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587 commentaires affichés.

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Répertoire 2011 des 400 sites de salons et biennales
Arts visuels: Le répertoire des 400 sites de salons, biennales, foires, festivals, marchés, symposium

Edition 2011 est en ligne

Il est proposé en libre téléchargement sur le site :

www.salons-biennales.com

Vous trouverez sur ce répertoire les informations suivantes :

- Salons généralistes par tendances
- Salons et marchés ( avec stands )
- Bourses, prix, concours
- Salons spécialisés
- Ateliers portes ouvertes
- Salons et foires à l’étranger



Contact : Etienne Caveyrac

Jeudi 21 avril à 17h26
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Où ça de l'art ?

avec la protection des droits d'auteurs il est totalement impossible de voir de l'art contemporain sur le net . L'image a disparu des média . c'est con qu'en même, mais avec le net on est pas à une connerie près ...


qui peut me trouver plus de 3 toiles de Pasqua sur le net ?

Jeudi 31 mars à 13h52
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mirakl (1471)
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Sacrée...

Je me souviens, d'un dimanche sans vie, où inspiré de rien je cherchais mon oubli. Les heures de la veille, tendues jusqu'au matin, avaient remplies l'espace d'une journée sans merveille. L'ennui, ce festin, dressait sa table imaginaire. Les plats se succédaient, farandole illusoire, gâtés par une main qu'aucun mets ne décident. L'amertume des gouts évanouis d'absence, s'affairait du silence que les mots accompagnent. Là, muré dans le vide, au carrefour de l'aube, à cet instant précis où la nuit se dérobe et pare de clarté les souvenirs enfouis, se révèle l'envie blessée par le dépit.

Cette blessure profonde se soigne à coup de pas. De flânerie sans but. La douleur s'efface dans l'autre, inconscient du partage. Elle s'habille de plaisir du mouvement d'une foule. Elle se dessine de joie sur les traits d'un visage. Elle ravive le désir dans les doigts du hasard. La douleur se tait de ses cris intérieurs lorsqu'au dessus d'elle se tend une passerelle où dansent les sourires, les regards amoureux.

Appesantis de notre sort, complices. Surpris de ce piège que la vie nous réserve, et pourtant attendu. Fébriles, à remuer sans fin un café déjà froid. Étonnés de l'autre qu'il ne fût que lui-même. Le temps n'avait plus prise, il était notre allié.

Impatients, boulimiques comme ces papillons d'un jour. Nous voulions tout voir, tout entendre, tout vivre.

Guidés par l'urgence que l'indicible suspend, nos cœurs noués d'incertitudes se berçaient d'évidences. Nous marchions unifiés du pluriel. Sous nos pas se pressait l'avenir, fruit d'une rencontre au nectar du présent.

Nos yeux se croisaient pour écrire une histoire. Sur nos joues empourprées se mêlaient les promesses. L'amour, capricieux, nous avait incarné.

Nos pas, d'une seule trace, nous avaient guidé vers le palais de Tokyo. Rien ne nous avait disposé à son accès. Sans doute, contemporain, avait fait résonnance aux questionnements inconscients de notre rencontre. Peut-être, cherchions nous dans cet espace voué à la modernité, les réponses à l'immédiateté et ainsi figer dans nos mémoires, sous l'œil bienveillant d'installations éphémères, une consécration.

Symbole charnel de ces œuvres, nous les envisagions avec la profondeur nécessaire à la légèreté.

*Les salles s'enchainaient, ici un seau dégueulait des galets, dont certains étaient peints de couleurs vives. Là, une chaise de maitre nageur défiait l'horizon d'un mur proche. Des écrans vidéo passaient en boucles des bribes de conversations, écho du vacarme inaudible de nos égos. Des mannequins fondus, figuraient une apocalypse fusionnelle où les protagonistes liquéfiés répondaient de leurs plaisirs consuméristes, en mélangeant peaux et habits. Un gogol nous étourdissait de son vertige infini. Des barreaux fixés au mur définissaient les limites de nos perceptions et construisaient les prisons de nous-mêmes.
Tous ces artistes nous évoquaient et se jouaient de nos sens, comme au rebond. Impact et suspension. Mais en fin de parcours, au bout du couloir, alors que les découvertes semblaient s'être arrêtées, à l'heure des critiques, des explications, des incompréhensions, un artiste avait décidé de nous poser la question ultime. Son installation consistait en un matelas d'environ 30 cm d'épaisseur piqué de gros boutons colorés et barrait le chemin qui menait à la sortie. Devant nous, le hall d'accueil, à rebours toute l'exposition. Et comme si cela ne suffisait pas, un vacataire impassible était assis sur une chaise à quelques mètres de l'œuvre. Toute la condition humaine convoqué à l'action.
Les timides rebroussant chemin. Les polis demandant au vacataire une autre sortie. Les extenués, profitants des polis et de l'inattention du vacataire pour traverser le plus vite possible. Puis lorsque le gardien, que je soupçonne d'être l'artiste, donnait son feu vert, les méthodes de passages. Hardis, respectueux, amusés, d'autres encore cherchant à contourner par les bords. Le tout dans un ballet drolatique, tenus par l'instabilité du support. Pauvres humains, confrontés au rapport à l'art et à son sacré. Acteurs involontaires, faisant corps avec l'œuvre. Bravo l'artiste.

