Cinéma
Le coin des films, parlons de cinéma
Vos coups de cœur, vos déceptions, vos colères...
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- fripouille (60)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Human nature
- Je l'ai revu hier soir, quel bonheur.... Gondry est un vrai cinéaste....
- Vendredi 15 janvier à 18h54
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- joanb (98)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Tetro
- Coppola n’a pas besoin de prouver rien. Quelqu’un que a réalisé des films comme Le Parrain I, II et III ou Apocalypse Now (moi, j’aime beaucoup aussi : Rusty James, Conversation secrète et Tucker) peut se reposer tranquillement en maillot de bains sous un cocotier.
Mais, il revient avec Tetro et il me laisse avec la bouche ouverte et les yeux en spirale. C’est le Coppola de toujours, le thème de la famille et les combats fratricides sont présent, et au même temps il y une liberté narrative, un plaisir à jouer avec la matière cinéma, une créativité dans la mise en scène que on se croirait devant un réalisateur jeune (et bourré de talent !). Parfois on peut penser a Rusty James mais aussi a Mr. Arkadin de O.Wells. Je ne veux rien vous dévoiler, mais, j’ai resté scotché quand j’ai vu sa façon de filmer les dialogues ou les deux accidents. Il y a plus de créativité dans un quart d’heure de ce film que dans les 70% de films que j’ai vu l'année dernière.
Ca commence bien ce 2010 !
- Vendredi 15 janvier à 10h22
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Tetro
- Je vais aller le voir en milieu de semaine prochaine ; les critiques sont assez mitigées , il ne faut donc compter que sur soi pour donner son propre avis .
Nous en reparlerons ..... - Vendredi 15 janvier à 13h45
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A brikaberce : Tetro
- Je l'ai vu le soir du réveillon du nouvel an juste avant d'aller boire, manger goûteusement. Je sais que ce n'est pas ce soir d'exception qui me l'a fait aimer : je ne crois pas.
C'est un film POUR MOI, magnifique, de la veine des films où l'on pouvait, émus aux larmes ou simplement HEUREUX de ce moment de cinéma, sortir de la salle en revoyant aussitôt pour le garder un peu plus longtemps en tête, un grand Marcello Mastroianni ou un Vittorio Gassman dans les scènes qu'on avait préférées, pour s'en nourrir. Je suis dans l'excès peut-être mais bon, j'aime... - Vendredi 15 janvier à 14h01
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Tetro
- Grâce à l'appréhension d'un cadre qui est tout sauf artificiel, Coppola offre au film des respirations, des moments d'euphorie désordonnés, indispensables pour se lier à la recherche des protagonistes. Dès l'introduction, on entre dans une intimité, un univers, à la suite de Bennie. Et l'on s'attache à ses pas.
Pour le reste, j'ai été beaucoup touché par l'évocation des contes d'Hoffmann, et la manière dont Coppola évoque la figure d'Olympia désarticulée...dimension qui peu à peu prend sens au sein du récit, jusqu'à représenter un sommet dramatique (mon seul regret vient des flash-back en couleurs, qui déçoivent sur le plan plastique...alors que précisément, les séquences "dansées" offrent une intensité flamboyante). Et le lien familial est saisi par un regard d'une grande puissance...dès l'apparition d'une lumière aveuglante lors du générique, il est question de retrouver une vision, de combler une blessure et un manque. Pour incarner cette lutte, Vincent Gallo exprime une magnifique présence cinématograhique, entre une démarche brisée et une force de vie d'une beauté rare. Face à lui, l'abnégation et la sensibilité d'Alden Ehrenreich offrent un contrepoint mémorable, alors que Maribel Verdu est saisissante dans son dévouement.
