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Radicalisation du mouvement social: légitime défense ?

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862 commentaires affichés.

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légitime défense ?
Plutôt défense personnelle !
Dimanche 10 mai à 14h32
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trop,c'est trop!!!!!!
trop de délocalisations,trop de licenciements,usines qui ferment,chomeurs en augmentation,suppression de postes partout!!! comment voulez vous que la colére ne monte pas?sans compter les salaires gelés,je ne peux faire la liste de tout ce qui est négatif!!!! mais elle est longue!!!!!!tot ou tard,le petit peuple se révoltera et de maniére trés violente.voilà mon avis personnel.
Vendredi 08 mai à 10h59
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positif!
Eteignez votre télévision, ça va allez beaucoup mieux.

Voulez-vous une nouvelle positive?
Les médias ont annoncé des licenciements chez Total. Toutefois, l' entreprise annonce, pour 2009, une augmentation du nombre de salariés en France.

Alors, pourquoi l' information est-elle si imparfaite? Si nos amis journalistes de Libération nous donnait une réponse.
Dimanche 10 mai à 14h58
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sans équilibre, point de société
on a besoin des travailleurs comme on a besoin des patrons.. chacun son taf et sa vision , sa percveption des obligations de développement.
il faut en tout les cas de la communication...
et que toute la communication soit claire
il faut aussi que les patrons s'avèrent crédibles sociohumainement, car on ne peut ^pas fonder une société crédible sur l'esclavage humain ou d'excessives inégalités de salaire..
Vendredi 08 mai à 10h39
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la propriété privé du capital n'est pas légitime !
Et la violence sociale est elle légitime ? Mettre des millions de personnes à la rue au non de la sacralisation du mythe de la démocratie bourgeoise qui justifie l'exclavagisme salarié est elle légitime ? Ce sont les questions du coeur du débat et du clivage ? Non le clivage n'est pas entre la gôôôôche et la droite ? Le clivage est entre oui ou non on est pour la propriété privé du capital, l'appropration des moyens de production et d'échange dans les mains d'une minorité de personnes, d'actionnaires !

Oui, la sequestration des patrons est légitime du point de vue de notre classe sociale, le prolétariat ! D'ailleurs, moi j'irais plus loin ! Moi je suis pour l'appropriation unilatérale des usines par les travailleurs, et le licenciement sans préavis des patrons et des actionnaires...De là découle, la question du pouvoir et la mise en oeuvre de la dictature révolutionnaire du prolétariat ! La question de l'armement des travailleurs se posera tout naturellement ...
Mardi 05 mai à 15h58
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copepe (3255)
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A Trotsky
"Moi je suis pour l'appropriation unilatérale des usines par les travailleurs, et le licenciement sans préavis des patrons et des actionnaires"

Bref, pour régler le pb de la propriété privée du capital qui ne serait pas légitime d'après vous, vous proposez de recourir à deux moyens qui sont eux parfaitement délictueux : le vol et la violence !...
Mardi 05 mai à 20h12
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Pour la destruction de l'Etat bourgeois
Et bien oui ! Et du point de vue des marxistes authentiques, les institutions bourgeoises dites démocratiques ne sont en réalité qu'un outil sophistiqué pour légitimer l'esclavagisme salarié! Car non seulement, je considères, parce que marxiste, que le propriété du capital n'est pas légitime, j'ai aussi pour objectif principal d'orienter le prolétariat quand la question du pouvoir se posera, de détruire l'Etat bourgeois et sa légalité! Car moi, j'oppose à la dictature du capital, la dictature du prolétariat qui s'exprimera aux travers de conseils ouvriers composés d'élus REVOCABLES, pour diriger l'économie et l'Etat prolétarien.

Donc effectivement, c'est délictueux comme vous dites...Mais si vous en savoir plus n'hésitez pas à lire Lénine...et un ouvrage non moins célèbre: L'Etat et la Révolution...
Mercredi 27 mai à 15h30
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grizzly09 (2011)
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trostky2020...
... La dictature du proletariat ne resoudra rien, dans a mesure ou elle est une etape inutile du processus!... Si de plus es classes sociales sont abolies des la prise de pouvoir, la dictature s'exerce sur qui?.. le proletariat lui-meme?... Ce sont les memes discours qui on ruines la revolution russe, partie d'un elan populaire emancipateur et accapare par le parti bolchevique auquel trostky adhera vite avant de passer a la trappe... la resultante n'a ete que la negation du pouvoir des soviets et le renforcement d'un etat bureaucratique paranoiaque au service de la nouvelle bourgeoisie privilegiee: le parti... ce qui a eu pour effet en 1921 de forcer une partie du peuple russe a pousser pour la restauration du pouvoir aux soviets (donc au peuple), supporter par les anarchistes, et reprime dans un bain de sang a Kronstadt...
trotsky et Lenine ont trahi le peuple russe a Kronsrtadt, tout cela pour que Lenine annonce sa NEP peu apres, ou la collusion nouvelle avec la bourgeoisie et le grand capital etait de rigueur!...
Lenine et Trostky auraient ete des agents de Wall Street, ils ne s'y seraient pas mieux pris!!...
La suppression de l'etat ET de la propriete des moyens de production est la voie vers le progressisme et l'emancipation des peuples!...
tout le reste n'est que rethorique propagandiste de sauvegarde de l'autorite pour mieux asservir le peuple dans le cas des democraties liberales, ou re-asservir le peuple apres la "revolution" dans le cas du communisme d'etat autoritaire.
D'un cote comme de l'autre ca reste du pareil au meme pour le peuple!
Oui au collectivisme, non au socialisme d'etat, non a l'etat et a toute forme derivee d'autorite, outils de l'esclavage des peuples!
Lundi 01 juin à 09h39
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rddv1942 (1386)
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Oui au collectivisme...
mais quel type? Celui de la République de Platon? Celui de Lycurgue à Sparte? Celui de Rousseau? Ou bien allez-vous le chercher dans le règne animal, chez les rats ou les hyènes? Je dis ça parce qu'il me semble impossible d'envisager une forme de collectivisme en dehors du "socialisme".
Samedi 25 juillet à 11h09
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grizzly09 (2011)
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une fois encore...
... attention aux amalgames...
Le seul socialisme historique de reference que nous avons a ete celui dit de "communisme autoritaire d'etat" qui sous Lenine et plus tard Mao, Castro etc... a collectiviser les moyens de production mis sous controle du parti unique tout puissant et paranoiaque representant le peuple...
Ceci ne fait en fait que rempacer l'oligarchie capitaliste par une oligarchie totalitaire d'etat, donc c'est jus vert et vert jus... simplement le nom et la methode changent.. pas le fond du probleme.
quand on parle de "collectivisation des moyens de production" il faut comprendre que le peuple recupere ce qui en fait n'a jamais cesse de lui apartenir et qui lui avait ete vole par la classe dominante et dirigeant a seule fin de profit et d'exploitation.