Et vous face à l'art ???

Une passion est sans suite, ou sa suite est raison.


J'avais sur la roche, ton nom saxifrage
Percé le mystère des êtres attendus
Patient de l'hiver qu'il fut printemps de rage
L'été elle m'apprit, des automnes rendus


* interprétation personnelle

PS: z'cusez les fôts d'ortografs, j'étais à la buissonnière…

Dimanche 20 mars à 18h47
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kristg60 (1770)
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UN PETIT PEU SUR ELLE

Bonjour,
je republie un post du mois d'Août dernier....

"Je m'aperçois que le film "Tournée" et l'article de Vendredi dernier dans Libération sur l'acteur Michel Simon ont fait ressurgir un souvenir bien lointain:
Avant d'être la bourgeoise bècebège un peu réac, ma mère fut, juste apres la seconde guerre mondiale meneuse de revue dans un cabaret aux danseuses dévètues avec des petites étoiles sur le bout des seins...
En même temps, elle exerça le métier de figurante dans quelques films de l'époque et rencontra Michel Simon -et d'autres- avec qui elle se lia d'amitié et correspondit jusqu'à la mort de ce dernier en 1975.
En parcourant une partie de cette correspondance, on retrouve chez l'acteur suisse à la fois toute sa liberté de ton, sa mysanthropie et son pessimisme sur l'avenir de la nature humaine....
En 1970, j'ai eu la chance -j'avais 10 ans- de déjeuner avec lui et mes parents au restaurant et garde le souvenir d'un Monsieur impressionnant, gentil, un peu exentrique et très prevenant.
Voilà, le film d'Amalric m' a fait remettre le nez sur certaines photos de ma mère sur scène et depuis toujours, j'ai l'impression que c'est quelqu'un d'autre.....
Voilà, modeste anecdote...."



A ujourd'hui,
la vie,
le passé de ma mère va prendre écho dans un évènement culturel et médiatique.....
Il s'agit de l'expo Van Dongen au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris.
Au début de sa carrière, ma mère fut repérée par le peintre qui en fit un des ses modèles....
Alors, voilà,
la vie mystérieuse de cette femme pudique et secrète à mes yeux fait intrusion de façon surprenante, par des photos, des souvenirs racontés et surgis par inadvertance....

Voir certaines oeuvres me fera découvrir aussi quelque chose hors du temps, loin de l'image de cette maman sévère et exigeante....
Je m'aperçois que je ne connaissais pas ma mère....
A moins d'être totalement intrustif dans son passé....

Demain,
vais-je la reconnaître ?

Je vais encore partager avec elle, par delà la mort,
des souvenirs sur des sujets qui me tiennent à coeur.....

J'appréhende ce trop plein d'émotions....

Cordialement
K
Vendredi 18 mars à 09h14
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Hein quoi qu´est-ce, Krist ?!

ne nous dites pas que vous pouvez pas voir votre mum en peinture* !

Bé vous faites bien de nous prévenir, parce qu´une fois que vous vous serez remis de cette secousse prismatique, j´espère bien que vous viendrez nous en parler ici-même !

Figurez-vous que mamumamoi enseignait les lettres classiques. Elle a longtemps eu affaire à des classes qui se préparaient au Bac Technologique, donc masculines dans une très large majorité, et dont la priorité n´était pas forcément des embrouilles réflectives intertextuelles sur la subjectivité de l´abstraction langagière en poésie...

