agriculture est la vitrine parisienne de l'agriculture, et je crois plus à la relation des producteurs avec les consommateurs qu'avec des élus. Expliquer son métier, c'est gagner des clients quand ceux-ci ont l'occasion d'acheter à la ferme, chez le viticulteur, ... Comment le rendre possible ? Comment permettre à des consommateurs qui sont touchés plus par les effets de la crise que par la crise elle-même de consommer des produits qui sont vendus directement ?
Le combat, nous le gagnerons ensemble, les consommateurs et les agriculteurs.
Samedi 27 février à 18h08
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Moi y'en a vouloir des sous.
Lemetayer ne sait que demander des sous et encore des sous cela n'a d'effet qu'à court terme.Il est temps de repenser notre agriculture et enfin payer le VRAI prix ainsi une grande partie de Pbs serait résolue. En effet est-til normal d'importer du lait ou des fruits de Nouvelle Zélande parce qu'ils sont moins chèrs ce qui contribue à faire chuter le prix du lait en France et en Europe sans compter le bilan carbone catastrophique alors qu'on les brise menues avec ce fameux bilan carbone, vous savez ce machin que tout le monde est pour quand ça emmerde les autres.
Samedi 27 février à 11h09
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PAC piège à con
Cette politique arrange surtout les distributeurs et les banquiers mais pas les consommateurs ni les agriculteurs. On exporte à des prix défiant toute concurrence vers des pays pauvres ce qui casse leur marché et on importe à des prix défiant aussi toute concurrence ce qui casse notre marché. Le dumping sur les denrées alimentaires est lamentable. Par exemple nos paysans en bretagne qui produisent du porc en masse à un prix insignifiant ne s en sortent pas et polluent les nappes, si on leur baissait leur production et qu'on la leur payait à un prix raisonnable ils s'en sortiraient mieux et les nappes aussi. Il faut raccourcir les filières et nous réapproprier notre marché intérieur!!!
Samedi 27 février à 13h22
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Il n'aime pas le peuple.
Il n'aime que les dorures et les people. Il ne doit pas savoir que si il mange (bien) , tous les jours c'est aux paysans qu'il le doit, eux qui se salissent pour nous nourrir. Même pas la reconnaissance du ventre. Ceci dit , le monde ouvrier n'a pas non plus sa considération.
Samedi 27 février à 10h25
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Vrai oui
Il n'aime pas tellement la bonne bouffe, sauf le chocolat qui ne pousse pas sur les arbres et dans les champs. Il ne boit pas de vin. Le terroir pour Sarkozy, c'est crade et sans valeur. Bling.
Samedi 27 février à 17h38
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Nicolâche Sarkozy
Je crois que, au moins pendant la durée du Salon de l'Agriculture (27 février - 7 mars), nous ne devrions plus appeler notre exceptionnel président que "Nicolâche Sarkozy".

Car enfin voilà quelqu'un qui, il n'y a encore pas si longtemps, nous le jouait "hyperprésident", présent sur tous les fronts, et d'abord sur le terrain à la rencontre des catégories socioprofessionnelles touchées par la crise, toujours prêt à mouiller sa chemise et à affirmer : "Je ne vous abandonnerai pas".

Et puisque l'on parle des catégories socioprofessionnelles touchées par la crise, il en est une, l'agriculture, qui est en train de mourir, tout simplement : les agriculteurs ont, en moyenne, perdu en deux ans plus de la moitié de leur pouvoir d'achat, les fermetures d'exploitation se multiplient, etc.

L'ouverture, aujourd'hui, de cet important rendez-vous annuel de la profession pouvait être l'occasion d'entendre les doléances des uns et des autres et, peut-être, d'annoncer un grand plan de sauvetage de l'agriculture française. Au lieu de quoi, notre hyperprésident, craignant - sans doute à juste titre - de se faire accueillir par une bronca soignée, décide de ne pas inaugurer le Salon (une première dans la Vème République) et d'abandonner en rase campagne un monde agricole en perdition.

L'Elysée annonce que le président viendra à la... fermeture du Salon (sans doute au milieu d'une "bulle" d'hypersécurité et quand le dernier visiteur non-UMP sera parti).

Il reste à savoir comment cette dérobade sera appréciée du monde agricole, y compris des nombreux agriculteurs qui avaient voté pour Nicolâche Sarkozy.