Le peuple recupere les usines et la terre, produit selon ses besoins et non plus pour le profit, donc bye bye la socete de consommation inique et decadente... et auto-gere production, distribution sous forme de communes ou de "syndicats". Les communes se federent et interagissent, peu a peu et pratique sur une grande echelle le systeme monetaire lui-meme devient obsolete, la societe devient par essence egalitaire et solidaire comme elle aurait tojours du l'etre, plus de delagation de pouvoir a une clique de representants oligarches, le peuple decide lui-meme via des comites redevables a la base et revocables a tout moment.

Donc pour repondre a votre question, c'est d'un systeme de collectivisation proudhonien (voire kropotkinien) auquel je faisais reference, en aucun cas un systeme de collectivisation d'etat ou le controle du parti unique meme la ou on le sait: repression, goulag et paranoia totale du systeme et des ses rats en chef pour conserver le pouvoir...

L'argument de 'l'utopie" ne tient pas debout, car a chaque fois que cela a ete realise dans la pratique, c'etait tellement efficace et dangereux pour les pouvoirs en place (soient ils republicains, monarchistes ou communistes d'etat), que cela a ete reprime durement dans un bain de sang... La collusion des pouvoirs antagonistes (le sont ils tant que cela?..) social-democrates, fascistes et marxistes ayant ecrase de facto la revolution espagnole de 1936-1939 par exemple pour ne citer qu'un cas proche de nous... C'est la societe capitaliste moderne qui est une parfaite utopie qui ne peut pas fonctionner, nous assistons dailleurs a son agonie proviquee par les oligarches globalistes qui veulent muter le systeme dans sa phase de controle ultime et absolue...

Les peuples prevaudront, ils l'ont toujours fait... L'oligarchie globaliste neo-esclavagiste sera defaite cela ne fait aucun doute, la question n'est pas de la savoir si ca se fera mais quand c'est tout?...
Mardi 28 juillet à 02h51
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rddv1942 (1386)
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Bonjour grizzly,
Si seulement vous pouviez avoir raison je n'hésiterais pas avoir raison avec vous. Mais les hommes étant ce qu'ils sont et la sélection naturelle et les aléas qui bousculent tous nos déterminismes fussent-ils génétiques ne laissent de favoriser en moi un doute qui dépasse toutes mes espérances quand à un système fondé sur la participation massive de ce que vous appelez le "peuple". Le besoin de s'affirmer, le besoin de reconnaissance, l'extraordinaire curiosité qui sont à la racine du progrès - bien que l'évolution naturelle n'y tende pas et n'a aucune finalité - et sans lesquels nous serions encore dans les cavernes et à l'âge de la pierre - et même s'ils sont notre perte en tant qu'espèce ne sauront se diluer au prix d'une sorte de bonheur collectif sans antagonisme, absolument homogène comme seul la mort peut l'être. D'autre part, je ne crois pas en l'anarchie. C'est pour le coup que la loi du plus fort l'emportera. Mais je crois que Marx avait bien dit dans l'Idéologie allemande ce qu'il voulait dire en parlant de communisme: ce n'est ni un état que doit être créé ni un idéal sur lequel la réalité devra se régler, le processus par lequel est résolue la contradiction du système capitaliste, c'est le mouvement effectif qui surmonte l'état actuel. Exproprier les capitalistes des entreprises et après? Durant la Commune Marx a reproché aux communards de passer leur temps à légiférer sur tout et rien au lieu de s'emparer de l'or de la banque de France. Mais que le "peuple" s'empare de tout l'agent du monde... Et vous verrez combien le "peuple" peut être constitué d'individus aussi avides et égoïstes que les *capitalistes" et autres bourgeois. Bien sûr nous pouvons aussi nous révolter, nous insurger, terroriser ces mêmes bourgeois capitalistes, mais là encore vous verrez - comme lors des élections - moult gens du peuple prendre parti pour les autres, comme ils votent pour des élites politiques qui leur font avaler n'importe quoi. Utiliser la violence? Elle finit toujours par se retourner contre ceux qui en usent. Mais si demain à cause de la crise la peur s'installait chez les capitalistes et si leur survie dépendait de leur seule volonté je crois qu'il pourrait se passer ce qui s'est passer en urss à la fin des années quatre-vingt. Ils pourraient bien - comme ils ont su le faire (d'une manière hypocrite certes) durant tant d'années où ils avaient la trouille de l'empire soviétique - revoir leurs attentes à la basse et sous les pressions extérieures, le "peuple" et cette confiance qui s'érode à leur égard trouver, inventer avec d'autres un mode de production soumis à l'approbation de soviets, de comités d'entreprises. Nous pouvons transformer le capitalisme mais si nous le détruisons de fond en comble comme système de production de masse, ce sont les masses qui périront bien avant les capitalistes, que je n'aime pas plus que vous ne les aimez.
Mardi 28 juillet à 10h29
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grizzly09 (2011)
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je vous suis dans votre raisonnement...
... et le compromis que vous sembleriez vouloir adopter sous forme de systeme "hybride". Cela ne peut pas fonctionner non plus a mon sens...

Marx avait en partie raison lorsqu'il disait que trop de parlottes on tue la commune et j'y adhere, d'autres anarchistes comme Bakounine et Kropotkine l'ont aussi dit... erreur de pratique, qui ne devra pas se reproduire, qui ne s'est pas reproduite a Barcelone et en Aragon et Asturies entre 1936 et 1939...

La finalite marxienne est de supprime l'etat egalement dans sa phase finale d'etablissement de la societe communiste, mais cela passe par une periode de "dictarture du proletariat" qui on l'a vu dans la pratique est impraticabe car le parti unique phagocyrte toutes les fonctions et recree une oligarchie... communiste au lieu d'etre capitaliste...

Il faut donc passer outre et supprimer letat et les insitutions au depart, et aut-gerer la societe. Le peuple suivra l'exemple de ce qui fonctionne... bien sur il y aura toujours des individualistes forcenes mais la plupart rentreront eux-memes dans le rang au vu du succes du developpement social... Ce ne sera pas toujours simple au debut, mais rien ne l'est jamais.... Ce qui retient les gens est la peur de l'inconnu et de sortir de leur zone de confort, de ce qu'ils savent et pensent fonctionner pour eux... Les serfs ne savaient pas ce que serait la vie dans servage, la vie de citoyens... Le reve est vite retombe...