Quand il arrivait que l´un ou l´autre des costauds l´exaspère à fond, elle lui disait de prendre la porte. Le gaillard se levait alors et... commençait à faire le zouave en sortant la porte de ses montants, ce qui faisait se gondoler les potes (et moi qui, gamine, me régalais de ses aventures quotidiennes). Ça reste malgré tout pour elle, je crois, d´excellents souvenirs professionnels parce que le courant passait bien. En signe de reconnaissance à la fin d´une année, des élèves lui avaient offert une souris blanche. On l´avait baptisée Téfole (d´après l´appellation de la section : TF)

Quand elle n´a plus enseigné, elle s´est dit que c´était son tour de reprendre le chemin de l´apprentissage. Elle a suivi pendant des années des cours d´histoire de l´art. Il me semble, si mes souvenirs sont bons, qu´elle bossait pas mal sur les Primitifs flamands.

Mais si elle avait pu, jeune, demander à quelqu´un qu´il lui taille le portrait, j´crois bien qu´elle aurait jeté son dévolu sur Picasso, parce que quoi qu´il en soit, il reste son maître absolu.

Voilà.

Merci Krist et surtout, prenez soin de vous !

* scusez le jeu de mots affligeant, mais rien de mieux dans ma besace ce soir... La journée m´a tuer.
Vendredi 18 mars à 20h43
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Merci K

Je ne connaissais pas ce peintre. J'ai regardé une série de photo-repro de quelques-uns des portraits (Probablement pas de votre mère puisque les toiles datent du début du siècle :-) La chair de ses modèles est verdâtre, un comme comme chez Bacon. Au début me suis dit qu'il était plus peintre de la laideur que de la beauté, puis j'ai trouvé quelques portraits de femmes très attirantes avec des regards énigmatiques, sombres, ou élégants, des yeux de parisiennes. J'ai aussi parcouru sa bio, ses apparitions parmi l'expressionnisme allemand et son 'adhésion' au fauvisme, l'artificier paraît-il et aussi qu'il fût le 'peintre des névroses élégantes'^µ¬
J'ai appris que van dongen avait aussi participé à un voyage organisé par Goebbels. Bigre ! on sent la pleine vie... tumultueuse.
Merci K pour cette découverte. J'aurais certainement l'occasion de voir l'expo au Musée d'Art moderne d'ici juillet. C'est très enrichissant de posséder aussi le regard d'un peintre sur sa mère.
Vendredi 18 mars à 23h41
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L´Orientalisme en Europe de Delacroix à Kandinsky**

Orient exotisme colonialisme impérialisme hégémonie France Angleterre Allemagne aquarelle politique Constantinople Paris Orient-Express Port-Saïd mosquée lapis-lazuli coupole Jean-Léon Gérôme lumière ombre blanc ébène fascination stéréotypes Napoléon Bonaparte temple pharaonique esclave pyramide baïonnette sang christianisme essor arabe bédouin Franz von Lenbach carton orange souk narguilé Renoir Alger plastique image nubienne foi muezzin éternité biblique harem nu noir Bosphore tapi Jaffa lamentations mur musulman Allah antisémitisme Baalbek Mésopotamie David Roberts ornements reliefs céramique minaret caravansérail marbre bronze tigre gavial jaguar A.L Barye serpent mort Cléopâtre Hans Makart Nil colonne hiéroglyphes massacre Sardanapal Assyrie mouvements expression intensité Delacroix tragique Tanger tyran lumière sculpture Matisse voile antique or oasis ocre Jerusalem pascha sultan Mille et une nuits Baudelaire voyage peur Tunis Klee Signac corne lignes felouques formes grâce Shéhérazade ravissement Alhambra Maure palais Andalousie Sorolla Soudan opaque Cordier anthropologie noir race primitif menace esquisse portrait sourcils lèvres épaisseur barbe châtain henné rondeurs pommettes crépuscule Rois Mages Tissot jaune expression Palestine Coran Damas Leopold Carl Müller obscur crépuscule éblouissement rêves femmes rebondi érotisme raffinement odalisque Ingres alanguissement transparence pâleur proportions courbes chair ondulations Benjamin-Constant dunes eunuque interdits esprits Lecomte-du-Nouy croyances ardent turban harmonie ravissement levant désert Fromentin tourbillon lumière rouges tumulte composition Blidah ville citadelle Kandinsky Sousse Tunis improvisations café Turc coupole modernité iconographie impressionnisme image huile bois texture gouache dorure caricature prisme couleurs primaires instinct peintre oeuvre naissance.


