Chéri(e) je t'aime, chéri(e) je t'adore
Déclarez votre flamme sur ce forum
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- En panne d'inspiration ?
- EPOUSE MOI
J'ai pas la part du lion, j'ai pas le ventre à terre
J'ai pas une occasion, j'ai pas une idée claire
Non, non, non...
J'ai pas d'ordre à recevoir, j'ai pas le bon CV
J'ai pas souvent d'rencard, j'ai pas de conseil à donner
Non, non, non...
Epouse-moi, épouse-moi
Et défie-toi des apparences
J'suis un gars un bon gars
A qui pourrait sourire la chance !
J'ai pas le rock dans la peau mais j'ai pas les mains moites
J'ai pas l'air trop costaud et j'ai pas le ciel pour dernier terrain vague
Non, non, non...
J'ai pas la bosse des math, j'ai pas demandé à naître
J'ai pas le choix dans la date, j'ai pas l'humour d'un maître
Non, non, non...
Epouse-moi, épouse-moi
Etc.
J'ai pas fini mon verre, j'ai pas dragué ta soeur
J'ai pas le nerf de la guerre, j'ai pas le sens du bonheur
J'ai pas la fleur au fusil, j'ai pas les artères de mon âge
J'ai pas super envie
Hem... J'ai pas le goût du mariage !
Epouse-le, épouse-le
Et défie-toi des apparences
C'est un gars, un bon gars
A qui pourrait sourire la chance
Epouse-le, épouse-le
Et pense à repeupler la France
C'est un gars, un bon gars
A qui pourrait sourire la chance
Mais j'ai pas beaucoup d'argent, j'ai pas de ballon de foot
J'ai pas que des bons plans, j'ai pas de copain scout
J'ai pas la poésie dans le sang, j'ai pas de prophéties en stock
J'ai pas le culot de mes grands-parents, j'ai pas le respect de mon époque
Epouse-le, épouse-le
Et défie-toi des apparences
C'est un gars, un bon gars
A qui pourrait sourire la chance
Mes Souliers sont Rouges - "5"
- Dimanche 28 février à 17h01
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- A moi...
Je m'aime...
Je suis beau,
Grand,
Intelligent, surdoué, même
Je m'aime...
62% des français ne m'aiment pas...
M'en fout, moi je m'aime...
Et Carlita même m'aime...
Je vais faire voter une loi pour OBLIGER les français à mémés
Pardon je voulais dire à m'aimer...
signé : Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa
Même mon nom est beau... Oh putain que je m'aime....- Dimanche 28 février à 00h39
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- Exit to chatagoune-goune
- Amours-crayons-bites-enfoncés
Dans les tubulures glauques du vent
L'ange a léché le chimpanzé
Sur l'autel des agonisants
Clinic-woman-cœur-manivelle
Tournant dans le soleil couchant
Ce soir je sors de ma poubelle
Pour provoquer tes océans
Cafards-gardiens-d'enfer-casqués
Défilant dans mes nuits d'automne
M'accusant de ne plus tricher
Devant ta pompe à méthadone
Rue Morgue-avenue Desperados
Dans les barbelés du goulag
Ce soir je sors de mon blockhaus
Pour me parfumer à ta vague
Je danse pour toi petite
Je bande pour toi petite
Délires-désirs-corps entraînés
Dans les brouillards du crépuscule
Parfums-sexy coeurs gominés
Tension-danger-sortie-capsule
Jadis cavalier du néant
Je reviens en vampire tranquille
Dans ta nuit maquiller les blancs
De ton calendrier de petite fille
Je danse pour toi petite
Je bande pour toi petite
Curieux soleil de plexiglas
Dans la vitrine des marchands d'ours
Gyrophares sur mes pataugas
Nitroglycérine à la bourse
Filmé par les Mau-Mau
Par les stups et les contes de fées
Je planque mon secret sous ta schizo
Et m'accroche à ton corps blessé
Amant-mutant matant nos stances
A l'ombre des amours gadgets
J'endors mes cadences en instance
Et me balance à ta planète
Inutile d'afficher nos scores
Aux sorties des supermarchés
Les dieux sont jaloux de nos corps
Nous balayons l'éternité
Je danse pour toi petite
Je bande pour toi petite
Hubert-Félix Thiéfaine
(hum... cette basse... là ! et l'orgue, hum l'orgue ! la trompette... ah ! la trompette...)
Béru - oOops - Samedi 27 février à 10h47
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- J'ai mon âme qui déraille....