La societe libertaire, egalitaire et solidaire est a mon sens la seule solution viable pour l'Humanite... et cela est tres tres realisable, bien plus qu'on le pense... Il faut simplement lacher prise...
Jeudi 30 juillet à 04h07
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michelc (1470)
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Que la rédemption soi avec toi mon frère
Vous avez raison camarade... Du reste je suis pour la nationalisation de votre pensée et la diviser pour que chaque travouiayueur puisse en bénéficier. Vous êtes notre maître à penser, notre capitaine, notre saint Graal, je me prosterne à vos pieds de travailleur... Soyez sympas passez sous la douche auparavant ! Je sens en vous notre guide (Faites pas de bêtise, vous avez des lunettes au moins). Amen, que dis-je youplala… Comment n’y avons-nous pas pensé plus tôt .Je vous érige une statue, qui sera offrande au peuple sans guide, une lumière sur votre tête qui s’allumera pour nous rappeler que sans vous nous ne sommes rien.Avez-vous un compte bancaire pour que de ce pas dans mon infinie béatitude, je puisse vous transférer l’argent décadent pour que d’un coup il prenne forme en vos idées que je suivrais jusqu’à la mort… (Ne rêvez pas trop quand m^me)
Mercredi 06 mai à 20h57
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ewan4 (61)
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banane
c'est quand même pas être stalinien que de refaire passer les banques dans le giron public, figure toi que c'est meme comme ça que ce pays s'est construit
par ailleurs, je te signale que les gesticulations boursières dans l'ensembles des mouvements ne sont pas compétitives avec les taux garanties par l'état; sans parler de ce qu'on pourrait faire si les gens payaient correctement leurs impots (combien déja les paradis fiscaux ??????)
alors cesse donc de traiter d'assassin en puissance toute personne qui refuse de se faire sucer le sang....
Jeudi 07 mai à 01h29
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michelc (1470)
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OK?
Public égal nomination du PDG = Société Général= Crédit Lyonnais = Crédit Marseillais= Crédit Coopératif= Stop ou encore? Non, le privé est bon s’il est réglementé par des notions de gouvernance, d’encadrement… Sinon relire le début…
État = loi générales
Privé = Gouvernance
Si inversement = Bordel !!!!!
Jeudi 07 mai à 01h46
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copepe (3255)
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A Ewan et Trostski
Nationaliser les banques, pourquoi pas, mais ce n'est pas la question soulevée par Trotski. Il ne parle pas de rachat de capital par l'Etat, mais simplement de déloger les propriétaires actuels des entreprises (et pas seulement les banques) par la force et la violence... De fait, c'est l'abandon de l'Etat de droit, celui qui garantit le minimum de sécurité pour le maximum de gens et de situations... Pourquoi pas, là aussi ? Mais si on vient chez moi, prender ce qui actuellement m'appartient, simplement parce que nos nouveaux gouvernants en ont décidé ainsi, ils seront reçus à coup de fusil. C'est une image, bien sûr, pour montrer que ce genre de situation ne peut aboutir qu'à l'instabilité, la violence, le meurtre et la dictature... Pourquoi croyez-vous que la constitution de 1789 fait de la propriété privée un grand principe constitutionnel, après des siècles de monarchie ?...
Jeudi 07 mai à 09h15
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rddv1942 (1386)
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pourquoi
Pourquoi croyez-vous que la constitution de 1789 fait de la propriété privée un grand principe constitutionnel, après des siècles de monarchie ?..

Parce que comme dans toutes les crises sociales et révolutionnaires le l'histoire naturelle nous enseigne que le premier mouvement mobilise les masses populaires pacifiques avant d'être dépassées par les mouvements les plus radicaux puis la terreur et enfin comme en France par la prise du pouvoir politique par la bourgeoisie qui a fait un grand pied de nez au peuple dont il s'était servi pour légitimer la propriété privée.
Samedi 25 juillet à 10h27
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Inscrit Libé +
Tu es bien rigolo
Pourquoi les ouvriers prendraient la main sur usine dans laquelle ils n'ont pas versé un centime ?

Pourquoi les ouvriers mécontents n'iraient-il tout simplement pas travailler dans une autre entreprise qui leur conviendraient mieux, ou bien encore se mettre entièrement à leur compte ? (un peu à l'image d'un animal dans la nature qui part chasser tout seul pour nourrir sa famille).

L'ennui avec les communistes, c'est malheureusement leur inaptitude à faire quelque chose avec leur propre argent.

Les emprunts Russes n'existaient plus après la prise du pouvoir par les communistes. Hop, envolés les dettes.

Par ailleurs, à supposer que ton idée saugrenue de faire prendre les entreprises par les employés soit appliqué.
Comment ferais-tu pour la gérer sans chef ?
Et comment ferait pour pour oublier qu'elles ne tombent en faillite comme cela a été le cas pour beaucoup d'entreprises en Algérie une fois que les Français en sont partis. Tu ferais comment hein ? Dis nous. Non parce qu'on aimerait bien savoir....
Jeudi 28 mai à 22h56
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Le Capital c'est du vol!
Je vais essayer de répondre aux questions que vous vous poser! Le capital c'est du travail cristalisé accumulé ! Il doit appartenir à tous et non à une minorité d'esclavagistes ! Je trouve ignoble de défendre le droit de prélever une plue value, le surtravail, au prétexte que l'on détient tout ou partie d'un capital qui est lui même le fruit de l'exploitation capitaliste!

Un prolétaire n'a pas le choix, notemment face au chomage massif, de se vendre sur le marché du travail. L'exploision du chomage massif liée à la crise, va certainement entrainé un abaissement brutale des salaires !

Mais vous savez moi je travail dans des PMEs depuis vingt ans et quand le patron part en congé...cela tourne pareil. Maintenant le socialisme c'est pas le bordel! Le travail doit etre partagé entre tous, accompagné par une baisse importante du travail, mais est obligatoire ! Qui veut du pain doit travailler! C'est évident. Mais vous savez l'économie planifiée a permi à l'URSS de passer entre 1920 et 1932, d'un pays arrièré à un pays qui a réussi une croissance fabuleuse alors que les pays capitalistes subissaient une grave crise économiques comparables à celle que nous connaissons aujourd'hui. Même si la révolution prolétarienne n'a pas pu survivre à la pression de l'impérialisme,elle a permit de démontrer la superiorité de l'économie planifiée sur l'anarchie capitaliste. Trotsky l'a parfaitement expliquée dans toute son oeuvre!

Maintenant, bien évidemment, lorsque les salariés sauront trouvé la voie à une révolte générale, la tache historique de l'avant garde communiste, est de les orientés vers l'expropriation des moyens de productions et d'échanges ! Il ne s'agit pas de sans prendre au bien personnel sous réserve qu'elles ne proviennent pas d'une accumulation massive et illégitime de l'exploitation capitaliste! Il est évident que les biens personnels de Tapie...par exemple ou d'autres plus ou moins connus seront expropriés!