Effectivement , Coppola n'avait rien à prouver et il a réalisé un "autre" film , en noir et blanc somptueux et un cadrage volontairement puissant qui se prête au vrai propos du film : la famille , sujet cher au réalisateur : comment une famille se constitue autour d'un couple , dans un univers inconnu et étrange . Coppola a utilisé la particularité de Buenos Aires , et cela donne une certaine poésie au film ; que serait BA sans cette particularité italienne qui marque tant le caractère des habitants au point qu'ils nous semblent parler en italien et non en espagnol ; on a la gaieté du Sud à BA mais on y discute aussi littérature , comme chez Woody Allen , aux terrasses des cafés .
Quitte à quelquefois sortir du vraisemblable pour raconter des histoires , Tetro prend des airs de mélodrame .
Il semble que Coppola s'est ouvert un nouveau monde .... - Mardi 19 janvier à 10h30
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A brikaberce : t'es trop !
- wahouuuuuuuuuuuuu ! t'es sûr qu'ils ne recrutent pas au "Cahiers du Cinéma" ? trêve de taquineries : tu fais là une analyse fine et détaillée d'un film qui hante longtemps par son esthétique, sa musique et sa teneur.
Celles et ceux qui n'ont pas franchi le pas, allez y ! Du vrai Bon cinéma. - Mardi 19 janvier à 15h17
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A Nad
- Merci pour ce compliment , mais les Cahiers sont faits par des intellectuels cinéphiles alors que je ne suis qu'un amoureux du 7ème Art dont la passion suscite des émotions que j'essaie de faire partager .
Je ne suis qu'un forumeur parmi d'autres qui échange des points de vue.
Je ne peux donc que recommander ce film dont l'auteur restera toujours un grand "faiseur d'histoires" . - Mercredi 20 janvier à 11h01
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Re
- Et je ne suis pas le seul dans ce cas sur ce forum !!!!!
- Mercredi 20 janvier à 11h05
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- hedayat (2020)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Bon, ben je vais jouer les "pisse froid"
- J'ai vu Tetro hier soir et j'avoue que je suis effondré. J'ai l'impression d'avoir assisté à une telenovela vénézuélienne sans souffle, sans la moindre idée de cinéma, le tout baignant dans un pathos horripilant et ridicule. La palme du grotesque étant décernée à la pauvre Carmen Maura déguisée en Gloria Swanson de pacotille (ou en épouvantail, à vous de choisir) dans Le boulevard du crépuscule...
Pourquoi faire un remake de Rusty James 30 ans après, quand on a perdu tout son talent ?
Désolé, j'ai trouvé ça affligeant. - Mercredi 27 janvier à 17h04
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- joanb (98)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- invictus
- Le cinéma est l’art de la manipulation, j’emploie ce terme dans le sens le moins négatif et le plus didactique. On aime être manipulé par le cinéma, comme on aime croire à l’illusion du prestidigitateur, même si on sait que a la fin le lapin sortira du chapeau. Par fois, on se sent dupé et on n’accepte pas cette manipulation car il y a quelque chose que ne marche pas : la histoire n’est pas bien construite, les personnages n’ont pas d’existence propre, le propos nous est étrange ou le réalisateur prestidigitateur, dans son maladresse, nous prend pour des imbéciles.
Cette force du cinéma, art dramaturgique populaire par excellence du XX siècle, a été rapidement comprise par les pouvoirs totalitaires, spécialement par le nazisme et le stalinisme. C’était une façon « d’éduquer » les masses dans le grands sentiments patriotiques, des lutes de classe ou de pouvoir d’une rase.
Le cinéma des USA a configuré, modelé, inventé son histoire. Au contraire de l’Europe que n’avait pas un si fort besoin, le cinéma américain a crée l’imaginaire historique de la nation à partir des mites comme la lute et la foi, en passant généralement par-dessus des génocides des peuples anciens.