- Mon blues a déjanté sur ton corps animal
Dans cette chambre où les nuits durent pas plus d'un quart d'heure
Juste après le péage assurer l'extra-ball
Et remettre à zéro l'aiguille sur le compteur
Ton blues a dérapé sur mon corps de chacal
Dans cet hôtel paumé aux murs glacés d'ennui
Et pendant que le lit croise l'aéropostale
Tu me dis reprends ton fric aujourd'hui c'est gratuit
Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Tu m'arraches mon armure dans un geste un peu lourd
En me disant reviens maintenant je te connais
Tu me rappelles mes amants rue barrée à Hambourg
Quand j'étais l'orpheline aux yeux de feux follet
Tu me rappelles mes amants perdus dans la tempête
Avec le coeur-naufrage au bout des bars de nuit
Et tu me dis reviens je suis ton jour de fête
Reviens jouir mon amour dans bouche-agonie
Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Le blues a dégrafé nos coeurs de cannibales
Dans ce drame un peu triste où meurent tous les Shakespeare
Le rouge de nos viandes sur le noir sidéral
Le rouge de nos désirs sur l'envers de nos cuirs
Et je te dis reviens maintenant c'est mon tour
De t'offrir le voyage pour les Galapagos
Et je te dis reviens on s'en va mon amour
Recoller du soleil sur nos ailes d'albatros
Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille - Samedi 27 février à 19h37
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- Plus douce sera la chute
- le boxeur qui est allé jusqu'au bout
de ses forces pour rester debout
ce champion qui saigne sur le ring
il recule en encaissant les swings
mais il n'a plus peur de la défaite
on peut presque dire qu'il la souhaite
plus douce sera la chute
pour celui qui va perdre, celui qui lutte
encore et qui attend cet upercut
le coup de grâce enfin qui l'exécute
plus douce sera la chute
quand elle va claquer la porte derrière elle
quand après votre dernière querelle
tu sauras que tout est bien fini
que tu viens de vivre l'agonie
d'un amour destiné à mourir
tu n'auras plus la force de souffrir
Plus douce sera la chute
pour toi qui vas tout perdre, pour toi qui luttes
encore et qui attends cet uppercut
le coup de grâce enfin qui t'exécute
plus douce sera la chute
en perdant la femme que tu aimes
plus que tout au monde plus que toi-même
tu t'étonneras qu'un des sentiments
qui t'envahiront soit l'soulagement
comme si on pouvait trouver somme toute
quelque volupté dans la déroute
plus douce sera la chute
pour toi qui va tout perdre, pour toi qui luttes
encore et qui attends cet uppercut
le coup de grâce enfin qui t'exécute
plus douce sera la chute
crois-moi,
plus douce sera la chute
pour celui qui va perdre, celui qui lutte
encore et qui attend cet uppercut
le coup de grâce enfin qui l'exécute
plus douce sera la chute
- Vendredi 26 février à 10h27
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- Seasons in the Sun (1974)
- Goodbye to you, my trusted friend.
We've known each other since we're nine or ten.
Together we climbed hills or trees.
Learned of love and ABC's,
skinned our hearts and skinned our knees.
Goodbye my friend, it's hard to die,
when all the birds are singing in the sky,
Now that the spring is in the air.
Pretty girls are everywhere.
When you see them I'll be there.
We had joy, we had fun, we had seasons in the sun.
But the hills that we climbed
were just seasons out of time.
Goodbye, Papa, please pray for me,
I was the black sheep of the family.
You tried to teach me right from wrong.
Too much wine and too much song,
wonder how I get along.
Goodbye, Papa, it's hard to die
when all the birds are singing in the sky,
Now that the spring is in the air.
Little children everywhere.
When you see them I'll be there.
We had joy, we had fun, we had seasons in the sun.
But the wine and the song,
like the seasons, all have gone.
Goodbye, Michelle, my little one.
You gave me love and helped me find the sun.
And every time that I was down
you would always come around
and get my feet back on the ground.
Goodbye, Michelle, it's hard to die
when all the bird are singing in the sky,
Now that the spring is in the air.
With the flowers ev'rywhere.
I whish that we could both be there.
We had joy, we had fun, we had seasons in the sun.
But the stars we could reach
were just starfishs on the beach - Jeudi 25 février à 21h53
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- à sophia thor
- merci Sophia de m'avoir remis en mémoire cette superbe chanson, que je n'avais pas écoutée depuis des siècles (et je vais réparer cet oubli en me connectant sur Deezer, immédiatement)
c'est Brel qui en avait fait une adaptation sous ls titre "adieu Emile je t'aimais bien" et qui parle de lui en disant "tu prendras soin de ma femme" ... ah ah ah - Samedi 27 février à 11h26
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- ca, c'est de l'amour
- C'est la grosse bite à Dudule,
J' la prends, j' la suce, elle m'encule,
Ah ! les zamis, vous dire que c'est bon
Quand il m' la carr' dans l'oignon.
