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Violence à l'école: comment répondre ?

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kalao (2)
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violence à l'école réponse: la famille ne joue plus son rôle
je partage tout à fait l'analyse de spiro.
C'est dès la petite enfance, que l'éducation au sein de la famille, les valeurs de respect des différents membres de la famille, l'autorité, les limites à ne pas dépasser s'apprennent que l'enfant découvre sa place dans la fratrie, le dialogue, les premières relations sociales, les repères pour se construire. Une fois ainsi bien structuré, il sera prêt pour entreprendre l'étape suivante de sa vie, l'école: nouveau groupe social plus large, où il devra et pourra s'intégrer en respectant les valeurs qui lui auront été inculquées. il sera apte à recevoir l'enseignement des bases fondamentales pour l'acquisition progressive de la connaissance. bien préparé psychologiquement à la maison, connaissant déjà l'autorité, il n'aura pas besoin de chercher des repères, sa place, en créant du chahut, de la violence et l'enseignant pourra jouer son rôle d'enseignant et non de redresseur de torts!
La Première chose à faire pour répondre à la violence à l'école c'est d'apprendre ou de réapprendre aux parents leur rôle de parents. Créer une école des parents où iraient les futurs parents en formation pendant les mois de grossesse. Les jeunes ne sont pas du tout préparés à la venue d'un petit enfant dans leur vie. Comme la maman ours sur la banquise va entourer ses petits, les préparer longtemps en les accompagnant, leur apprenant tout ce qui leur sera nécessaire pour affronter seul le monde sauvage, de même la maman doit accompagner son petit enfant lui apprendre ce qui lui sera fondamental pour trouver sa place dans la société au cours des différentes étapes
Vendredi 19 mars à 21h01
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remy2 (719)
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Idée de bobo
Vous avez une idée de la logistique qu'il faudrait pour faire ça ? Locaux, convocation et suivi des futurs parents, formation dans une langue qu'ils comprennent, formation des formateurs... Vous vous imaginez les coûts ?

Et puis, vous vous figurez que les populations concernées vont jouer le jeu ? Les familles déstructurées où les gosses sont mal élevés, c'est pas des gens superintelligents maxicultivés qui mènent une réflexion approfondie sur la manière de s'y prendre avec les enfants : c'est des mères seules débordées, c'est des pères machos qui enferment leur femme, c'est des drames sociaux : ils diront va te faire foutre avec ton école des parents, j'ai des problèmes plus graves que ça, et ils auront raison, en plus !

Et puis vous croyez que le personnel médicosocial, sages-femmes, médecins-pédiatres, assistantes sociales, etc., ne s'occupent pas déjà de donner des conseils aux parents ? S'il suffisait de quelques heures de formation pour transformer un alcoolique et une analphabète en bons parents, ça se saurait !


Renforcer de quelque manière que ce soit le poids déjà énorme des familles dans l'éducation des enfants conduit systématiquement à une reproduction accrue des inégalités sociales. Il faut au contraire soustraire le plus souvent et le plus longtemps possible les enfants à leurs familles. En pratique : développer les crêches collectives, organiser des garderies avec du personnel professionel, mettre les locaux scolaires à disposition le soir pour l'étude, promouvoir l'internat, tout ça notamment pour les élèves boursiers... Ces mesures coûteraient beaucoup moins cher que votre "solution", et seraient bien mieux acceptées par les populations concernées, bien contentes de ne pas avoir en permanence leurs gosses sur les bras.
Dimanche 21 mars à 10h13
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kalao (2)
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Ce n'est pas une idée de BOBO!
Vous avez raison lorsque l'on voit l'ampleur du travail, des difficultés des dégâts, , certes il faut aller au plus pressé pour essayer d'améliorer la situation, en mettant en place tout ce que l'on peut mais je maintiens que tous ces rafistolages coûtent plus cher, et que c'est la prévention, la recherche des solutions en AMONT pour les JEUNES qui vont être parents, c'est eux qu'il faut aider, aider les futures mamans qui subissent souvent des dépressions normales après la naissance dont on ne parle jamais, lorsque j'ai accouché il y a longtemps des assistantes sociales visitaient les familles, leur donnaient des conseils, nous écoutaient .Créer des structures d'accueil municipales, donner des cours de langue avec des retraités qui ont un peu de temps, tout cela est à étudier, cherchons tous ensemble.
Dimanche 21 mars à 12h32
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?!?!
" c'est des mères seules débordées, c'est des pères machos qui enferment leur femme, c'est des drames sociaux "

?!?!
Dimanche 21 mars à 15h27
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hector (6429)
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Et on ne nous dit rien à propos du papa pingouin et du phoque en Alaska dont la blonde est partie.

Bonjour dod, vous ne comprenez pas tout, dans ce dialogue, et moi non plus.

"les valeurs de respect des différents membres de la famille", "l'autorité", les enfants "bien structurés", "la maman ours sur la banquise", "affronter seul le monde sauvage", "transformer un alcoolique et une analphabète en bons parents", "soustraire le plus souvent et le plus longtemps possible les enfants à leurs familles", "promouvoir l'internat, tout ça notamment pour les élèves boursiers"...

Où ça le "monde sauvage" ? Quel "monde sauvage" ? Soit je suis un bébé extrêmement précoce, soit je ne l'ai jamais trouvé ! Aurais-je raté quelque chose ?