Après effectivement à ce moment là, ce posera la question du pouvoir et la dictature révolutionnaire du prolétariat basée sur les conseils ouvriers!
Vendredi 29 mai à 15h57
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izarn2 (320)
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Coopératives
Des ouvriers qui ne dépendent pas du capital...
D'abors ils faudraient qu'ils refusent de dépendre:
-Des actionnaires
-Des banques.
Oui, mais, ou trouver l'argent?
De l'Etat, des Régions...
Mais surtout ne jamais réinteger le systéme...JAMAIS!
Se développer?
Pourquoi faire si tout le monde est content?
C'est meme le secret des industries de luxe...
A une époque on disait: Il faut etre coté en bourse!
lever des capitaux!
Piège...Pour les actionnaires!
Ouaf!
Samedi 30 mai à 23h19
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rddv1942 (1386)
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troller
A propos des emprunts russes disparus ce n'est pas tout à fait exact, aujourd'hui il existe l'Association Fédérative Internationale des porteurs d'emprunts russes l'AFIPER, dont le but est évidemment d'obtenir le remboursement complet de la valeur actualisée des créances.
Samedi 25 juillet à 10h34
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
pas possible
"de la dictature révolutionnaire du prolétariat " effectivement l'histoire a verifiee ce principe dans l'ex URSS et ailleur. Le succes a ete si grand qu'ils ont decide par eux meme de l'arreter-Seule la Coree du Nord dans son infinie claire-voyance a eu le courage de poursuivre l'experience pour le grand bonheur de sa population (qui compte le moins d'obese au monde !)
Au faite .. quand etes vous ne ? avez vous ete sequestre dans un secte Trotskyste depuis votre enfance ?
Mardi 02 juin à 01h40
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Bientot vous ne rigolerez plus...
Il est facile de railler les communistes révolutionnaires qui se réclament de l'oeuvre de Trotsky! Nous serions sectaires, attachés à des fétichismes du passé.

Mais vous savez quand des millions de salariés vont se retrouver sans revenu, épuisés leurs maigres droits aux indemnités Assedics, il n'est pas dit que vous serez en mesure de nous prendre de haut avec vos arguments à un centime d'euro...

Il n'est pas dit que la fiction idéologique du dogme de la démocratie bourgeoisie tienne longtemps également dans les esprits...

On verra qui rigolera le dernier ! Cher Monsieur.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Trotsky, je les invites à lire un ouvrage majeure écrit en 1920 "TERRORISME ET COMMUNISME". Un extrait interessant pour répondre à ce monsieur:


"TERRORISME ET COMMUNISME
http://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/t_c/t_c_5.htm


La bourgeoisie capitaliste se dit :

"Tant que je posséderai les terres, les usines, les fabriques, les banques, tant que je dominerai la presse, les écoles, les universités, tant que je tiendrai entre mes mains - et c'est l'essentiel - l'armée, le mécanisme de la démocratie, de quelque façon qu'on le remanie, demeurera soumis à ma volonté. La petite bourgeoisie inepte, conservatrice et dépourvue de caractère, m'est aussi soumise spirituellement qu'elle l'est matériellement. J'écraserai ses aspirations par la puissance de mes entreprises, de mes bénéfices, de mes projet et de mes crimes. Quand, mécontente, elle murmurera, je créerai des soupapes de sûreté, des paratonnerres à la douzaine. Je susciterai, quand j'en aurai besoin, des partis d'opposition qui disparaîtront aussitôt après avoir rempli leur mission en donnant à la petite bourgeoisie l'occasion de manifester son indignation sans causer le moindre préjudice au capitalisme. Je maintiendrai pour les masses populaires le régime de l'instruction générale obligatoire qui les maintient à la limite de l'ignorance et ne leur permet pas de s'élever au-dessus du niveau reconnu inoffensif par mes experts en soumission des esprits. Je corromprai, je tromperai et je terroriserai les couches les plus privilégiées ou les plus arriérées du prolétariat. Grâce à l'ensemble de ces mesures, tant que ces instruments indispensables d'oppression et d'intimidation resteront entre mes mains, j'empêcherai l'avant-garde de la classe ouvrière de conquérir la conscience du plus grand nombre".

A quoi le prolétariat révolutionnaire répond :

"Par conséquent, la première condition de salut est d'arracher à la bourgeoisie ses instruments de domination. Nul espoir n'est permis d'atteindre pacifiquement au pouvoir alors que la bourgeoisie conserve tous les instruments de domination. Triplement insensé, l'espoir d'arriver au pouvoir par la voie que la bourgeoisie indique et qu'elle barricade en même temps, la voie de la démocratie parlementaire. Il n'est qu'un chemin : arracher le pouvoir à la bourgeoisie en lui ôtant les instruments matériels de sa domination. Quel que soit le rapport apparent des forces au parlement, je socialiserai les principales forces et les principaux moyens de production. Je libérerai la conscience des classes petites-bourgeoises hypnotisées parle capitalisme. Je leur montrerai par les faits ce qu'est la production socialiste. Alors même les couches les plus arriérées, les plus ignorantes et les plus terrorisées de la population me soutiendront et adhéreront volontairement et consciemment à l'œuvre d'édification socialiste".
Vendredi 05 juin à 16h02
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lolo (5235)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Certes...
Mais que dit la bourgeoisie révolutionnaire au prolétariat capitaliste?
Et vice versa...
Dimanche 07 juin à 08h54
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lolo (5235)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
...
Rien de plus à rajouter sur ce forum moribond, si ce n'est que j'en avais marre de lire sans arrêt mon post à la con dans "Tous les forums"...
Dimanche 21 juin à 11h35
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lolo (5235)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
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Dimanche 21 juin à 19h16
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rddv1942 (1386)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
trotsky, ne vous embalez pas,
autant Lénine que Trotsky avaient tort de vouloir la révolution dans un seul pays et en plus dans le seul dont Marx redoutait qu'elle puisse advenir.
D'autre part relisez-le, la révolution ne pourra se développer à l'échelle mondiale qu'à partir de l'inéluctable universalisation du capitalisme sur l'ensemble de la planète. C'est du reste pourquoi bien qu'il ait apporté son soutien aux communards devant le fait accompli il s'y était d'emblée opposé, sachant très bien comment cela allait finir. Et jusqu'à présent cela s'est toujours mal terminé.
Samedi 25 juillet à 11h03
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rddv1942 (1386)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
trotsky,
A mon avis ce n'est ni du côté de Lénine ni de Trotsky qu'il faudrait se tourner, mais simplement vers Marx et en particulier vers l'idéologie allemande qui est entre autres source des meilleurs arguments contre l'idéalisme communiste et anarchiste.
Samedi 25 juillet à 10h37
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
NI RÉSISTANCE NI PROGRAMME
Dans cette période de confusion, où l’économie financière planétaire impose sa dictature "à perpétuité", détruisant les conditions de survie de ses habitants, les solutions de changement actuelles se sont avérées inopérantes, car inadaptées aux nouveaux conditionnements de la société du spectacle.
Nos expériences d’échec ont construit nos croyances limitantes.