C'est pas un' bite ordinaire
Quand il m' la fout dans le derrière,
Je m'sens soudain, toute remplie
Du cul jusqu'au nombril,
A Dudu-u-le - Mercredi 24 février à 00h05
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- Complainte amoureuse (Alphonse Allais)
- Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Ah ! Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le dise
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez ?
Alphonse Allais - Mardi 23 février à 18h45
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- Mummy
La femme est transportée sur le lieu de sacrifice
On l'a enroulée dans une bande de tissu
Serrée et raide comme une momie.
Le visage est découvert ou pas
Les yeux regardent ou pas
Le regard des hommes
Qui visent
A même le sol un trou creusé
On l'introduit dedans
On rebouche on tasse la terre
Jusqu'à la taille ou jusqu'au cou
La femme est érigé
Cinq ou six mètres autour
Un cercle de justice
Un homme se baisse
Petit tas de pierres
Il vise
A chaque pierre le corps oscille
Quelques secondes après
Lentement
Un homme se baisse
Mâchoire œil cerveau
Brisures
Au sommet du monticule
La tâche rouge se répand
Un homme se baisse
Une pierre
Un homme
Mon amour
- Mercredi 17 février à 19h21
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- Kalaknikov
- Moi c'est simple, je sors ma mitrailleuse lourde de GI et je dézingue.
Ouais, bon, c'est pas poetique mais c'est efficace au moins!
Pas vrai lolo?
Bon, faut dégager la femme de tout ce sang et de cette viandasse de taliban, ah oui sous cette tripe la, je pousse le cervelat de la chiure et de la vomissure du talib, oui elle est encore vivante...Faudra prendre un bain cocotte, et sans burka...
Bon faut nettoyer ça, hé les gars un coup de napalm la dessus...Nettoyez moi ça, en plus on va pas attraper des maladies...
On est des civilisés, ho!
- Jeudi 18 février à 23h41
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- Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- MARDUK bleached bones, opportun. Les premiers couplets :::
- Loving the dead
A torso, a hand or a severed head
The cemetery girls don't say no to their fate
When their bodies gets too rotten
Their skeletons do great
Lurking in the shadows with you on my mind
I'm engulfed by your beauty:
I'm a man who's gone blind
Watching you move so graceful this night
I'm going to catch you how I long for this fight
Smelling your hair as I'm working my knife
I adore how you scream when I take your life
How I love your pale white skin
And the emptiness in your lifeless eyes
And how I love the warmth within
Like the blood that sprayed
When you stopped your cries
Your naked corpse is as beautiful
As the dawn when it comes with the first sunray
But it was your peeled bleached bones
That really took my breath away - Mardi 16 février à 17h06
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- Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- ...
- Comme c’est bien de faire l’amour
Mille et un désirs inavoués
Qui s’exécutent dans la pénombre
Tendrement au lever du jour
Sur le mur, jouant dans l’ombre
Le spectacle de nos corps mêlés
Que s’éternisent ces fragments
Que le temps si vite va consumer
Que le feu de nos passions va si vite dévorer
Que la vie, si vite, va enfouir
Laissant place à d’autres instants de plaisirs
Qui de même se conjugueront au passé
Dans l’abîme infini de nos mémoires fatiguées.
Depuis des siècles, nous nous aimons
Depuis si longtemps, nous nous déchirons
Mais dans ta chambre, sur ce mur blanc
Nos ombres se conjuguent encor’ au présent
Faisant pâlir le ciel de l’aube.
Au creux de l’aurore
Mon Amour je t’aime encore.
- Lundi 15 février à 15h38
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- Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Jam
- si ça vient de ton hotmail, tu peux tout à fait garder ta fiche, ton avatar et tout, ... mais changer juste que l'adresse. Tu en crées une autre pour la remplacer.
Si tu me reçois sur orange, si tu veux je t'explique . - Lundi 15 février à 19h20
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- Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A carole
- Ben apparemment..: il y a la f^te des mères, pères, amoureux..la semaine de la bonté, et de je ne sais quoi...Tu citais Lordon ds un post (excellent, ses livres), là c'st la financiarisation des sentiments...
- Dimanche 14 février à 23h01
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- Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à carolspleeni -soif d'être # soif d'avoir & quintescence
- "l'amour et l'eau fraiche" ça coupe ni la faim ni la soif...
Avant -très longtemps avant dans le temps- on aimait à en mourir, maintenant on aime pourrir et la valeur des sentiments se jauge au prix de ce que l'on offre ou reçoit.
La "crise" va, par essence, remettre du bon sens chez ceux dont les sens frémissaient plus au son des espèces investies qu'à l'espèce des sentiments ressentis...! - Lundi 15 février à 12h15
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