Hector, manges ta soupe et tais toi !
Dimanche 21 mars à 19h47
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L'internat !
Le fameux, que l'on brandissait comme un martinet aux lanières acérées ! On en est bien revenu ; la plupart des gamins - dont ma fille un peu problogmatique et anti-prof-tout-etc..., rêve d'y aller, histoire d'être prise en main par une structure et, en fin de compte, pour se retrouver avec les potesses ( le phénomène d'émulation entre les enfants d'aujourd'hui est assez incroyable ! Dans les mangas aussi nous n'avons que les ados ensemble, sans parents ) ! Et ce n'est pas la seule ! Des psys recommande désormais la chose pour les kids qui veulent se prendre en main, et quitter les parents. Et ça marche, paraît-il ! Mais bon, je suis contre épicétout - d'abord j'ai pas les sous 3000 euros, j'aime pas les curés, etc.. ) ...
Bon, bref, pour en revenir, au message de chépuqui ( la fenêtre blanche cache son nom ) , son discours et il est vrai très généraliste, compliqué , torturé et surtout alarmiste à la 2012 doomsday. J'ai aussi des problèmes avec ma fille et je me garderai bien de mettre ça sur le réchauffement climatique, le net et les réseaux de potes - facebook, skyblog, sic, les sms gratuits, les phones,etc.. - y sont pour beaucoup ( à plus de 70% je pense, vous parlez, vous postez une photo retouchée en diable - où est le nez ?! - et vous avez 100 pélerins qui vous disent que vous êtes la plus belle ! ) . Plus terre à terre, les filles, je pense, causent un peu plus de problèmes que les garçons, et ça, encore une fois, ce n'est pas une vérité.
Moi aussi je m'embrouille un peu les touches, la fatigue sûrement : un père re-décomposé.
Dimanche 21 mars à 20h39
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hector (6429)
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L'internat est un mythe

J'y ai passé cinq à six années, par choix, car la profession de mes parents les obligeaient à bouger tous les six mois, ce qui était assez peu à mon gout.

J'ai toujours eu l'impression de m'en être bien sorti parce que j'étais né avec la tête bien vissée sur les épaules, mais les âneries des copains que j'ai du rattraper sont innombrables.

Un copain qui avait le même type de problème avec sa fille, s'en est tiré en lui offrant un ou deux stages d'équitation dans des colonies de vacances qui en proposaient.

Parce qu'elles étaient quatre par bungalow, et qu'elles devaient elle-même assurer une part des tâches ménagères, au bout d'une semaine la conclusion ressemblait à "mouais, c'est sympa, mais à vrai dire, ras le dos des copines". On se débrouille comme on peut...
Dimanche 21 mars à 21h02
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Merci hector !
une soluce ( comme dans les game ) ! T'es super sympa ! surtout qu'elle m'a bien sapé le moral today.
Dimanche 21 mars à 21h09
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spiro (152)
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L'école...
n'a pas le monopole de l'éducation. C'est en fait même la partie qui correspondrait à la pointe de l'iceberg. L'éducation commence et finit à la maison. Ce ne sont pas les maîtres ni les professeurs qui éduquent, ni les sergents, ni les hommes politiques, ni aucun spécialiste de l'éducation, ni aucun "éducateur" ce sont les parents. À l'école on apprend à apprendre, à raisonner, à synthétiser ses idées, les ordonner, à manipuler des connaissances et du savoir comme on manipule des legos pour construire des maquettes qu'on redémonte et ré-agence. L'école enseigne des connaissances théoriques, du savoir culturel. Elle peut éventuellement renforcer l'apprentissage de certaines valeurs mais si ces valeurs sont inexistantes dans l'éducation des parents, elles ne seront jamais intégrées par les jeunes élèves. L'école n'est qu'un miroir de la société et la société est composée de gens. Nous sommes les gens. Ce n'est pas la société qui éduque les personnes, ce sont les personnes qui font la société et la transforment.
C'est parce qu'il y abandon des valeurs au niveau individuel, que la société dégénère. Il faut arrêter de présenter "la Société" ou "le système"comme une entité étrangère et mauvaise qui nous impose ses lois, ses humeurs et ses caprices, en général autoritaire et abusive, arrêter de dire, tels des ados attardés, "j'ai pas choisi!" "j'ai pas demandé à venir au monde!!!" arrêter d'accuser la pauvreté, le chômage ou la "crise" de fabriquer des délinquants.
En un mot, le respect de la loi est une valeur qui s'enseigne à la maison, que l'on ait de l'argent ou pas, de la culture ou non, et c'est une décision personnelle que d'appliquer cet enseignement. Être des parents responsables c'est être des citoyens accomplis
Vendredi 19 mars à 18h54
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la societe
Merci pour votre commentaire mais savez vous que vous écrivez dans "Liberation" ?
Chantre de la "liberté " du "boboïsme" de l'absence de contraintes ?Journal qui monte régulièrement au créneau pour condamner la vilaine et détestable "Autorité" ainsi que ceux dans cette Société qui essaient de maintenir des valeurs et de protéger leurs semblables ?
Vous vous êtes trompé de journal mon cher monsieur visiblement ...
Libé sera bientôt aussi démodé que 1968 .Quand les petits enfants de ceux de 68 auront assez de maturité pour constater les dégâts causés par l'idéologie de leurs grands gamins de parents et grands parents .