Résister, du latin « résistare » qui signifie « s’arrêter », c’est rester intact, ne pas être altéré, endurer, bien supporter, s’opposer, se retenir de faire une offensive, un changement radical.
Après le temps des revendications où l’on quémandait quelques miettes de plus, s’est installé le temps des résistances réactives qui tentent de conserver quelques miettes d’une exploitation sans limite. La résistance aux pressions antisociales et inhumaines est réactionnaire. Elle limite tout désir de changement à une seule réaction, dans les règles du jeu d’une politique d’asservissement, réduite au contexte spectaculaire de sa domination. Une résistance dans la perspective des contraintes n’est qu’une résistance au changement.

La résistance à l’envahisseur étranger, place les résistants dans la marge de la société. Pour considérer les politiques anti-sociales comme envahissantes ils doivent se placer à l’extérieur, et créer ainsi une séparation entre eux et la société. S’excluant de la vie sociale, ils s’économisent toute possibilité de transformation réelle. Les « antis » de tout bord, chacun dans sa spécialité, bien séparés des autres, se placent d’emblée dans une opposition de dépendance, stérile et inopérante.
Par la résistance à une réforme, on fixe le changement à un retour en arrière. Comme but unique à un mouvement, il ne peut que générer un problème paradoxal sans fin. La résistance n’a jamais réalisé de la libération que son aspect spectaculaire, réduit à son espace restreint vicié, elle ne peut que conserver l’essentiel de sa servitude aux dimensions de l’exploitation.
« [les syndicats] manquent entièrement leur but dès qu’ils se bornent à une guerre d’escarmouches contre les effets du régime existant, au lieu de travailler en même temps à sa transformation et de se servir de leur force organisée comme d’un levier pour l’émancipation définitive de la classe travailleuse, c’est à dire pour l’abolition définitive du salariat. »
Karl Marx,
Salaire, prix et profit, 1865.

Depuis, les syndicats sont devenus maîtres en compromissions et divisions, champions en traîtrises. Les dirigeants syndicaux ont bien su défendre leurs intérêts en bloquant la plus grande grève générale sauvage, en mai 68. Leur opposition à tout changement radical leur permet d’être reconnus d’utilité publique par le pouvoir. Certains syndicats qui ne veulent pas jouer leur rôle conservateur sont relégués aux oubliettes du spectacle et condamnés à l’opposition active de tous les syndicats reconnus officiels.

La représentation de la contestation prête une autorité fantasmagorique à un pouvoir qui en est dépourvu. La soumission des révoltes aux modes des résistances, les installe dans un fatalisme où tout changement radical est impossible. Réduites dans leur forme, leur communication et leurs actions à une simple opposition parcellaire, de convenance et d’apparence, les résistances se montent en festival pour terminer en spectacle. C’est une rébellion sans lendemain, pour la forme, sans conséquence sur le fonctionnement du système. Les opposés s’équilibrent, et tout se perpétue dans la continuité de la soumission.
Les « contristes » des résistances cherchent à se faire passer pour des experts, s’affichant en tant que spécialistes : anticapitalisme, antiG8, antimondialisation, anticroissance, antipollution, antinucléaire, antiOGM, antipub, antifascisme, antiracisme, antisexisme, antirépression, antitout et même anti-anti...
La conscience de l’aliénation conforte son emprise quand elle occulte les moyens de s’en émanciper.

La volonté de pouvoir sur les autres entraîne une surenchère de domination où les forces qui se combattent s’annulent dans une opposition perpétuelle, s’empêchant d’agir autrement, occultant toute possibilité de changement. De l’insatisfaction à la frustration, de la dévalorisation à l’ennui, des comportements tellement prévisibles entretiennent les conflits dans leur permanence immobile. Absorbés par des attitudes répétitives préconçues, les belligérants limitent leur espace de liberté en réduisant leurs possibilités de dépasser ce conditionnement.
Croire qu’il n’existe qu’un seul chemin pour atteindre un objectif conduit à une pensée conflictuelle et réductrice. La persistance d’un conflit d’opposition réside dans la rigidité et la perpétuation de la manière linéaire de les appréhender, qui veut qu’il n’y ait qu’un seul coupable et qu’une seule cause.
Lutter uniquement contre des objections et des interdits revient à les renforcer, à ramer à contre-courant et à revenir un peu plus en arrière. Il ne s’agit pas d’opposer la force à la force mais de la réorienter dans une direction favorable, en transformant le frein de la résistance en énergie pour le changement.

N’ayant d’existence que dans le domaine du spectacle de l’économie régnante, l’opposition morcelée et divisée s’est réduite à n’exister que dans des réponses limitées aux mesures du pouvoir, sur le terrain de la propagande médiatique, là où elle est sûre de réussir à échouer.
Certains s’imaginent dans le rôle de résistant révolutionnaire. Mais se croire révolutionnaire quand il n’y a pas de révolution est une utopie sans devenir, qui crée elle-même son propre malheur.
Il s’agit maintenant de sortir de ce cadre réactionnaire préétabli d’opposition en abordant la situation dans un contexte élargi, par un point de vue décalé où tout devient possible. Le « mal à vivre » peut-être appréhendé aujourd’hui dans toutes ses dimensions.

L’immobilisme perpétuel de l’activisme routinier réside dans sa quête de l’idéal. La certitude de l’idéal n’est pas une preuve de vérité. Celui qui pose le bien absolu pose aussi par là même le mal absolu. La poursuite de l’idéal, qu’il soit mystique, spectaculaire, politique ou scientifique, est une force qui cherche toujours le bien ou le vrai et crée toujours le mal ou le faux. L’un est impensable sans l’autre. L’hypothèse de départ qui permet de réussir à échouer, est de croire que le monde est divisé en deux, le bien et le mal, le vrai et le faux. Mais le monde est peuplé de deux sortes de gens : ceux qui croient qu’il existe deux sortes de gens, et ceux qui ne le croient pas. Toute théorie idéale ne donne jamais, au mieux, qu’une image, ou une interprétation figée du monde.
Nous sommes dans une situation où la recherche d’une solution crée un problème sans choix possible. En s’efforçant d’atteindre l’inaccessible, l’utopie idéalisée rend impossible ce qui est réalisable.
« Le concept d’utopie m’irrite. Ce lieu qui n’est nulle part, je le perçois partout. »
Raoul Vaneigem,
Journal imaginaire, 2006.

Pour réussir à échouer à tous les coups, il suffit de chercher la solution des solutions, la résolution finale du jour de la révolution où l’on aura gagné lorsque tous les autres auront perdu. La guerre de tous contre tous, résultat de la dénaturation humaine, est un vieux réflexe prédateur qui ne conçoit d’alternative qu’entre écraser ou être écrasé. Les prédateurs se combattent, mais ne combattent jamais la prédation. Les énoncés des problèmes de changement vagues et globaux, qui dépendent entièrement d’un aboutissement fixé dans un futur hypothétique, comme le mythe du Grand Soir, ne trouveront que des solutions falsifiées, car certaines constructions de la réalité ne peuvent qu’enfermer les individus dans l’impasse de leur objectif absolu. Ceux qui croient aux vertus de la révolution l’érigent en profession de foi, appliquant à l’histoire l’aberration de l’au-delà céleste. Une seule règle simple peut mettre fin à ce jeu apparemment interminable, mais cette règle n’appartient pas à ce jeu.
La volonté d’émancipation est contagieuse, mais elle ne peut s’imposer.

