Vous

Pour ou contre les bureaux open space ?

Usé de devoir inventer des stratégies rocambolesques pour s’échapper du boulot avant la nuit sans qu’un collègue ne lance : «Tu prends ton après-midi ?»

Vos commentaires

132 commentaires affichés et 1 en attente de modération.

Les commentaires les + récents | Les discussions les + récentes

Vue complèteVue réduite

Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Et les bureaux...
.. open bars ? Rien ?
Mercredi 13 janvier à 19h25
Signaler au modérateurRépondre
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Mais c'est déjà le cas non ?
Dans l'armée et dans la police, non ?


Béru - sobre
Mercredi 13 janvier à 20h44
Signaler au modérateurRépondre
wren (705)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Il faut savoir en tirer parti
La géographie d'un espace structure les rapports entre les gens. Partant de cette constatation, je me souviens avoir réussi à tirer le meilleur d'un "Open Space' où je bossais avec 6 ou 7 collègues.

Nous étions installé tout autour d'une vaste salle avec pas mal de fenêtres. Nous nous sommes tous mis dos aux murs ou "dos aux fenêtres" en laissant un espace de circulation libre entre nous et au milieu.

Nous avons demandé des demi-cloisons en arguant du bruit ambiant nuisible à notre travail et au besoin de confidentialité quand nous recevions nos "clients internes". Puis dégotté des grandes plantes vertes pour habiller ces cloisons. Nous n'étions donc visibles que d'un seul côté, de face. Et comme aucun d'entre nous n'était face-à-face mais légèrement décalé; nous étions plutôt tranquille dans notre demi-bulle.

J'ai trouvé bcp d'avantages à l'open-space : le fait de pouvoir aller demander conseil à un collège, connaître les états d'âme des uns et des autres ou leur relations avec telle ou telle personne. Sans oublier la convivialité "obligée" parfois utile. J'ai trouvé plus de solidarité en Open-space qu'en bureau fermé et individuel. Même entre cadres.

Quand à notre Boss, il a vite compris que s'il passait au centre de cet espace, histoire de vérifier ce que l'on faisait, il se retrouvait dans l'arène !

Inconvénient : fatiguant si le voisin immédiat est bruyant au téléphone ou si une collègue fume (j'évoque un temps d'avant les fumoirs).
Mercredi 13 janvier à 16h49
Signaler au modérateurRépondre
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
c'est l'horreur
Merci d'avoir lancé ce forum, ça fait du bien d'en parler publiquement! Je n'en peux plus des petits rires hystériques de ma voisine de bureau, des discussions permanentes sur les gamins etc. Mais ce n'est pas le pire. La mentalité pétiniste qui règne, avec réprobation systématique de tout coup de gueule, décorticage approfondi des faits et gestes de chacun, qui dépasse largement le cadre professionnel, et médisance chronique des uns sur les autres sous l'ombre de la machine à café, ça c'est aliénant.

L'open space est une machine a briser l'intimité, l'humanité dans le travail. Aucun animal ne supporterait de rester ainsi constamment sous le feu des attaques sans avoir de niche, d'arbre, de caverne où se réfugier pour souffler. Par la force de ma vie extérieure, j'arrive tous les matins en forme au bureau, mais chaque soir j'en ressors vidée alors même que mon boulot stricto sensu est agréable et intéressant.

Quand à l'open space avec des collègues qu'on apprécie voire qu'on choisit, que certains évoquent dans leurs réactions, ce n'est plus de l'open space: c'est exactement la même différence qu'entre la prostitution et les one-night stands.
Mercredi 13 janvier à 10h05
Signaler au modérateurRépondre
wren (705)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
woolfie
Je ne sais pas ce que c'est qu'un "One-night stand " ?

POur le bruit, une parade : les bouchons d'oreille. Certains permettent de téléphone. Ou alors un (tout petit) peu de musique sur l'ordi, ça diminue la perception des autres bruits ambiants.