Une grand mère (ah ah ah ! une vieille donc !)
Mercredi 24 mars à 07h45
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lalye (48)
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Pour les intrusions...
On parle beaucoup des intrusions exterieurs et des moyens sécuritaire d'y remedier mais avons nous concience que la plupart de ces intrus sont en fait des anciens élèves exclus, que l'on a trimbalé de collège en collège jusqu'a ce que l'adolescent arrete tout.
Un ados qui a du mal à aller à l'ecole a côté de chez lui pensez vous raisonnablement qu'il fera 40km pour aller dans un autre collège? Et surtout en province ou les transport publiques ne vont pas partout.

Arreter d'exclure les élèves et de se les echanger de collèges en collèges voilà deja une première chose à faire. Les eleves ne sont pas des cartes qu'on s'échange et pourtant aujourd'hui c'est ce qui ce passe. On vire un perturbateur contre un autre qui arrivera un peu apres exclu lui même d'un autre etablissement.
L'exclusion devrait etre une solution exceptionnelle et vraiment peu souvent utiliser. A la place les adultes ferai mieux de trouver de réelle sanctions adapté a chaque fautes commises. Car exclure un eleve qui vient pas, ne l'aidera nullement à resoudre son problème il me semble?

Alors au lieu d'investir dans des caméras et autres portails sur équipé peut etre devrait on deja repenser la pedagogie et les règles educatives de bases. Entre des heures de colles et une exclusion il y a un monde a créer qui permettrait d'apporter des solutions propres à chaques fautes et à chaque élèves.
Lundi 15 mars à 19h14
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berti (10)
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Certains plannent
Réponse à Lalye.
Si les conseils de discipline étaient réunis pour "virer" définitivement
ceux qui sont absents comme le laisse à penser l'article de Lalye, les collèges excluraient peut être 150 000 collégiens par an...
Il faut vraiment en fairpour êre virer de nos jours et c'es bien là le pb.
Certains doivent se mettre à comprendre que ces jeunes, pas représentatifs de toute la jeunesse d'une même classe d'âge ne sont pas des saints.

Ceux qui traffiquent : drogues et autres buissiness, ceux qui crament des voitures n'ont que faire de ce que l'école leur propose et ne demandent pas à la maitresse comment accorder le verbe avoir!
Encore moins pour le verbe être!

Il faut atterir, je suis enseignant et je préfère qu'un portail électromagnétique empêche l'intrusion d'un couteau ou d'une arme à feu !
Que l'école reste un sanctuaire et ne soit pas à son tour pourrie par les traffiques comme l'ont été tant de zones où l'Etat ne contrôle plus grand chose.
C'est regrettable d'en arriver là mais il faut arrêter de se voiler la face.
Les assistants d'éducation ne pourront pas grand chose contre des bandes rivales, surtout que ce sont de plus en plus souvent des jeunes femmes.
Je suis un citoyen de gauche qui en a marre qu'une certaine gauche livre les écoles de la républiques aux sauvages et jeunes trafiquants où laisse faire ces derniers e voulant toujours utiliser une idéologie adaptée aux villes de 1970.
Les jeunes des banlieues qui veulent travailler ont aussi le droit d'avoir leur chance, c'est ignoble d'entendre un discours qui de façon subliminale défend les sauvageons.
S Royal et Chevènement avaient raison.
Vous attendez des massacres à la Bowling pour atterir!
Vous êtes incroyable.
Des moyens, des moyens, des moyens...
Moi je dis : de l'ordre.
Berty

Mardi 16 mars à 16h48
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Euuuhhh...
Ca risque de virer au duel prof contre éduc, m'enfin pour bosser avec une bonne douzaine de collèges du Val d'Oise et même à Sarcelles et sa banlieue y compris le terrible Villiers-le-Bel (qui ne vaut pas Gonesse et encore moins Goussainville côté crainteux à mon avis), le moins qu'on puisse dire c'est que je n'ai pas la même vision que toi du niveau de violence à l'école.

Je veux dire, parler du massacre de Columbine c'est quand même de la mauvaise science fiction tendance cyberpunk, non ? Entre des conneries de bandes d'ados et des narco-trafficants qui investissent le collège, il y a une marge, à mon avis.
A moins que tu ne bosses dans une 3ème d'insertion, une DP6 ou une classe-relais, ou par définition on retrouve les gamins les plus en perte de repères dont certains peuvent être susceptibles de faire des passages à l'acte dangereux.

Ceci dit je partage ton point de vue sur la relative rareté des exclusions définitives.
Pour avoir eu la joie de participer en deux ans dans le coin à trois commissions disciplinaires et deux conseils de discipline (ceux qui peuvent vraiment prononcer l'exclusion définitive, si je ne me suis pas mélangé dans les intitulés), je peux dire qu'à chaque fois il fallait que le gamin ou la gamine ait de très sérieux troubles de la personnalité ou une incapacité à respecter le cadre telle qu'elle rendait impossible la tenue d'une heure de cours.