** exposition à voir à la galerie Hypokunsthalle de Munich, actuellement jusqu´au 01.05-2011 (après quoi pour les intéressés, l´expo se déplacera, je crois, vers la cité phocéenne)
Mercredi 02 février à 15h54
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poilonez (8779)
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a kanko
"se déplacera, (..), vers la cité phocéenne"
On dirait un commentateur de foot...;)
Mercredi 02 février à 16h23
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Allez l´OL !!
Grrr.... Non mais est-ce que je vous cause des handballeurs danois, moi ?

Après on s´étonne que Toumé me trouve chatouilleuse....


Mercredi 02 février à 17h59
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poilonez (8779)
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a kanko
Les quoi?
Ah les gars qui ont perdu, dimanche.
Mercredi 02 février à 19h02
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kristg60 (1770)
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AZYADÉ
Mercredi 02 février à 18h52
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Mouais... bon, les gars,

je constate que vous vous êtes ni plus ni moins ligués pour que certaines vapeurs m´échauffent les entournures ce soir... Dire que je me suis décarcassée en vingt-huit pour causer ici (sur ce maudit forum de footeux) des merveilles zieutées ce matin même dans la galerie munichoise.

Inutile de préciser que votre cas est désespérant de beaufitude. Sachant que je connais pas un seul nom des ahuris multimillionnaires qui dribblent au Bayern, je jette un nom en pâture pour vous faire plaisir, tiens... Schweinsteiger.
J´ai juste ?

En revanche, si vous me branchez Ispahan et Chiraz (sur les traces de Pierrot donc), je peux devenir archi bavarde, voire pénible... et vous bercer de descriptions d´iwans aux sculptures marbrées, des mosaïques roses, des alcôves et des colonnes torsadées ainsi que des faïences des façades des mosquées perses... et encore, je vous cause même pas de la beauté des ténébreux Iraniens ouille ouille ouille !

Vous voilà prévenus.

Sinon, y a un match ce soir ?
Mercredi 02 février à 20h39
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kristg60 (1770)
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SUPRÊMES VISIONS D'ORIENT
Mercredi 02 février à 20h44
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Nan !
pas vu,
pas confondu non plus.

Voilà.

Cordialement quand même...

Mercredi 02 février à 20h57
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???
C´est quoi ces posts plombés ??

Où sont passés les messages de Krist ?

Enfoirés de gros cons mal embouchés, tiens....



PS à Krist. Oui, j´ai vu Ribery et aussi le milieu de terrain, Pierre Loti, là où vous savez...
Jeudi 03 février à 21h39
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kristg60 (1770)
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GRI-GRIS

Désolé,
tous mes posts d'hier ont été grisés.....

J'aime bien les dessins de Pierre Loti....
(Istanbul)
Je suis un peu dégouté d'être dans le viseur de paltoquets incultes....
Bon,
je reste magnanime......
Cordialphantom
K
Jeudi 03 février à 23h29
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hedayat (3367)
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Nous avons
effectivement eu de la visite hier soir...

Le gris exprime assez bien le fond de son âme, je trouve.
C'est donc une forme d'hommage.

Bonne nuit.
Vendredi 04 février à 00h33
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tartouil (19782)
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kristg60
Salut... La famille tuyau de poêle est passée pour te griser.... :-)
Bonne journée à toi.
Tartouil
Vendredi 04 février à 06h52
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Madeleine...
Quand j'étions ch'tite, des amis de mes parents m'ont offert ça :
http://www.priceminister.com/offer/buy/590736/Quirot-Odile-Le-Voyage-De-Delacroix-Au-Maroc-Eugene-Et-Le-Sultan-Livre.html
(épuisé, non-réédité, verte de rage)
m'en suis jamais remise...

Et kommenkonfait quand on habite à mi-chemin de München et de Marseille, et que les deux sont beaucoup trop loin, hein ?
Mercredi 02 février à 21h32
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Kommenkonfait ?

Bé, suffit de demander gentiment...
Me suis promis de retourner voir l´expo une fois avant sa clôture (gaffe à peser ses mots au cas où y´aurait POilo qui rôdaillerait par ici).
Dans ce cas, je manquerai pas de vous rapporter un nouveau reportage maison "Heinkoikesse sur les traces de Delacroix à Tanger et à Alger pour le compte de Gueuledeloup".
Ne me remerciez pas.

PS. Sinon y´a l´option autostop. Vers la fin avril, les températures dépassent tout juste le seuil du zéro dégré sous nos latitudes.
Jeudi 03 février à 08h04
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Bon, ben je demande gentiment, alors...
et j'attends avec impatience les tribulations de dame Koikesse dans les pas d'Eugène.
Vendredi 04 février à 10h05
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Héhé Gueleudeloup,

figurez-vous qu´avant de me lancer (à vos frais, c´est à dire transports, hébergement et repas compris...) sur les traces de l´Eugène, j´ai appelé ma mum pour lui causer de ce que j´ai reluqué l´autre jour.