Un programme politique, qu’il soit réformiste ou révolutionnaire, se présente comme la solution bienfaitrice qui tend vers la perfection. Un programme se construit sur une interprétation de la réalité qui se prétend vraie. Elle n’est pas la réalité elle-même mais seulement une interprétation parmi d’autres. Ce système interprétatif est difficilement définissable et impossible à contrôler. Il n’est pas perçu comme une interprétation par celui qui interprète mais comme une évidence qui va de soi. L’observateur influe sur son observation d’une réalité qu’il se construit par l’interprétation de ses perceptions.

Construire un programme parfait et définitif n’est qu’une prétention irréalisable. Nous ne pouvons jamais prétendre qu’à des approximations d’une vérité multiple qui reste toujours en partie incompréhensible.
Le politicien considère comme inacceptable cette imperfection. Il présente son interprétation du monde comme absolument vraie, ce qui implique que toutes les autres positions sont hérétiques, d’influence maléfique. L’idée d’une interprétation du monde absolument vraie exclut, par définition, la coexistence d’autres interprétations. Aucune autre interprétation n’a le droit d’exister.
Posséder l’ultime vérité consiste à s’accrocher à la croyance stupide que la vérité s’imposera d’elle-même un jour ou l’autre. Face à l’adversité, le recours à la force et à la violence contre tous les autres s’auto-autorise paradoxalement, pour le bien de tous. Ce bienfaiteur universel ne veut pas la violence, mais la réalité, celle qu’il a inventée, le contraint malgré-lui à y recourir. La croyance illusoire d’être le seul au monde à détenir la vérité conduit à une paranoïa destructrice et suicidaire.

Un programme se construit sur l’uniformisation des personnes et sur la négation de toutes différences, de toutes individualités. La population est dépersonnalisée. Tout programme politique, ne tenant pas compte des individus dans leurs différences et leur socialité, se présente comme une autorité supérieure à laquelle on doit se soumettre. Tout programme, comme prédiction inévitable, tend, par son fonctionnement même, vers une dictature qui s’impose d’elle-même. De son point de vue, quiconque ne l’accepte pas prouve par là sa dépravation et sa sournoiserie maléfique, et doit être converti ou éliminé.

Il serait stupide de croire que tout le monde puisse se convertir à nos convictions. Il est temps de sortir de sa petite famille politique engluée dans ses habitudes compétitives et ses croyances réductrices, et de se remettre en question en se recomposant avec les différences des autres dans une co-dérive structurelle d’où émergeront des changement inévitables. La démocratie sera effectivement l’affaire de tous ou ne sera pas.
Ce que le futur sera, on ne le connaît pas. Quand on ne sait pas, il est prudent d’assumer son ignorance. Le futur sera ce que nous en ferons avec tous les autres dont on ne connaît pas encore les réactions et les désirs, dans des situations différentes de celle d’aujourd’hui qu’on ne peut prévoir avec notre manière de voir d’aujourd’hui. Nous ne sommes plus prisonniers du futur du passé, car nous avons choisi de prendre le présent dans son devenir.

La confusion disséminée par le grand spectacle de la marchandise toute puissante a effacé des mémoires reprogrammées tout projet de changement effectif au profit d’investissements dans l’agressivité d’un consumérisme insatisfait. La victoire de cette société apparaît dans son entreprise de saccage de la planète qui a réussi à infecter ses ennemis de cette rage de tout dévaster, déshumanisant les forces vives qui veulent l’anéantir, en les réduisant à une résistance destructrice et inefficace. La rage contre l’autorité est rongée par l’autoritarisme. Le nihilisme, l’inertie du désespoir se faisant passer pour lucidité de la souffrance, tient pour aveuglement surréel l’émergence du bonheur possible, sans laquelle les tentatives de changement n’auraient pas bouleversé le cours de l’histoire.
Chercher à détruire un monde qui se nourrit de ses propres ruines sans chercher à en construire un nouveau, travaille effectivement à conforter celui qu’on voudrait éradiquer. Ce qui ne s’implique pas totalement dans la vie et son incessante invention aboutit à cette destruction, qu’est le changement dans l’impossibilité de changer, là où tout devient interchangeable.

Ni soumission, ni résistance, ni programme, ni utopie, ni oui, ni non, sont la base d’un recadrage nécessaire pour devenir opérationnel, pour jouer un autre jeu qui s’amuse avec les règles tout en allant dans le sens où ça va bien, où c’est facile, par plaisir, là où on peut prendre et donner sans rien attendre.

Lukas Stella

Extrait de "STRATAGÈMES DU CHANGEMENT,
De l’illusion de l’invraisemblable à l’invention des possibles"
Chapitre II,
Éditions Libertaires / Courtcircuit-Diffusion

http://inventin.lautre.net
Les inventeurs d'incroyances
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Les détenteurs de vérités suprêmes, prenant leurs prédictions pour des réalités supérieures, n’ont fait que diviser le monde dans des compétitions guerrières qui renforcent la permanence d’une société sans devenir. Passant du désir au plaisir de changer ensemble, le recadrage de nos points de vue, décalés dans l’invention de futurs accessibles, change notre interprétation des situations. En modifiant ainsi les règles du jeu, nous augmentons le nombre des choix possibles, créant de nouveaux espaces de liberté.
Le bricolage opératoire collectif se substitue aux croyances réductrices autoritaires.
Ce monde de séparations peut alors se reconstruire dans une écologie de la relation.
Dimanche 03 mai à 18h34
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Impressionnant : infos chiffrées salaires finance
Ci-dessous le lien vers les salaires moyens en 2008 des banquiers dans le domaine de la finance (notamment traders, sales, structureurs, etc.).

http://www.mondovisione.com/pdf/Presentation%20FINAL.pdf

Elle est réalisée chaque année par le respecté cabinet Napier Scott (http://www.napierscott.com/financialsearch/ aller sur Salary Survey).