Et pour aller aussi dans ton sens (enfin je crois), j'ai eu l'occasion de suivre un peu la réorientation de deux gamins exclus (dont un suivi par la maison départementale des personnes handicapées), et cette image de s'échanger des gosses comme des cartes pokémon c'est vraiment très grossier, carricatural et assez insultant pour les principaux des collèges et les équipes pédagogiques qui ont fait à chaque fois ce qu'ils pouvaient pour trouver une orientation qui ait du sens. En tenant compte des nombreuses contraintes (de place, d'éloignement, et aussi un peu quand même de lourdeur des services académiques, parce que pour obtenir une noix de coco à la DESCO il faut quand même secouer le tronc assez longtemps et assez fort).
Mardi 16 mars à 23h45
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Tous
Au CNED
Le Mammouth vous pouvez le rebaptiser:Démolition Nationale
les enseignants le sav ent bien
ils n'en sont pas responsables
de toute façon les jeunes n'ecoutent plus rien ne croient plus en rien
Des No life
et ils ont bien raison
Au CNED au moins ils ne sont pas en "tôle"
Jeudi 11 mars à 19h33
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simon95 (257)
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Si l'Éducation nationale était faite pour les enfants, cela se saurait
Bien comprendre que les intérêts de l'Education nationale sont d'abord les siens : 4 mois de vacances, le salaire assuré.

La France est le seul pays au monde à obliger ses enfants à rester assis 7h par jour à suivre des cours théoriques, de 8h30 à 17h : une folie ! "Ce qu'on leur demande, nous-mêmes adultes n'en serions pas capables", m'a dit un jour une responsable départementale de CFA, les centres de formation pour apprentis. Avant d'ajouter : "Nous, les collégiens, on les récupère, mais dans quel état..."

La violence à l'école ? Pour moi elle a au moins deux sources :
1. L'école ne s'adapte pas aux cas particuliers, même si elle essaye. Du CP à la 3ème, les enfants qui ont du mal à suivre, on les fera redoubler une fois, puis ils passeront de classe en classe, engendrant de la frustration à ne pas pouvoir suivre. Pour se rendre intéressant, ils mettront le souk dans les classes. Pour certains, il développeront de la haine envers les bons élèves et les profs.

Et je peux même dire que je les comprends, ayant été moi-même dans une de ces situations à une époque de ma vie scolaire.

2. L'environnement et notamment la télévision.
Un gamin peut "se manger" dans une journée 10 séries télévisées où il peut assister à des viols, des braquages avec violence, des arnaques en tout genre. Et cela pratiquement depuis le 1er jour de sa naissance.
Comment voulez-vous qu'un jeune ne soit pas influencé ? Ce n'est pas possible.

D'autant plus qu'il pourra voir des personnages aussi sordides que Tapie ou Sulitzer venir se pavaner à la télé parce que que l'un aura dépouillé des imprimeries et l'autre aura vendu des livres qu'il n'a pas écrits, sans oublier toutes ces émissions où l'on ne parle que de pognon, ces publicités qui vous expliquent que si vous n'avez pas une marque à vos pieds vous êtes un bouffon... Comment voulez-vous que cela ne les rende pas fous ?

Ajoutons à cela la difficulté pour les jeunes issus de l'immigration de s'intégrer dans une France multiculturelle. Même si c'est le bonheur socialiste.

Comme l'explique Gaston Kelman, Camerounais d'origine, dans un de ses livres : "les jeunes issus de l'immigration sont confrontés à 3 cultures : celle de leurs parents d'origine à la maison, à la culture française à l'école et à la culture américaine dans la rue"
Tout en sachant que, bien souvent, ce qui est autorisé dans l'une est interdit dans l'autre. Exemple : dans les séries américaines, les armes prolifèrent, alors qu'en France c'est strictement interdit. Chacun pourra trouver d'autres exemples.

Comment voulez-vous être bien dans votre peau avec 3 cultures différentes à intégrer ? Le jeune devra faire un choix. Bien souvent celle de ses parents, au risque d'aller à l'encontre des lois françaises. L'excision des filles, par exemple.

Frustration d'être mauvais élèves, différentes cultures à intégrer, il n'en faut pas moins pour que ça pour engendre un "mal être" pouvant déboucher sur la délinquance et la violence.
Vendredi 05 mars à 17h55
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Quatre mois de vacances
Petit rappel utile : les enseignants touche 10/12 du traitement reçu par les fonctionnaires d'autres administrations et de même catégorie pour compenser Juillet et Aout.

Croire que les enseignants ne pensent qu'à leur argent et leur temps libre est pour leur immense majorité de la calomnie pure et simple - mais quel corps de métier peut il se targuer ne pas comporter quelques brebis galeuses?

Je n'irai pas plus loin, ces commentaires odieux m'écœurent. Une pensée émue à tous mes collègues qui s'investissent pour la réussite de leurs élèves avec abnégation et dévouement, et ne récoltent en retour que le mépris ; peut être qu'à la longue deviendrons nous ces odieux parasites archaïques que nous sommes censés être ? La lassitude nous guette.
Mardi 09 mars à 13h36
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simon95 (257)
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Les enseignants sont souvent aussi odieux.
ET la lassitude des parents. J'ai 4 enfants et je suis moi-même diplomé Bac +5. C'est dire si les profs, je connais.

Dernièrement pour mon fils qui a du mal en 3ème, j'ai été reçu par son prof principal, prof de maths. Je lui dis : "mon fils, si je lui explique, en quelques minutes, il comprend. Mais en classe, cela ne passe pas". Réponse du jeune prof : "je ne suis pas là pour m'intéresser individuellement aux élèves". Et pan dans les dents. Il ajoute : "quand on n'est pas capable de suivre la filière classique, on n'a qu'à aller en CFA..."
Sympa, non ?

Quant aux 4 mois de vacances. C'est une réalité. Et pas au bénéfice des enfants qui ne font rien pendant 4 mois et doivent le reste du temps rester assis de 8h30 à 17h dans le système français. Le seul au monde à imposer ce type d'enseignement.