Faut vous dire pour commencer qu´elle (ma mum) n´a hélas plus vraiment l´énergie vitale nécessaire pour se camper des heures durant devant des rangées de toiles. Donc, en fonction de la disponibilité du jour, soit je lui poste un courrier avec des cartes postales de l´expo visitée soit carrément (les jours de grand faste) le catalogue de l´expo (quand il existe en français), soit je phone pour lui conter le binz de vive voix par le menu détail.

C´est comme ça que je l´ai eue ce soir au téléphone, et je dois dire que pour quelqu´un de pas vraiment mobile, elle avait l´air en pleine forme... M´a fait "Au fait, avec ta soeur, on a vu hier soir un super spectacle à la Maison de la Danse : une compagnie brésilienne qui danse sur les chansons des films d' Almodovar . Un régal !".

Bref... on papote météo, des racailles d´EDF qui ne tiennent jamais leurs promesses de rendez-vous, de recherche d´emploi et bien sûr pour finir d´Orient, de Klee, Delacroix et tout le tintouin, jusqu´à ce que, de fil en aiguille, on en vienne à se foutre des commentaires blasés des blaireaux qui courent les expos (on se demande bien pourquoi), vous savez, ceux qui ponctuent immanquablement la visite de la rétrospective Rothko ou Soulages de commentaires percutants genre "ça aussi, je peux le faire" ou encore "un enfant de six ans gribouillerait tout aussi bien"....

M´en souviens, ça m´était arrivé notamment la fois où j´étais entrée en collision, pour la première fois de mon existence, avec les installations d´Annette Messager à l´avant-dernière Documenta de Kassel. Bref, je raconte tout ça à Queen Mum qui se poile comme une baleine à l´autre bout du fil et qui me rappelle que, la fois où elle avait emmené ses trois petits-fils (à l´âge où ils étaient encore irrésistibles de naïveté, six ou sept ans par là) à une expo d´art moderne à Lyon, elle leur commentait bout-en-train qu´elle est, tout ce qui leur passait de déjanté sous les binocles, quand le plus jeune des trois est tombé en arrêt entre deux salles et lui a demandé "Dis, Biba, et ça, c´est quoi ???"

En fait d´oeuvre d´art, c´était la borne incendie du musée. Et ça se fondait parait-il à merveille dans tout ce qu´ils venaient de voir jusque là !!!
Vendredi 04 février à 21h34
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Souvenirs, souvenirs
Il y a quelques années, accompagnement d'une classe de 26 schtroumpfs de CP pour une journée dans un "musée d'art moderne". Visite guidée, jeu de piste, atelier (de ceux dont les gamins rapportent une magnifique production à la maison qui fait dire aux parents que leur progéniture vaut bien Miro...).

Jeu de piste, donc, dans la collection permanente, recherche de détails dans les œuvres, tout ça, tout ça. Interdiction de changer d'étage, faudrait pas qu'on en perde, mais pas plus de restriction que ça.
A l'étage en question, une salle avec installation temporaire, en l'occurrence une expo photo, corps fragmentés, deux corps, un masculin, un féminin, "éclatés" dans toute la salle sous forme de photos. Détails en 15 par 15, ongles, morceaux de peau, oreilles, pieds, genoux, etc... pas fait gaffe plus que ça, trop de marmots à surveiller, des images du corps humain, quoi. Les mômes peuvent y passer, même si le jeu de piste ne trouvera aucune réponse ici.

Retour à l'école, descente du tram les parents sont là. Et un p'tit blondinet de se précipiter vers sa mère : "Je vois vraiment pas pourquoi ça te dérange quand je dessine des zizi, y'en qui les prenne en photo et qui se retrouvent dans le musée, alors... !"
Grand moment de solitude devant tous les parents réunis...
Dimanche 06 février à 00h55
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Excellent !

Quel délice, quelle candides ces pitchounes...

Ah ça, dessiner des kikis, ça peut valoir une convocation chez le directo, même si on n´a fait que copier sur le voisin de classe... Je le sais parce qu´on me l´a dit !