Samedi 27 février à 09h17
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Si c'est pour injurier une fois de plus
qu'il reste chez lui, il n'osera peut-être pas recommencer son exploit verbal ( il n'y a que ça qu'il sait faire et démolir tout ce qui était bien et avait été mis en place) mais les régionales approchant, il va encore passer de la pommade, au fait cette pommade est-elle dans la nouvelle liste des médicaments déremboursés (dans cette liste il y en a beaucoup d'efficace mais ils ne coutent pas très chers donc on les dérembourse et on augmente leur prix c'est comme cela à chaque fois = on sait encore fait couillonner)
Samedi 27 février à 09h15
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Pas de pommade...
... il ne vient pas, Nicolâche, tout simplement.

Ou alors quand tout sera fini, et bien "entouré".

Les présidents précédents, Giscard, Mitterrand et surtout Chirac (grand spécialiste des bovins, comme on sait) se faisaient un devoir, et parfois un plaisir, d'être à ce grand rendez-vous de la France rurale.

Il est vrai que le monde de Nicolâche Sarkozy est ailleurs : ancien maire de Neuilly-sur-Seine, grand ami de Bolloré et de quelques autres du CAC 40, tendances bling-bling, et j'en passe...
Samedi 27 février à 11h43
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Lemétayer ?
Toujours main dans la main avec Sarkozy, il est un des défenseurs de cette agro-industrie ultra-productiviste qui pour lui, a désormais relégué l'agriculture traditionnelle au rayon de l'archaïsme.

Lemétayer gémit parce que Sarko ne vient qu'à la fin du Salon ? Parce qu'il croit que s'il y était venu aujourd'hui cela aurait réglé les problèmes des agriculteurs ? L'image, toujours l'image... et rien derrière. Cette année, des milliers d'exploitations vont encore fermer mais cela finalement, la FNSEA ou l'UMP n'en ont que faire !

Dans "Salon de l'Agriculture", il y a "agriculture" certes mais il y a aussi et surtout "salon", et c'est bien ce côté "salon" qui intéresse nos médias, plus que la mort à petit feu de l'agriculture ce qui les interpelle c'est bien le défilé de nos hommes politiques qui viennent y parader annuellement de façon rituelle et obligatoire, tel de lamentables pélerins en panne d'idéaux et de courage.
Samedi 27 février à 08h38
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Normal
Ces gens-là ne dînent pas au Fouquet's, ne possèdent pas de yatch, ont la cinquantaine passée et ne portent pas de rollex et ne pourront jamais l'inviter dans leurs magnifiques propriétés aux quatre coins du monde.
Samedi 27 février à 05h30
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Allez en campagne
Ils n'ont pas de Rolex mais vous seriez étonné du train de vie de certains et de leurs patrimoines, en campagne l'argent ne se montre pas, mais en grattant un peu vous pourrez voir des paiements en cache qui feraient pâlir d'envie les dineurs du Fouquet's.
Samedi 27 février à 08h47
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S.I.A les ANNEES DE VACHES MAIGRES
AN:1
vous avez jeté votre lait
l'EUROPE vous a bichonné tant qu'elle avait besoin de vous
pour obtenir des subventions vous vous etes soumis
resultat:vos vaches donnent du lait 7 ans au lieu de 20
vos laitieres on les dirait sorties d'un camp de concentration
je ne vous dirai aussi "vache folle"
productivité à tout prix
Aviez vous le droit de traiter ainsi vos animaux!
heureusement,certains parmi vous ont toujours été respectueux
de leurs bêtes
ressaisissez vous
les BANQUIERS ont pour but que vous "bouffiez la FERME"
Petits eleveurs:Evitez l'INRA Travaillez proprement
nous achèterons vos produits
nous refusons les OGM
NOUS SOMMES NOMBREUX
Les poules en batterie:c'est un scandale ABSOLU
Tendez vers le BIO
Samedi 27 février à 05h11
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Rien d'étonnant
Le président actuel, contrairement à ses prédécesseurs, n'est pas issu de notre terroir : né en RP, ayant toujours vécu en RP, il n'est à l'aise qu'au milieu du béton et de la pollution urbaine. Sa notion du paysan se limite aux pubs pour Cochonou ou Roquefort.

La seule vache qu'il connaît, c'est surtout cette grosse vache à lait de contribuable...
Samedi 27 février à 00h53
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