Désolé que ces réalités vous déplaisent. Les enseignants sont souvent aussi odieux.


Mardi 09 mars à 16h06
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Réalités ?
Libre à vous de condamner une profession entière sur un exemple.

D'ailleurs, je vois bien un prof tenir ce genre de discours... un inconscient sans doute ; si c'est le cas, je vous invite à vous tourner vers son chef d'établissement où l'inspection académique. Mais j'en doute fort....
Mardi 09 mars à 17h10
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simon95 (257)
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Ecoutez...
... je veux bien admettre que vous êtes un bon enseignant à l'écoute.

Mais ma réalité à moi, ce sont des profs qui s'en tapent. Quant au chef d'établissement, si vous le connaissiez...

Mardi 09 mars à 18h01
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
quelle violence simon95
J'ai personnellement vécu une situation tout à fait semblable avec un de mes fils et un prof de ...math. Mais comment peut-on à partir de celà porter des jugements aussi définitifs sur les enseignants ? A partir de cette expérience ? Bien sûr votre fils, comme les miens et les fils du monde entier, est un petit génie et ce sont les "enseignants qui sont nuls et ne comprènnent rien car ils ne vivent que pour les vacances".
Avec de tels propos vous participez à la violence générale dans les établissements scolaires. Arrètez de penser qu'il suffit d'avoir bac + 5 ou 6 pour légitimer vos affirmations. Visiblement votre vie scolaire a été un calvaire mais ne justifie pas la violence de vos attaques.
Il est des profs comme des participants à ce forum, certains sont plus caricaturaux que d'autres. Cela ne permet pas de mettre tout le monde dans le même sac.
Mercredi 10 mars à 19h54
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simon95 (257)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Les enseignants, je les évite soigneusement
Ah oui aussi, j'ai été aussi représentant des parents d'élèves. Le mépris que ces gens-là ont pour les parents pendant les conseils de classe, c'est quelque chose. Des têtes à claques.

Moi, c'est bien simple. En tant que journaliste dans un hebdo régional, les enseignants je les évite soigneusement. Et je ne suis vraiment pas le seul, croyez moi. L'arrogance de ces gens là, parce qu'il enseigne une matière à nos enfants, est tout simplement insupportable.
Mercredi 10 mars à 20h17
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
simon95
Moi je fait tout pour que mes petits fils restent le plus longtemps possible en leur compagnie et les respectent. Chacun sa méthode d'éducation...
Mercredi 10 mars à 20h48
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berti (10)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
On a l'école que l'on mérite
En réponse au Papa du petit qui a un vilain professseur de mathématiques.
Un élément à savoir qui n'est pas su du grand public :

cela fait bien longtemps que les bons étudiants ne se lancent plus dans le métier de professeur où institteur.
L'absence de considération en tous genre explique pour bonne part ceci.
Conséquences : paupérisation intellectuelle et moindre motivation des enseignants depuis une trentaine d'années.
Je précise que ce point de vue à valeur statistique, vous trouverez des contre-exemples.
Conclusion : passage de l'école dite de l'ascenceur sociale à l'école publique à l'américaine....sauf dans certains quartiers très localisés. Ex : Lycée Louis XVI...à Paris...
Les parents d'élèves ont une large part de responsabilité..depuis 30 ans.
ils fonctionnent dans l'intérêt de leur gamins à court terme.
On a l'école que l'on mérite!
Ce qui est vraiment dommage pour le petit qui pose des questions en math!
Berty
Mardi 16 mars à 17h03
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simon95 (257)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Ceux qui ont de l'argent...
... mettent leurs gosses dans des écoles privées. Au moins, on y retrouve l'ambiance des années 70.

Ce qui ne veut pas forcément dire que l'instruction y est meilleure. J'ai mis mon fils ainé dans une école privée : j'avais en face de moi des enseignants payés par l'Education nationale qui s'en fichaient tout autant. Mais la discipline était là.
Mardi 16 mars à 17h46
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
simon95 par pitié
moi qui suis l'heureux possesseur d'un bac+5 (ingénieur télécom) et d'un bac+2 (assistant social), qui travaille comme je l'ai dit en tant qu'éducateur avec une douzaine de collèges (justement du 9-5 : Sarcelles, Villiers-le-Bel, Gonesse, Domont, Ermont, Eaubonne, Goussainville, Bezons, Luzarches, Soisy-sous-Montmorency, Louvres, Fosses) sans compter les écoles maternelles, primaires, lycées et autres CFA et qui ai l'occasion de côtoyer des profs par dizaines, ainsi que pas mal de CPE, directeurs, principaux et principaux adjoints, je me permets de juger tes commentaires comme un gros paquet de généralisations abusives et partisannes, en résumé un chapelet de conneries bien réac.

Ton discours sur tes petits gosses géniaux à qui tu enseignes mieux que les profs, ça sent la blessure narcississique mal digérée. Mon conseil : fais la paix avec ton passé scolaire au lieu de te servir de tes gamins pour régler tes propres comptes.
Mardi 16 mars à 23h59
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simon95 (257)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Tout cela, c'est du business
Belle illustration que moi et quelques amis intellectuels mettons en évidence : les problèmes dans les banlieues, l'échec scolaire et son corollaire, la délinquance, sont organisés pour faire vivre quelques uns : magistrats, avocats, policiers, et bien sûr éducateurs de toutes sortes.
Tout cela, c'est du business.