PS: Ca y est, le sujet part en couettes on va se faire repeindre en biiiiip (couleur souris)
Dimanche 06 février à 09h25
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hem hem.. ça part en couette, dites-vous

Moi c’est ma mère k’avait été convoquée chez la psychologue. « ça va bien chez vous ? » lui avait-elle demandée. (Dans le cadre de notre orientation au collège, nous faisions une batterie de tests et notamment le fameux : dessinez un arbre.) Hagarde ma mère était probablement en mode pause jusqu’à ce que l’autre lui glisse sous les yeux mon chef d’oeuvre. J’avais copié sur G....N (un copain obsédé sexuel qui arrivait même à se lécher le sexe tellement qu’il était souple. Enfin c’est ce qu’il racontait) et j’avais donc dessiné un lapin qui fourniquait avec le creux d’un arbre et dans lequel vivait un hibou ou une chouette, ch’ai plus, mais c’était porno, me suis fait gronder..
Dimanche 06 février à 11h47
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hors-sujet
pleinement et totalement assumé...

Mais comment faites-vous pour avoir cet avatar format "à l'italienne" ?
Lundi 07 février à 02h37
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... à propos de hors-sujet

Et à la réflexion, il me plaît bien sur mon profil vot’ loup terrible et très méchant qui terrorise vers sa droite le chef espadrille lapinou et le chef escadrille : caneton.

Ouuuuuuu les vilains pas beau, planquez-vous sous les meubles, V’là Terrrrrible le loup tout charbonné !!... Grrrrrrrrrrrrr..

- AAAAAAAAAAh_O’SCOURS, MAMAN !!

(Hé hé hé. Ne leur dites rien au sujet de votre peau arc-en-ciel)

Lundi 07 février à 12h09
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utopix (4979)
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Ben tu vois, ...
... le liv' dont je te parlais l'aut'jour, de Kerouac, ressemblait à ça... Mais en beaucoup moins compréhensible... ou par à-coups...
Jeudi 03 février à 20h59
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Marrant ça
Figure-toi que j'y ai pensé en lisant.
Suis pas bien sûre de tenir le coup sur tout un bouquin...
Vendredi 04 février à 10h06
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Hum Utopix...

si jamais il y avait trop d´ambivalence dans l´agencement des mots employés, si des fois l´accord de quelques participes passés ne vous semblait pas respecté, si par mégarde des formes grammaticales archaïques vous troublaient parce que mal adaptées au contexte choisi, si par hasard l´emploi malheureux de quelques propositions vous tracassait, si enfin la tournure de certaines phrases vous paraissait floue, vous me le diriez sans détour, non ?

Me tiens à votre entière disposition pour vous décoder les passages difficiles. C´est simple, dès l´instant où vous répondrez à ce message, l´alarme de mon ordinateur (programmée pour fonctionner 24h/24 7j/7) s´autodéclenchera.
Vendredi 04 février à 21h17
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utopix (4979)
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;')
Au contraire, ma timidité me retenait de vous adresser directement ce compliment, que j'ai donc voilé en m'adressant à Gueuledeloup: cela me rappelle du Kerouac, auteur que je chéris très particulièrement! Dans un bouquin dont... j'ai oublié le nom... hum hum...

La différence étant que je vous trouve beaucoup plus claire! ;')
Vendredi 04 février à 21h26
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Mouais.. élève Utopix

vous me copierez 100 fois la ligne d´ici lundi :

"Je vais faire des efforts pour mieux maquiller mes bourdes dorénavant"
Vendredi 04 février à 21h56
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utopix (4979)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Ben zut n'alors?
Chuis puni?

Moi j'veux bien copier la phrase, en usant du ctrlins/shiftins ça va aller vite, mais pourquoi quesse hein? Je vous assure que je suis sincère, j'ai admiré la façon dont vous avez décrit vos sensations. J'aime énormément le 'Ti Jean Lebris, je ne me permettrais pas de faire un parallèle inconsidéré...

Je suis réellement timide, surtout lorsqu'on m'impressionne... Et je n'use pas d'artifices pour dire ce que je pense.

Je suis bien désolé si je vous ai froissé d'une quelconque façon, mon intention étant l'exact contraire, je n'ai pas du être assez clair...

Siou plait maitresse, changez la phrase en:
"Je vais faire des efforts pour mieux surmonter ma timidité dorénavant"

;')
Vendredi 04 février à 22h15
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Mission meaculpa

Utopix, Confusionix Perplexitix Timidix,

Il m´arrive d´avoir la légèreté du menhir qui percute dans sa chute le crâne d´un embryon de fourmi quand je m´essaie à la dérision.

Merdum bordelix partoutatis ! Scusez la zizanie que j´ai semée dans votre esprit hier soir.