Dans Invictus de Clint Eastwood, on sait du début vers où on va, et on sait qu’on arrivera au but. On se sait manipulé (je ne veux pas dire trompé, plutôt conduis) par cet art sublime que est le cinéma et on l’accepte avec plaisir. On sait que l’histoire manque de points de vue et de complexité mais on se laisse prendre par l’émotion et même (moi j’aime le foot) on aime le rugby. Le fait que le protagoniste soit Nelson Mandela (très bien Morgan Freeman), sans doute un de grands stadistes de notre temps, aide. Peut-être aussi, que avoir la peau blanche, c’est mon cas, c’est garder un dépôt d’honte absurde. Mais surtout, c’est grâce à la maîtrise de Eastwood comme réalisateur, a ses habilités narratives, a comme il nous amène dans cette histoire.
Et une fois de plus, un cinéaste américain met le cinéma au service de son pays. Dans ce cas l'arrivé du premier président noir a la maison blanche.
- Mercredi 13 janvier à 23h39
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à JoanB
- J'aime bien ton analyse...
Ce film, en effet, semble "a priori pervers" ! :-)
Son centre d'intérêt n'est pas le Rugby, mais bien la science politique de Mandela servant de grille de lecture à celle d'Obama...
Ceci étant dit, l'émotion Eastwoodienne est en général une émotion de grande qualité...
Donc... à voir tout de même ? - Vendredi 15 janvier à 14h42
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- joanb (98)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A Elge
- J'étais pris par cette émotion. Et si bien la histoire est toujours plus complexe que le cinéma, a film a voir, absolument!
- Vendredi 15 janvier à 16h19
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A elge et joanb
- l'analyse est assez juste je trouve mais je me suis demandée en sortant justement EN PLUS :
vue la place visuellement (de superbes plans d'action ds les passes) et la place de forme du film qu'occupe le rugby, comment ressentent les gens qui n'aime pas ce sport OU qui n'y connaissent rien ? Quel effet ça fait cette différence ?
Mon père m'emmenait voir les matchs de rugby très jeune (ds les années 65/70 !!), j'étais la seule gamine ds les gradins au milieu des mecs hurlant le nom de leur équipe. je ne sais pas lequel des deux étaient le + fier. Et bien je peux vous assurer que j'ai eu bien du mal à me tenir digne ds mon fauteuil en regardant "Invictus" et à ne pas me lever de temps en temps en hurlant... ET ? et puis, alors que je venais voir "le dernier Clint" comme beaucoup car comment s'y soustraire qd on a qq. un de ce talent, j'ai été étonnée, j'ai souri malgré moi qd son nom est apparu au générique car, tour de force, il avait réussi à me faire oublier qu'il était aux manettes et à me laisser avec cette histoire ! Rien que pour ce tour de force : BRAVO !! - Mardi 19 janvier à 00h54
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- beru_von_88 (1789)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Tendresse
- Ou quand voir enfin Lady Chatterley fait comprendre sa propre mélancolie...
Béru - oui, la tendresse ça fait une (belle) histoire d'amour - Mercredi 13 janvier à 10h08
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Eric Rhomer
- Le cinéaste Eric Rhomer est décédé aujourd'hui . Il avait été le créateur de la "nouvelle vague" avec Truffaut et Godard et avait été quelques années Rédacteur en chef des Cahiers du Cinéma .
Son dernier film "Les Amours d'Astrée et de Céladon" date de 2007 . - Lundi 11 janvier à 18h38
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- teddy_de_montreal (42)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Ah...
- Chrétien de Troyes va faire la gueule...
- Lundi 11 janvier à 18h47
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- cepajuste (435)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Un des derniers grands cinéastes français (avec Alain Resnais)
- J'avais beaucoup aimé "l'anglaise et le duc", moins aimé son dernier film "Les Amours d'Astrée et de Céladon". N'empêche que pour un homme de cet âge, il avait su garder une jeunesse intellectuelle, une imagination formidable.
- Lundi 11 janvier à 18h49
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- joanb (98)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Rohmer
- Moi, aussi, j’avais aimé « L’Anglaise et le Duc ». J’ai beaucoup aimé sa façon de faire du cinéma d’époque sans besoin de chercher du réalisme.