Quant à l'Education nationale, elle est un ascenseur social pour celles et ceux qui se coulent dans son moule. C'est à dire les gamins qui acceptent de rester assis pendant des heures, à regarder la pendule comme les bons fonctionnaires qu'ils devraient être.

Les gamins dynamiques, ceux qui travailleront dans des chantiers, seront commerciaux, chefs d'entreprise sont brimés par le système.

On devrait d'ailleurs se pencher sur les revendeurs de drogue : sacrément dynamiques qu'ils sont pour trouver des clients, se réapprovisionner, etc... Si quelqu'un s'en était occupé avant qu'ils tournent vers la délinquance, il n'y en aurait pas tant...

Rendez-vous compte que les collégiens, dans certains collèges, ne peuvent même pas jouer au ballon dans la cour du collège !
La France, le seul pays au monde, a avoir un système d'instruction aussi fou.

Mercredi 17 mars à 09h12
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simon, t'es vraiment un pauvre con
Mercredi 17 mars à 10h54
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deplume (7378)
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pierre_berger
Continuez comme cela, ne vous laissez pas perturber....
Des gens comme vous, la France n'en possède pas assez.
Merci pour ceux dont vous vous occupez.
Bernard
Mercredi 17 mars à 11h06
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simon95 (257)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Eh bien, allez y dans le privé
Et en plus il est agressif et grossier.

Ah le discours "Regardez comme je me sacrifie. Si je travaillais dans le privé, je gagnerais plus..."

Eh bien, allez y dans le privé. Je ne suis pas sûr qu'il veille de vous, cher ami.

J'en connais plein qui prétendent faire du social ou de la politique en tout sacrifice. C'est à mourir de rire. C'est parce que personne n'en veut dans le privé qu'ils se tournent vers ces boulots moins bien payés mais qui acceptent leur nullité.

J'ai été formateur pour adultes. Des éducateurs nuls comme ça, j'en ai rencontrés...
Mercredi 17 mars à 13h13
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C'est ça, connard
Mercredi 17 mars à 18h06
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tovarino (183)
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dis, moi, "pierre bergé"...
....ôtes moi un doute : tu n'es pas enseignant et tu ne t'occupes pas d'enfants, j'espére ? parce que sans prendre part à la polémique qui t'opposes à celui que tu qualifies élégamment de "connard" [au fait, la nétiquette, tu en as entendu parler?], vu le vocabulaire grossier et le ton agressif que tu emploies (tu me permets de te tutoyer, hein, parce que je crois que les cocos comme toi, çà ne se voussoie pas), tu n'es probablement pas un modèle pour eux (à moins que comme le Dr Jekyll, tu aies une double personnalité, et que tu ne montres la mauvaise que sur les forums...)
Jeudi 18 mars à 12h14
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À tous
Vous me dites à quoi cela peut-il bien servir d'engueuler l'autre, voire de l'injurier ?

Ah ! on se rejoue la bataille public-privé ! ben ch'ais pas moi, utilisez des arguments ou alors passez vos nerfs ailleurs si les arguments ça ne sert décidément à rien.

Là en l'état, si vous vous faites censurer, vous l'aurez bien cherché. Et ça n'aura même pas fait avancer le schmilblick... juste fait du bruit pour faire du bruit.


Béru - no noise
Jeudi 18 mars à 14h03
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Facile
Je vais mettre en vente la clôture de sécurité hermétique qui grâce à ses scanners détecteurs biométriques vidéo-surveillés, permettra de ne pas faire rentrée la violence de notre société dans ces sanctuaires.
Jeudi 04 mars à 21h53
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anid (948)
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Solution
Supprimer l'école
Lundi 01 mars à 23h09
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r anid
Autre solution : mettre tous les écoliers au four. Ca économisera les allocs.
Mardi 02 mars à 08h19
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anid (948)
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non
Je ne suis pas d'accord avec cette idée horrible. Je voulais dire dans mon commentaire qu'on pourrait apprendre sans école.
Jeudi 04 mars à 21h33
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r anid
Ah bon... Je croyais que c'était une provoc', alors j'en avais fait une encore plus grosse.
Jeudi 04 mars à 22h36
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Chiche
Allez plus loin et développez votre idée. Expliquez comment d'après vous cela fonctionnerait ?
Samedi 06 mars à 00h52
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anid (948)
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Lire
Lire Ivan ILLICH : "Vers une société sans école"
Lundi 15 mars à 22h29
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liberte de l'ecole
effectivement l'ecole n'est pas obligatoire,ce qui l'est c'est l'enseignement,a partir du moment que l'on a son bac on peut tres bien enseigner a ses enfants!creons donc des ecoles sans l'etat!
Samedi 06 mars à 13h37
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Pour lutter contre la violence à l'école
il faut donner un 'Karcher' à chaque professeur.
Lundi 01 mars à 10h12
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Violence scolaire : un grand besoin de pédagogie !
Certains profitent de ce débat récurrent de la violence scolaire pour dénoncer l'école moderne et jeter aux orties les "pédagogues" qu'ils jugent responsables de tout, en affichant ouvertement leurs nostalgies... Mais ils oublient que les jeunes ont changé avec leur société, alors prenons les comme tels qu'ils sont, avec leurs forces et leurs faiblesses, et formons toutes les personnes intervenant auprès des jeunes à détecter et à combattre cette fameuse "violence", qui n'est souvent qu'une forme de conflit que nous portons tous en nous. Oui à la pédagogie ! En prenant un peu de recul historique, le temps des bûchers et des décapitations en place publique est révolu.. alors ne tombons pas dans le piège médiatique et de l'exagération ! Invitation au débat ici, à travers ma pratique de Moniteur MFR : http://christophebernard.eklablog.com
Samedi 27 février à 23h34
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la violence entraine la violence
on parle toujours de la violence A l'ecole mais jamais de la violence DE l'ecole!L'ecole publique est violente envers les enfants depuis la maternelle.Il y a d'autres pedagogies:waldorf,freinet,montessori etc...
L'ecole publique est la pour nous apprendre a nous soumettre a un pouvoir.Les matieres enseignees sont un savoir superficiel qui s'oublie vite.
Les batiments ressembles a des casernes,pourquoi faire endurer ca a nos enfants?
Est-ce le role de l'etat l'education des enfants ou celui des parents ?
-vaccinations obligatoires au profit des laboratoires !
-Les premiers de la classe finissent chez le psy et les derniers sont au chomage!
-heureusement qu'il y a des sans papiers pour bosser !
Lundi 22 février à 21h37
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...
c'est beau, vraiment. Vous avez beaucoup souffert, on le sent.
Jeudi 25 février à 09h24
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houla
Ca fait combien de temps que vous n'avez pas mis les pieds dans une école ???
Samedi 06 mars à 00h54
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je suis ne dans 1 ecole
je ne vais + souvent dans les ecoles publiques mais quelquefois dans les ecoles waldorf et la c'est 1 autre univers en bref c'est une pedagogie qui respecte les ages de l'enfance,l'individu et qui permet aux jeunes de trouver un metier dans lequel ils peuvent exister.a voir absolument l'exposition pedagogique lors de la kermesse!!
Samedi 06 mars à 13h31
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biovoyager
Il y a belle lurette que les école ne ressemblent plus à des casernes.