Z´êtes exempt de devoirs, ça va sans dire. A moi de me coller aux lignes de "ça t´apprendra à être aussi ballotte quand on t´adresse des gentillesses"
Samedi 05 février à 12h19
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utopix (4979)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Mouais ouais, ...
... en fait, vous vouliez que je vous repasse une bonne couche de compliments, hein!?

Uto - pas dupe ;')
Samedi 05 février à 15h13
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Mouais mouais mouais....


mufle outrage chocking vexée olibrius moule mollusque mou-du-clavier moule-à-tarte tartagueule offusquée scandale va-nu-pied ingrat tabarnak foutage-de-gueule patate atrophié-des-synapses rustre neurones-de-pétunia retourne-à-l´école pov´mec borgne sapristi gastéropode blasphème vote-Ségo va-t-en-guerre grisé-potentiel psychorigide-de-forum pachyderme serpent bougre-d´infatué flan déconnecté-des-neurones schizophrène flagrant-délié traumatisé-du-doudou erreur-humaine spam !

** Uto, j´y suis allée mollo sur les structures de phrases tarabiscotées pour ne pas vous perturber plus que vous ne l´êtes déjà.
Dimanche 06 février à 09h29
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utopix (4979)
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Argh!
Satanée soupe-au-lait engoncée palais cherche alambic trouve horizon frontation tarabiscote dimanche fleuve héron crayon fer-à-repasser velours potage miaulement pelage sous-la-couette tableau rhododendron sofa Tanger doliprane bridge satori duvet pouce poterie céréale capitonnée lunette photographie biduscule surf manche vache poussoir vitrage cumulus barde cognac pyramide descente essence herbage pâmoison - qu'est-ce que quoi hein?
Dimanche 06 février à 14h51
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Me faire traiter...

... de vache de sofa soupe-au-lait aussi engoncée qu´un manche de fer-à-repasser qui se pâmerait devant un barde surfeur de pyramides imbibé de cognac et shooté à l´essence de doliprane... et bien, merci bien.

Et je suis censée rester sereine, sans miauler... ni griffer ?
Dimanche 06 février à 21h11
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...
Quant aux "capitons",
je ne vous le pardonnerai ja-mais !
Dimanche 06 février à 21h14
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utopix (4979)
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Ouf!
Vous passez l'éponge sur le "biduscule"? Cela augure des meilleures relations entre nous! ;')
Dimanche 06 février à 21h44
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Merdre
Faut que j'explique et analyse pour ma Fille La jeune fille à la perle de Vermeer

Me demandez pas le pourquoi du comment, mais il faut, elle attend

Finalement macdo c'est pas mal, c'est très con et c'est très moche mais ça ne me fout pas en panne comme ça, petite curieuse va


Béru - dis papa, tu crois à l'hérédité ?
Jeudi 13 janvier à 11h51
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La Jeune Fille à la perle (ou au turban)

Souvent comparée à La Joconde de Vinci par la qualité de sa présence.
Différence avec la Joconde : la jeune fille se retourne vers le spectateur ; c'est le signe d'une modernisation du portrait ; la jeune fille est en mouvement et ne pose pas de face.

Utilisation de la fameuse "boîte noire" par Vermeer pour accentuer l'effet lumineux. C'est moins marqué dans ce portrait que dans d'autres tableaux, comme "La Dentellière" de Nestlé ( pouf pouf)

Superbe contraste clair-obscur :
Le personnage en lui-même est traité dans une tonalité globale de valeurs plutôt sombres elles-mêmes situées dans un environnement général très sombre (pas sûr que cet environnement soit en noir. Je pencherai plutôt pour un nombre important de glacis successifs en terre d'ombre.)
Par contraste avec des valeurs globalement sombres, le blanc de la perle, des globes oculaires, du reflet sur les pupilles et surtout du col de la jeune fille se détachent nettement, pratiquement sans aucune modulation avec les teintes environnantes ( utilisation de la "boîte noire.")

La courbe :
Le blanc du col accentue l'arrondi du mouvement (le personnage se retourne vers le spectateur.)

Le triangle :
Le regard du spectateur est inconsciemment conduit des yeux de la jeune fille vers la perle puis vers le col avant de remonter vers les yeux : c'est un triangle.
Le triangle est également la forme dans laquelle la jeune fille est entièrement représentée.
Triangle encore accentué au premier plan par le haut du corps ( épaule, dos.)