Parfois les chiffres parlent plus que les mots. C'est le cas ici je crois avec ces salaires époustouflants.
600 000 Euros EN MOYENNE par an après 5 ans d'expérience dans le "front office"! Salaires des traders identiques aux mathématiciens (structureurs) et aux vendeurs (sales).
Je crois que ce sont des informaitons qui permettent de comprendre beaucoup de choses et qui méritent d'être partagées !
Dimanche 03 mai à 19h10
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QUE PRÉPARENT CERTAINES QUESTIONS?
De qui se moque t on? C'est bien connu, les syndicats unis défilent et ensuite font la... RÉVOLUTION. Ben voyons.
A l'instar d'un ancien Premier Ministre, pourquoi poser la question: la France est elle au bord de l'insurrection? Certains ne cherchent il pas à préparer les esprits à quelque chose de grave? Des lois plus liberticides, une peur des esprits? Le phénomène des occupations/séquestrations n'est pas nouveau. Pourquoi insister autant en cette période. La situation économique et financière serait elle bien plus grave que prévue? A travers ces titres racoleurs veut on préparer les esprits à cela? Si nous voyons trop loin, alors la réponse est simple. Les séquestrations sont des délits, mais toute société doit répondre de manière proportionnée, en fonction de la situation du moment. Les stopper OUI, envoyer tous les employés en prison comme si c'étaient des gangsters, NON. Sur le "risque d'insurrection", foutaise. Le Premier Ministre en question sait, mieux que personne, qu'une série d'incident ne fait pas une révolution. Une "révolution" est le produit de facteurs qui ne sont pas, ici et maintenant, réunis. Nous vivons une époques de révoltes. C'est pire. Une révolution est portée par un espoir. Dans les révoltes, il n'y a nul espoir. Inutile de planquer son argent (dévalorisé) en Suisse, la Confédération est sur la liste grise des paradis fiscaux. Les temps sont biens plus durs, l’absence d'espoir n'est pas une perspective souhaitable
Samedi 02 mai à 18h18
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Je me pose une question
'
Demain 1er mai, jour de grandes manifestations qui nos amis et partenaires sociaux nous promettent unitaires à une Royal près, verra donc défiler quelques millions d’entre nous (enfin espérons.)

Question : Quid du A/H1N1 dans cette histoire ????? Je ne vois pas d’autre solution que de défiler muni d’un masque pour me protéger de la dangereuse promiscuité que génère automatiquement ce genre d’événements… Mais là…. Arf… Que va faire la police ? Un masque est-il assimilable à une cagoule ?
Jeudi 30 avril à 17h56
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copepe (3255)
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H1N1 ? Touché coulé (A Toutm)
Oui, ben moi, je vais rester à la maison à visionner R2G2, du coup !
Jeudi 30 avril à 19h38
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horsujet (148)
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Vous avez tord
C'est pseudo épidémie est un complot des gouvernements pour faire peur et décourager le peuple de manifester.

A demain à la manif. Où que vous manifestez.
Jeudi 30 avril à 22h18
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Quoi ? Un complot ?
'
Vous pensez à une clique de businessmen ?

Maintenant que vous le dîtes....

Nan j'déconne. Aux manifs !!!
Vendredi 01 mai à 10h54
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pas de violence
Dans une démocratie, la violdence est toujours illégitime.

Les séquestrations ne sont pas acceptables et doivent être sévèrement punies. Les syndicats devraient en outre exclure les salariés qui participent à de telles exactions.
Jeudi 30 avril à 17h50
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Passons à l'offensive, proposons un nouveau projet de société
Face à la casse sociale actuelle les luttes sont légitimes. Par contre, il ne faut pas se contenter de contester les actions du gouvernement ou à réagir à chaque fermeture d’entreprise.

Ces réactions de désespoir ou de contestation ne donnent aucun résultats. Dans le contexte actuelle, si les acteurs des mouvements sociaux proposaient de nouvelles mesures "une loi sur la semaine de 3 jours, une loi sur l'interdiction de la spéculation immobilière, un moratoire sur l'utilité des biens et services que nous produisons, etc..." et un nouveau projet de société qui ne soit pas matérialiste, là ils commenceraient à faire réellement peur au MEDEF et à l'UMP.

La France et l’ensemble des pays industrialisés sont confrontés à une récession économique et à une crise politique, sociale, écologique et climatique majeure.

Afin de supprimer le chômage provoqué par la récession et les gains de productivités, les gouvernements ont deux solutions : relancer la croissance ou réduire le temps de travail. Le choix entre l’une ou l’autre de ces solutions n’est pas qu’une simple alternative économique, il correspond, au contraire, à un véritable choix de société, dont la clef est le temps.

En effet, face à ces crises, les populations des pays industrialisés sont condamnés à changer radicalement leur mode de vie. Ce changement ne peut plus être une simple régulation de notre modèle économique. Il doit, au contraire, nous conduire vers un projet de société fondé sur le développement humain, dont la clef est la semaine de 3 jours et la finalité, l'émancipation des facultés de l'homme.

Pour plus d’info :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/En+finir+avec+le+ch%C3%B4mage+un+choix+de+soci%C3%A9t%C3%A9/video/x93exo_en-finir-avec-le-chomage-un-choix-d_news
Jeudi 30 avril à 16h14
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gosh31 (55)
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seamine de 3 jours
La semaine de trois jours peut être un objectif social à plus ou moins long terme, mais certainement pas un moyen : c'est la manifestation d'un progrès social, pas la cause.

La réduction du temps de travail ne peut se faire qu'en situation de forte croissance économique ou de forte croissance en productivité. Dans le cas contraire, diviser le temps de travail divise la production des richesses et donc au final provoque un apauvrissement. En réalité cela ne fait pas que diviser la production, mais cela détruit aussi une part de la production, car dans la durée de travail, il y a une part non productive incompressible, et donc indivisible.
Vendredi 01 mai à 14h40
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thensig (638)
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complexe
avec l'augmentation du chomage la réduction du temps de travail est de fait du moins globalement. Il s'agirait donc de répartir équitablement ce temps de travail réduit mais en suppossant qu'il yait une réelle exigence d'égalité et de justice sociale cela poserait des problémes techniques sur le plan collectif d'une complexité inouis. La flexibilité de l'emploi est peut etre une solution beaucoup moins complexe a métter en oeuvre à condition qu'elle soit collectivement encadré
Mardi 05 mai à 12h01
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copepe (3255)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
A Thensig
"avec l'augmentation du chomage la réduction du temps de travail est de fait du moins globalement"