Je ne connais pas spécialement l'école dont vous parlez, mais est-ce transposable dans un système éducatif plus important ?

Le système éducatif français propose un enseignement de masse. Même si des diversifications se mettent en place les parcours ne sont pas à la carte et ne peuvent pas l'être. Comme de plus on réduit le nombre de profs les classes vont forcément être de plus en plus chargées et ne respectant pas la diversité des publics.

Ce n'est certes pas admissible, mais c'est la voie choisie par ce gouvernement.
Samedi 06 mars à 14h15
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monster (121)
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A biovoyager
Votre description de l'école comme étant elle-même une violence est inexacte, fantaisiste et ingrate. L'école est une chance, financée par le contribuable et soutenue par des professeurs volontaires dans leur métier. Des millions de jeunes gens sortent épanouis, cultivés et diplômés de l'école au sens large. Il est vrai que certains échouent, mais ce n'est pas à l'école de subir le procès des différences de niveaux entre les élèves, ou entre les êtres en général (qui est une réalité de nature) ou des défaillances des parents dans leurs devoirs d'éducation (qui génèrent souvent l'échec scolaire). Par ailleurs, il vous est rappelé que l'école n'est obligatoire que jusqu'à l'âge de 16 ans, aussi chacun est libre de la quitter à ce moment-là et de choisir la paresse ; bien entendu, il ne faudra pas ensuite se plaindre de connaître une marginalisation socio-professionnelle. En revanche, la violence à l'école, à savoir la violence physique imposée par quelques caïds à d'autres élèves, voire aux professeurs (on croit rêver), est intolérable ; à ce titre, elle doit avoir une seule réponse : la répression ; par des voies croissantes selon le niveau de violence, de l'exclusion administrative jusqu'au tribunal correctionnel.
Samedi 06 mars à 20h29
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Oui
c'est très rassurant, cette idée qu'un gamin qui quitte l'école à 16 ans fait le choix de la paresse. Un peu comme le clodo qui fait le choix de la rue. Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place. C'est propre, c'est net, c'est beau.
Mercredi 17 mars à 00h10
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hobbes2a (126)
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Parodie : Avis à tous les internautes : ceux qui me posent des questions auxquelles je ne sais pas répondre sont méchants
Ceux qui sont en désaccord avec moi et que je ne peux réfuter sont très méchants.

Ils font exprès de m'embêter, et de ne pas être d'accord.

En plus, ils ne respectent pas les règles, qui sont : sois gentil avec moi ou je te dénonce.

Ils ne comprennent pas que c'est normal de dire aux jeunes : cassez tout, et ensuite, quand les jeunes appliquent le programme, on dit : mais ça n'a rien n'a voir avec moi, ça, faut comprendre, je dis : brûlez ce pays de merde, mais c'est une image, ça veut dire qu'il faut travailler du et aller voter.