Tactique avec les collègues qui bavassent à longueur de temps. Soit en rajouter : demander des nouvelles de la rougeole du petit dernier (il ou elle va vous adorer) et attendre patiemment qu'il ou elle se fasse allumer pour bavardage intempestif. Soit jouer les grandes muettes, du genre "ce que tu racontes est passionnant mais j'ai vraiment trop de travail, là".

Surtout, ne JAMAIS lui dire que ce qu'il/elle raconte est con et sans intérêt. Il ou elle vous en voudra à mort et n'hésitera pas à bousiller votre réputation.

La vie de bureau, c'est un grand théâtre...
Mercredi 13 janvier à 16h58
Signaler au modérateurRépondre
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
question de (bien/mal)veillance
Cher wren, merci pour vos conseils. Je suis plutôt dans la tactique numéro deux -du silence- mais dans le règne de la mauvaise foi, ça n'empêche pas les emmerdeurs d'interpréter!! "Elle fait la gueule, c'est sûr! Ça doit être...." Et là le délire commence. Et de pratiquer un harcèlement en douceur sur mon mode de vie (supposé car bien sûr je n'en parle pas!) qui n'est pas le leur: "ça ne t'ennuie pas, toi, de ne consacrer ta vie qu'à toi-même?". Des trucs comme ça. Retour au XIXe siècle.

En cas de casque sur les oreilles, ou de musique, ça va rapporter direct au bureau RH qu'on ne fait pas montre d'un sentiment d'équipe. C'est bien ça le problème, tout remonte, tout transparaît.

Et puis il y a des fois où il est difficile de rester sans rien dire. Des remarques racistes ("jamais je ne ferai garder mes gosses par une noire!" - et je ne parle pas des insinuations anti-féministes...), les faits divers à longueur de journée, les opinions sarkozystes etc. Le pire c'est que le reste de la boîte est à peu près normal. Nous sommes deux égarées (heureusement que j'ai une voisine de bureau dans le clan des progressistes!) dans microcosme toxique.

Ps: "One-night stand" -désolée pour l'anglicisme mais je ne crois pas qu'il y ait de mot en français pour ça- c'est une coucherie avec un inconnu qui dure une nuit et qui restera sans suite.
Mercredi 13 janvier à 19h13
Signaler au modérateurRépondre
wren (705)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Woolfie
Aaaah... le "One-night stand" c'est le coup entre deux portes quoi ! ;-)

J'ai mis des années à comprendre que ma discrétion, mon silence, mon manque de curiosité pour la vie de mes collègues (je suis plutôt boulot-boulot et électron libre) était interprétés comme un orgueil incommensurable, une arrogance mal placée etc. etc.

Le jour où je l'ai compris, je me suis fais un plaisir de fraterniser (sic) pour qu'ils ("elles" surtout) me fichent la paix. Simple question de stratégie de survie. Ne jamais négliger la nuisance potentielle d'une collège de travail jalouse et envieuse. Donc leur donner un peu de grain à moudre. Ça les occupe. ;-)

Bon courage !
Mercredi 13 janvier à 19h22
Signaler au modérateurRépondre
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Un avis contraire ...
J'apporte un avis contraire : je vis bien dans mon open space !
Je travaille chez une SSII ; dans un open space de 200 m2 environ. Nous sommes développeurs et testeurs de logiciel. Parfois on entend les mouches voler, parfois tout le monde cause en même temps, mais cela reste très vivable. J'apprécie d'avoir les collègues à côté. Ils sont discrets et sympa. C'est une bonne ambiance.



Mardi 12 janvier à 06h18
Signaler au modérateurRépondre
alpacks (693)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
mouais ...
l'open space au 1er coup d'oeil, a l'évidence est adoubé en 1er lieu par l'encadrement avec le petit chef qui d'un coup de tête a une vue d'ensemble de qui bosse, qui papote, qui se pignole au taf ...

Pour le reste, mis a part les aventages de consomation d'énergie via des espaces qui permettent a la lumière solaire de rentrer plus loin dans les bureaux ...