Littéraire :
La phrase de Flaubert dans l'Education Sentimentale "Ce fut comme une apparition" pourrait illustrer le tableau de Vermeer. A ma connaissance, Flaubert ne pensait au tableau de Vermeer lorsqu'il écrivit cette phrase. Mais ça pourrait en jeter question de te faire mousser auprès de ta fille.

Dermato :
Si ta reprod est vraiment bonne, tu t'apercevras que la jeune fille a un début d'herpes ou d'impétigo ou une saloperie comme ça sur la lèvre inférieure. Là, juste en-dessous d'un reflet ; c'est un truc un peu grisâtre. Ou alors, c'est peut-être à la suite d'une intoxication alimentaire, un truc attrapé au Macdo, par exemple.
Bon. En général, le coup du bouton de fièvre dans ce portrait, y a que moi qui le voit.
Vendredi 14 janvier à 14h56
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Le poseur de perles

La Laitière de Nestlé pas La Dentellière.
Vendredi 14 janvier à 14h59
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Mârchi !
Sans vouloir particulièrement crâner plus que ça auprès de ma Fille, j'ai trouver dans votre post des éléments d'explications pour elle.

Merci beaucoup, j'apprécie

Je vais me renseigner quant à des ouvrages de vulgarisation pour les mouflets en tout cas (me changera des pokémons...)


Béru - on va peut-être en faire quelque chose si les petits cochons ne la mange pas...
Samedi 15 janvier à 12h00
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Palette pour les Mouflets...
Ils ont un excellent catalogue :
http://www.editionspalette.com/palette/index.php

Samedi 15 janvier à 12h13
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Et plus précisément
http://www.editionspalette.com/palette/index.php?sp=liv&livre_id=1366
Samedi 15 janvier à 12h19
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kristg60 (1770)
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AUTRE PERLE

Il y a un film assez beau et sensible qui raconte l'histoire romancée de la genèse de ce chefd'oeuvre:
Il s'agit de..."La Jeune Fille à la perle" ("Girl with a Pearl Earring") film de Peter Webber, réalisé en 2003, adapté du roman de Tracy Chevalier "La Jeune Fille à la perle".....
A voir...
Cordialement
K
Samedi 15 janvier à 12h17
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Zeureux zhazard
Je l'ai, par hasard, découvert dernièrement lors de sa diffusion à la télé.

Un vrai beau moment. Me donne d'ailleurs envie de découvrir le roman. Mais ce qui est assez marrant, c'est que c'est par un tout autre biais que j'en suis venu à en discuter avec ma Gosse de Vermeer et de sa Jeune fille à la perle. Ce qui est drôle, c'est que, lui ayant offert son premier appareil photo et lui expliquant les rudiments de la composition, elle me demande de lui apprendre au fur et à mesure. Que répondre à cette invitation ? ben ouais ! Gentiment, à son rythme, mais mille fois ouais ! boudiou !

Mais avant, va falloir méchamment se mettre à la page... y a des cours du soir pour ça ? c'est pas tout de dire ouais, mais faut encore assurer derrière... je vois d'ici : "mon papa y l'est trop nul ! y connait rien de rien à la période préraphaélite tardive !" - "ouah ! trop naze !" un coup à perdre tout crédit quoi.


Béru - faites des gosses qu'y disaient...
Samedi 15 janvier à 17h09
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kristg60 (1770)
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LARD

Oui,
mais justement, l'avantage avec nos enfants, c'est que l'on est pas obligé d'être didactique ni respecter quelconque chronologie....
Laisser faire le feeling, les comparaisons audacieuses, les allers retours abscons,
voire inventer des histoires.....
Bref, l'Art c'est un sacré moyen pour les enfants et les parents de bien se marrer, d'écouter la sensibilité de l'autre, et de s'éloigner des discours scolaires....
Enfin, c'est tout le mal que je vous souhaite....
Post un peu rapide, mais bon...
Vordialement
K
Samedi 15 janvier à 17h17
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hedayat (3367)
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Il y a un livre de Daniel Arasse sur Vermeer

Daniel Arasse, fin pédagogue et amoureux des détails (là où se cache Dieu selon certains).

Puis il y a ça pour le Papa :

http://laboiteaimages.blog.lemonde.fr/2010/01/26/lart-de-la-peinture-selon-vermeer-et-arasse/

http://imagesrevues.org/Article.php?id_article=17

Samedi 15 janvier à 18h57
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hedayat (3367)
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Suis con aussi...

C'est bien le diable qui se cache dans les détails.

Samedi 05 février à 00h05
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