Signé : trollus horribilis.
Vendredi 19 février à 18h36
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AVIS A TOUS LES INTERNAUTES – FORUM INFECTE PAR DES TROLLS
Vous qui souhaitez partager vos points de vue, échanger vos idées, sachez ceci :

 Un troll est une action de nature à créer une polémique en provoquant les participants d'un espace de discussion (de type forum) sur un réseau informatique, notamment Internet. Le mot désigne également un utilisateur qui a recours a ce type d'action.
 On parle de troll pour un message dont le caractère est susceptible de générer des polémiques ou est excessivement provocateur, sans chercher à être constructif, ou auquel on ne veut pas répondre.
 Le mot « troll » peut également faire référence à un débat conflictuel dans sa globalité. Dans la majorité des cas, l'évaluation repose sur l'aspect récurrent ou caricatural de l'argumentation.
 Désigne un internaute qui cherche volontairement à saboter les procédés de communication. Il comprend en général très bien le fonctionnement d'internet et sait qu'il est très facile de s'en servir pour manipuler ou mentir.
 Il considère souvent l'espace de discussion sans autre intérêt que celui que peut représenter un jeu de rôle. Le but recherché est alors de faire vivre un personnage imaginaire, de gagner de la considération ou du respect en s'attribuant de fausses compétences ou en marquant des points sur d'autres intervenants arbitrairement considérés comme des adversaires pour le déroulement du « jeu ». L'état d'esprit est proche de celui d'un jeu de rôle. La capacité de régénération agit de la même façon que chez le troll mythique.
 Certains intervenants ont deux ou plusieurs personnages virtuels afin de se renforcer les uns les autres ou soutenir le personnage principal. Lorsque le personnage principal et ses intentions sont mis en évidence, et qu'il est banni par les modérateurs ou en perte de prestige, un autre personnage vient se substituer au « mort », tout ça sous les ficelles d'un seul et même internaute.
 Outre le fait de se défouler et de flatter son égo, le troll malin sert parfois des objectifs précis tel le marketing, l'intégrisme ou la propagande extrémiste.

Déroulement
 On dit qu’une discussion s’enflamme lorsque les échanges se multiplient entre les participants et que le ton monte. On ne parle de troll que lorsqu’on pense avoir décelé une volonté de polémiquer allant au-delà de la volonté d’avancer dans une discussion.
 Les méthodes d’action du troll vont de la simple insulte au sabotage d’un débat, en passant par diverses démarches, telles que :
 ne jamais être d’accord sur quelque sujet que ce soit, ou à l'inverse être systématiquement d'accord. Le but n'est alors pas de donner son avis mais d'alimenter la polémique ;
 ne jamais être d'accord avec un interlocuteur considéré comme gênant, le traitant de inculte, naïf, incompétent.
 allusion à un débat voisin, mais hautement polémique ;
 attaques sur la forme (par exemple, commencer les réponses avec l'expression « c'est n'importe quoi ») ;
 hors-sujet (attaques personnelles, détournement du fond du débat) ;
 double discours ;
 sous-entendus menaçants ;
 insultes visant un groupe de personnes (définis par leur nationalité, religion, opinion politique, etc.) et permettant de déclencher de nouvelles interventions ;
 procès d’intention ;
 délation et/ou diffamation ;
 bluff ;
 sophisme ;
 autodérision de façade pour camoufler des intentions malveillantes ;
 moquerie fraternelle et private joke ;
 mélange de flatterie envers les uns et injures envers les autres, pour s'attirer à la fois alliés et ennemis. Lorsque le but du troll est le jeu ou la provocation il tente de maximiser son nombre d'adversaires. Au contraire s'il est déterminé à nuire il va tenter d'avoir un maximum d'alliés et d'isoler sa victime.
 "parler par slogan" est aussi un méthode utilisée par le troll ;
 Le sujet « part en troll » si des participants au débat « tombent dans le piège » tendu par le troll et se lancent dans une discussion stérile éloignée du sujet initial. On a tendance à dire que l’unique solution se trouve dans la phrase « Don’t feed the Troll », en français « Ne nourrissez pas le troll », c’est-à-dire, ignorez le troll ou ne lui donnez pas matière à polémiquer.
 Le troll change souvent d’état. Ici, victime ou génie incompris, là, sympathique bonhomme cherchant du soutien, là encore, agressif et provocateur ou encore conseiller désintéressé. Il est toujours pugnace, il abandonne parfois le débat mais jamais le sujet qui l'obsède. Ainsi, un troll ignoré ou insatisfait tentera à plusieurs reprises d’enflammer la discussion. Le troll obsessionnel est attaché à un sujet et ramène les débats toujours à lui, en général un concept, une idée simpliste ou même un mot d'ordre. Généralement, si la discussion s’envenime suffisamment et que les arguments viennent à manquer, le troll ou l’un de ceux qui le nourrissent finissent par atteindre le point Godwin.

Limite

 Le troll se détachant d’une simple opposition d’idées par l’aspect volontaire de la polémique est parfois extrêmement difficile à détecter.
 Des polémiques peuvent être productives. Cependant, nombreux sont ceux qui estiment que le troll ayant pour but principal de prendre le pouvoir idéologique sur un forum, de le couler, voire de le tuer, ne cherche pas une polémique constructive.
 Enfin il ne faut pas confondre un troll avec un toad. La principale différence est que le toad est sincère, il cherche juste à imposer ses idées qui peuvent être malsaines mais il ne cherche pas à parasiter les discussions.

Ici, CREM et Hobbes2a sont des Trolls. Qu’on de le dise !!!
Vendredi 19 février à 18h21
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crem (57)
Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Vous n'êtes pas sérieux...
Un forum est un espace de débat. Vous refusez le débat. Votre démarche est ridicule, votre paranoïa est inquiétante... pour vous.
Vendredi 19 février à 20h26
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
oups!
Tout ça pour finalement dénoncer deux types?
Jeudi 25 février à 09h26
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