Absolument ! Et de fait, ce que nous payons en cotisations en tout genre pour éviter le "bouillon" définitif aux chomeurs pourrait utilement nous être directement retiré (moyennant plus de temps libre) pour permettre à l'entreprise qui nous emploie d'embaucher quelqu'un...
Mardi 05 mai à 12h42
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copepe (3255)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
oui mais...
Essayons d'abord la semaine de 4 jours ! Mais pour que ça marche (partage du temps et de l'argent qui va avec), il faudra se résoudre à être payé sur 4 jours ! On peut imaginer une dégressivité : du smic payé 5 pour 4 jours travaillés au gros salaire payé 4 pour 4... histoire de ne pas plomber encore plus nos comptes...
Vendredi 01 mai à 14h48
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michelc (1470)
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Bonjour Copepe
Connaissant votre aversion pour tout ce qui est présenté comme un complot. Je vous conseille si vous êtes de bonne humeur, prêt à en rire, d’aller alors voir le sujet concernant la « Grippe Porcine ». ; Vous y apprendrez tellement de choses que l’on nous cache !!!!!
Samedi 02 mai à 19h22
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copepe (3255)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
ReOpen404 (pijo)
Grippe porcine ! Inutile de me le dire, je suis au courant du complot ! Il est évident que c'est un coup de la "clique des politicards véreux" qui dirigent notre pays, pour détourner les yeux des citoyens des vrais problèmes de notre pays. Ainsi Bachelot qui passe son temps à parler de la grippe en "oublie" la réforme de l'hopital... On nous endort, nous, les braves gens ! Et puis, on nous la fait pas, qu'est-ce qu'il est allé faire, Sarko au Mexique, on n'a jamais su où il était d'ailleurs (séjour payé par le gouvernement, par des amis privés, etc...), la Vérité c'est qu'il était en train d'inoculer une saleté de cochonnnerie (sic) de virus dans un élévage de porcs...
Mardi 05 mai à 10h54
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dodo (665)
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projet de société
" Il doit, au contraire, nous conduire vers un projet de société fondé sur le développement humain, dont la clef est la semaine de 3 jours et la finalité, l'émancipation des facultés de l'homme." 100 % d'accord avec vous, d'autant qu'à PSA Sochaux, c'est tout à fait le contraire qui se passe : les samedis sont programmés travaillés, et une heure supplémentaire du lundi au jeudi pour l'équipe de l'après-midi du 25 mai au 23 juillet, soit de 13h12 à 22h20. Tout ça, après avoir viré les intérimaires quelque temps auparavant...
Vendredi 01 mai à 21h04
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michelc (1470)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Dangereux
Bonjour,
Autant le titre était attractif autant la suite est décevante. Imaginons que la semaine de 3 jours ne marche pas alors on passe a 2 ? Comment allez vous gérer une PME sur une semaine de 3 jours ? Car la société, elle devra tourner sur Cinq six ou sept jours en fonction de son activité. Croyez vous que vous puissiez avoir une telle compétence pluridisciplinaire des employés pour pouvoir faire tourner une entreprise sur 3 Jours ? Comment ferez-vous avec les services d’urgence ? Votre proposition me rappelle ce film délirant où un auto-stoppeur est sûr de faire fortune parce que, pour son principal concurrent, le slogan est « Faites vous des abdominaux en 7 minutes » et lui lance la société qui fait la même chose en Six minutes !!!
Faire des propositions, en effet. Mais si vous partez du principe qu’une personne ne s’épanouie pas dans une entreprise alors dès le départ toute proposition que vous puissiez faire sera mauvaise à la base. Comment accepter que la libéralisation de la condition féminine, ait été dûe à leur entrée dans le monde de l’entreprise et en même temps dire que l’émancipation ne vient pas du travail ? La liberté c’est le choix. Celui aussi d’être attaché à son travail. Faire peur au MEDEF et à l’UMP ? Mais pourquoi diable voulez-vous faire peur ? Ces mots ne seraient-ils pas encore moins constructifs que ceux que vous semblez pourfendre ?
Comment envisager votre démarche sociétaire sans une remise à plat au niveau mondial ? Car, en effet si vous interdisez ou structurez de la sorte notre économie ne pourrait tenir. La seule solution est donc que ce modèle soit à l’échelon planétaire. Avez-vous pensé que des Pays et ils sont très nombreux n’aient pas du tout envie de votre modèle social ? Allez proposer votre système dans les pays de l’ex-bloc de l’Est et c’est à coup de pieds qu’ils vont vous raccompagner à la frontière.
La fin de la spéculation immobilière, en effet il faudrait raisonner là-dessus. La spéculation immobilière attire en général des personnages sans réel autre ambition que de gagner beaucoup et vite. Mais il ne faut pas oublier que si vous la maîtrisez mal alors des capitaux étrangers vont venir acheter nos biens en énorme quantité.
L’émancipation passe surtout par l’entreprise m^me si, et c’est important de l’accepter pas pour tout le monde. En revanche je vous autorise à ne pas travailler, à ne pas considérer que votre émancipation passe par ce biais, mais je vous interdis de m’imposer le contraire.
Faire peur à des gens, des syndicats, des partis politiques, faire un programme mondial... Des intentions que nous connaissons et avons vu fleurir dans certains pays, le résultat fut au contraire l’asservissement à une cause et non son émancipation.
Samedi 02 mai à 19h50
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Inscrit Libé +
sarko sarko une video qui vas buzzer
UNE VIDEO INTITULEE SARKO SARKO !!!

UN CAVALIER QUI SURGIT HORS DE LA NUIT
COUT L'INVESTITURE AU GALOP
SON NOM IL LE SIGNE A LA POINTE D'UN MARTEAU
D'UN S QUI VEUT DIRE SARKO

SARKO SARKO
RENARD RUSE QUI FAIS SA LOI
SARKO SARKO
VAINQEUR TU LE S'RAS PAS DEUX FOIS

SARKO SARKO SARKO.........


oh tu vas avoir des problèmes toi !!!
comme ils diraient a canal plus ........ diffusez le lien super buzz en vue!!!

http://www.dailymotion.com/video/x954jg_sarko-sarko_fun
Jeudi 30 avril à 13h29
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
A crise difficile, moyen d'action extrémiste
Je ne cautionne ni les séquestrations, violences et autres saccages. Néanmoins, quand les décideurs ne prennent pas les décisions qui conviennent et que ces mêmes décisions provoquent au sein de beaucoup de familles de véritable désastres et ne permet de voir l'avenir avec pragmatisme, aussi, on ne peut pas cautionner mais on peut en revanche comprendre ce qui motive leurs gestes. Et je défi toute personne de dire que si sa situation était la même, se contenterai de dire " on n'est pas d'accord, on n'est pas content!". Il y a une radicalisation des mouvements sociaux parce que il n'y a pas de réponses convenables. A cela, ajoutez des injustices criantes dont les salariés sont victimes régulièrement alors je le dis : Aucune réaction venant d'en haut, moyen d'action extrémiste. C'est une constante les exemples dans l'histoire sont nombreux. Messieurs, Mesdames les dirigeants écoutez les gens en détresse!
Jeudi 30 avril à 10h49
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yoakam (10)
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Logique
La surdité et l'obstination gouvernementale ne peut qu'entraîner de telles radicalisations des mouvements sociaux. Au lieu de répondre d'une voix répressive, le président devrait , plutôt jouer la carte de l'écoute et de la remise en question. En est-il capable ?
S'il ne le fait pas, il devra , en toute logique, faire face à la colère du peuple et, surtout, à ses conséquences.
Mercredi 29 avril à 21h56
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