L'employé de bureaux lui n'a rien a y gagner, surtout que tapotement de clavier, coups de fil incessant des voisins, manies débiles de certains sont tout autant de facteurs de déconcentration pour les taches demandant le + de reflexion via résolution de problème ...
Samedi 09 janvier à 16h28
Signaler au modérateurRépondre
alpacks (693)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
en fait ...
En allant plus loin dans la reflexion ...

Je me dit que pour l'encadrement, l'open space doit s'apparenter beaucoup a etre berger d'un troupeau de mouton en montagne :

avec un ptit chef qu'on envoie beugler sur la moutonaille histoire qu'elle reste bien groupé surveillée, qui lui fera office de son clebard harceleur d'ovin en puissance !

Manque plus que les transhumance tiens, et la bergerie l'hiver avec l'étable blindé dans 2 m de neige ... qui sent bien bon ! Vu qu'en open space tu as toujours un relou pour poser une perlouze inomable ... Oui en fait c'est vraiment pareil !

Un beau métier !
Samedi 09 janvier à 17h06
Signaler au modérateurRépondre
Béru-von-88
A titre d'information
S'intéresser à Johnson Wax Building de Frank Lloyd Wright. Et plus particulièrement à la partie concernant les bureaux administratifs.

Invite sans jugement, juste pour finalité d'élargir son champ de réflexion.
(voir le documentaire 'Architecture' édité par Arte)

Merci.
Mardi 30 décembre à 11h32
Signaler au modérateurRépondre
danySaisissez votre pseudo
confidentialite
Je travaille en open space depuis plusieurs années et je reçois du public.
Nous n'avons aucune confidentialité et je trouve cela grave pour notre public.
Nous n'avons pas de bureau fixe et c'est la course chaque jour pour avoir le bureau "le moins pire ".
J'ai lu une étude disant que l'open space avait été adopté aprés une observation d'un mois et ceux qui ont proné ce mode de focntionnement n'ont même pas réfléchi aux conséquences à long terme .Je vis cela au quotidien, c'est bruyant, stressant, déshumanisant et difficile sans confidentialité.Cela me semble être en phase avec le néolibéralisme , j'ai le sentiment dêtre considérée comme un outil de production et non plus comme un humain.
Mardi 30 décembre à 08h07
Signaler au modérateurRépondre
Steven
Y a du pour mais...
Avantage : Une certaine convivialité. On connait ses collègues, on peut plus facilement créer des affinités, ça humanise les rapports humains. Inconvénient, effectivement, on n'a aucun espace à soi, la vie privée est difficile à préservée. Impossible (en tout cas très difficile), de s'isoler totalement pour se concentrer sur son travail, bruit permanent, bavardages, commérages, engueulades (enfin, la vie de groupe quoi !). Dans l'Open Space, parfois, j'ai l'impression d'être un lofteur filmé en permanence ! Mais j'aurais du mal à me retrouver dans un bureau seul, ou avec une seule personne ! Si on ne la supporte pas, ça peut vite devenir l'enfer. Et les petits bureaux coupent la communication entre collègues... Dernier inconvénient de l'open space : Quand on veut draguer une collègue, on se fait gauler direct ! Et si on se prend une veste, c'est encore plus vexant ! ;-)
Lundi 29 décembre à 13h38
Signaler au modérateurRépondre
Jeff1er
Une histoire de chance…
J'ai eu l'occasion de travailler dans des open-spaces et dans dans un bureau plus standard; Etant marseillais, je suis certainement plus extraverti que d'autres, mais je préfère largement un open-space, à certaines conditions:
- Avoir la chance d'être entouré de collègues sympas (je sais, ce n'est pas toujours le cas)
- Avoir un minimum d'espace vital (je me trouve à 4 mètres de mon voisin le plus proche).
- Que les gens évitent d'utiliser la fonction "main-libres" de leur téléphone; le bruit devient vite gênant: la solution, un micro-casque...

Le travail en bureau fermé nous isole très vite, et rompt le tissus social d'une entreprise; j'ai été 14 syndicaliste, et ce tissus, j'y tiens particulièrement. Pour moi, donc, les bureaux paysagés le sont pas spécialement synonymes de flicage; mais tout dépend des finalités de l'entreprise dans laquelle on travaille…
Lundi 29 décembre à 10h04
Signaler au modérateurRépondre
John Duff
Oui
Je suis pour l'open space,mais un par personne.
On appelle ca aussi les Landscaped Offices (bureaux paysages).
Mardi 23 décembre à 10h26
Signaler au modérateurRépondre
Marcus
Tous les raisonnements sont spécieux
En fait, les aménagement de l'espace qui nous conviennent reposent sur deux choses : des constructions mentales inconscientes et des représentations culturelles dont l'origine a été oubliée. Lorsque l'on présente un plan de bureaux qui doivent comporter des zones à accès restreint deux modèles fonctionnent pour le client : celui du temple grec (le saint des saints est au fond) et celui du temple de Salomon (le saint des saints est au centre).
Les agencements de bureaux, quelle que soit la disposition ont toujours une fonction de contrôle social. Le bureau "paysager" n'offre qu'un seul avantage : il permet théoriquement de moduler plus facilement la taille des compartiments. Personne n'utilise ou presque cette propriété qui est facilement limitée par la disposition des points d'accès aux réseaux et à l'énergie.
La plupart des entreprises utilisent en fait un mélange d'espaces ouverts et d'espaces clos. Il existe en fait des bureaux paysagers bien aménagés et des bureaux paysagers mal fichus, voir glauques. Prétendre que cette disposition est récente est assez burlesque. Certaines professions l'ont utilisée depuis longtemps pour des raisons pratiques : favoriser la pénétration de la lumière notamment. De la même manière, il existe plusieurs manières de gérer un espace ouvert ou fermé. Dans certaines entreprises, certains salariés ou sous-traitants n'ont pas de place réellement attribuée et les occupent en fonction de la disponibilité. Ceci interdit aux employés de s'approprier l'espace et de le décorer à leur manière, facilité l'activité des personnes chargées du nettoyage des lieux et prévient aussi les vols.
En résumé, la question n'est pas pour ou contre telle ou telle forme d'aménagement, mais quel rapport l'entreprise veut-elle entretenir avec ses employés au travers du rapport avec l'espace ?
Mardi 23 décembre à 09h56
Signaler au modérateurRépondre
eeky
ahaha
en fait tout le monde a voulu faire comme chez Google, Apple, Microsoft... à la différence que ceux-ci n'engagent que des génies (dira-t-on des geeks) avec un profil pour lesquels un quota de distraction, de relation sociale, de développement de soi, de soutien, est indispensable. Bref l'openspace était à la base pensé pour l'épanouissement personnel à but de productivité avec des mesures généreuses (temps libre pour des projets mais un cadre bien défini pour l'évaluation etc.)
Dans la plupart des boîtes on applique l'openspace à des tâcherons (désolé si j'exagère) pour lesquels le modèle n'est pas pertinent. Après en fonction des personnes et de l'ambiance, ça peut être le paradis comme l'enfer (nous ne sommes que des hommes).
La différence c'est que par exemple si chez Google l'openspace devenait nuisible, il ne se passerait pas un mois avant que l'on remonte des cloisons.
Vendredi 19 décembre à 11h23
Signaler au modérateurRépondre
eek
mouais
ce qu'il faut interdire, c'est les 3x8 !
Vendredi 19 décembre à 11h07
Signaler au modérateurRépondre
mamie 73
bureau paysager (suite)
J'ai oublié de mentionner le "chef" dans ce que j'appelais son aquarium.
J'étais directement dans sa "ligne de mire", à force, nous ne pouvions plus nous voir en peinture.
J'avais d'ailleurs complété le tableau en mettant sur mon armoire un poster avec des poissons exotiques et une bougie en forme e poisson, histoire de rire un peu (intérieurement).
Jeudi 18 décembre à 18h41
Signaler au modérateurRépondre
mamie73
open-space = bureau paysager
j'ai travaillé à la Tour Montparnasse, dans ce genre de bureau. Nous étions 35 à l'agence comptable, du temps où les calculatrices étaient bruyantes ... dur dur de se concentrer ; j'ai fort apprécié quitter ce lieu, pourtant privilégié (époque de la canicule de 1976 - merci la clim) pour me retrouver dans un petit bureau individuel (même sans clim).
Jamais je n'aurais souhaité retravailler ainsi dans le bruit et le manque "d'intimité"
Mercredi 17 décembre à 19h49
Signaler au modérateurRépondre
elido
il y a pire
comme partager son bureau avec une végétarienne (merci les gaz) qui commente a voix haute ce qu'elle est en train de faire et qui vous tient au courant de toutes les étapes de sa ménopause! Au moins en open space il y ade la diversité....
Mercredi 17 décembre à 13h07
Signaler au modérateurRépondre
lali
enfer et damnation
Ca confirme une tendance lourde: le pire dans le boulot, c'est pas le boulot, ni la configuration des lieux, c'est les gens avec qui on travaille.
Mercredi 17 décembre à 16h32
Signaler au modérateurRépondre
Sophie
lali
Le travailler ensemble, c'est l'enfer.
Jeudi 18 décembre à 14h41
Signaler au modérateurRépondre
cavok
farci
l'autre jour j'étais plié, j'ai fait un prout silencieux mais farci au milieu d'un groupe où je passais par hasard sans que l'on fasse attention à moi( promiscuité oblige) dans l'open et j'ai passé mon chemin, il y avait 2 nanas tops avec qq supermen du gratin. Il s'est passé un certain temps avant qu'une réaction de suspicion ne se généralise - j'en ris encore :)))
Mardi 16 décembre à 12h20
Signaler au modérateurRépondre
FPa
Comme à l'usine
Prennons le problème à l'envers : depuis l'existance de l'usine, les ouvriers ont travaillé dans des espaces ouverts avec comme conséquence :
Control mutuel
Cout en metre caré par tete plus faible
- Pas de confidentialité
- Gènant pour la réflexion

Pas difficile à comprendre, y compris par les directions.

Les gens positionnés de nos jour dans les open space le sont car ils sont simplement des executants sans plus de responsabilité qu'un ouvrier comptable, ouvrier informaticien qui doivent appliquer des méthodes en évitant de mettre le grain de sable dans les rouages.

Désolé les maillons mais toute notre génération de diplomés ne peut pas faire une génération entière avec uniquement des postes à responsabilités.
Lundi 15 décembre à 16h59
Signaler au modérateurRépondre
pbk
Jamais rien connu d autre
ingenieur prestataire chez un grand operateur mobile et avant ca chez un fournisseur d acces en encore avant hotlineur je n ai rien connu d autre que les open space depuis mes stages d etudiant. plutot contre le principe, mais les collegues qui surveillent rien de plus facile que leur rendre la pareil donc le statut quo est de rigueur et personnelement mes chefs je les entend arrivé de loin. on en fait tout un drame.

Je prefererais avoir une remuneration a la hauteur de mon travail (un internet touche entre 50% et 75% en net de plus que moi) qu avoir mon propre bureau.
Lundi 15 décembre à 16h42
Signaler au modérateurRépondre
Daniel
L'Open Space est un enfer
L'open space est un système de torture pour les salariés. Il faut démolir ces nouveau instruments de régression salariale.
Lundi 15 décembre à 13h14
Signaler au modérateurRépondre
Latino
Open space open stress
Je ne supporte plus l'open space.
Il y a un effet cocktail party générateur de stress qui empêche de se concentrer. Et en plus il faut toujours adopter une positive attitude et un enthousiasme de façade.
Cette dictature de bonheur est bien décrite dans le bouquin "l'open space m'a tuer" d'Alexandre des Isnards et Thomas Zuber. Je me suis bien reconnu dans certaines saynètes!
Lundi 15 décembre à 11h08
Signaler au modérateurRépondre

FORUMS