Mais mes films préférés sont : « Les nuits du la pleine lune » et « Le rayon vert ».
- Jeudi 14 janvier à 16h16
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- "Un des derniers grands..."
- Non, je ne crois pas qu'il soit "un des derniers grands"...
Perso, je pense que les Tavernier, Despléchin, Ferran, Kechiche, Audiard, Varda... etc .... sont à la fois vivants et (plus) grands
En oubliant que j'ai un avis trés (très) critique sur l'oeuvre de M. Rohmer, qu'il serait stupide de ré-étaler en ce moment... je peux au moins affirmer que depuis le temps que les "derniers des géants" meurent, on serait tous des nains ! :-)
- Vendredi 15 janvier à 14h19
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- cepajuste (435)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à Elge
- Je n’ai pas dit ça pour rabaisser les autres cinéastes. Rohmer a l’œuvre d’une vie derrière lui. Il fut un pionnier de la nouvelle vague, il a su jusqu’au bout faire preuve d’une grande audace. Il fut le témoin de son époque (Deleuze a dit qu’il était l’archéologue de notre temps). C’était aussi un homme d’une grande culture. Ceci pour dire que Rohmer occupait une place à part dans l’histoire du cinéma français mais je comprends qu’on puisse ne pas l’aimer et trouver ses films "trop bavards".
- Vendredi 15 janvier à 17h48
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- joanb (98)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- réalisateurs français
- Tiens ! Cela me donne une idée. Sans chercher de géants, car pour apprécier la hauteur on a besoin de recul, et le recul dans l’art c’est le temps, quels sont vos réalisateurs français en vie préférés? allez, je commence (l’ordre n’a aucune importance) :
C.Chabrol, B.Dumont, A.Kechiche, A.Deplechin, R.Depardon
- Dimanche 17 janvier à 01h15
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Dimanche soir
- Pas de télé pour moi hier soir . Bien que n'ayant pas vu Les Choristes , ce genre n'étant pas trop mon truc , et si j'avais voulu regarder , j'aurais porté mon choix sur Les Trois Jours du Condor : tourné la même année que Yakusa , avec Mitchum , ce film a un principal atout , le suspens , mais sans toutefoi égaler les grands Hitchckock , son scénario assez invraisemblable fonctionne toutefois avec efficacité sur le plan de la mise en scêne .
Je l'ai vu et revu , car j'adore Pollack et le jeu de Redfort convient parfaitement à cette histoire . Et puis , c'est une longue histoire entre ces deux-là puisqu'ils ont collaboré de nombreuses fois .
Donc , out Les Choristes ; quant au Faucon .... plusieurs fois vu cette succession de meutres et de trahisons pour une statuette sans valeur , une thématique de l'échec , chère à Huston . Un grand film noir . - Lundi 11 janvier à 11h05
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Marcello Mastroianni
- Bon je vais vous dire : je le trouve irrésistible Marcello (avec l'accent, c'est mieux !). Pas maintenant que je l'ai revu, depuis toujours, même si je n'ai pas vu ts ces films ss doute. Voilà pour mon côté midinette.
J'ai vu ce week-end, "L'étranger".
Belle idée de programmer ce film.
On le regarde comme s'il venait de sortir et que ses maladresses ne soient QUE la volonté propre du scénariste ou metteur en scène : est-ce le cas quand l'on sait que c'est Visconti qui était aux commandes ?!
Le film va circuler en France.
je trouve ces détails sur le net :
Le 20 octobre 1967 sortait "L’étranger" de Luchino Visconti avec Marcello Mastroianni, Anna Karina et Bruno Cremer .
Réalisé en 1967, vingt-cinq ans après la parution du roman d’Albert Camus, l’histoire de ce film fût placé dès l’origine sous le signe du refus et des rejets. Refus de Camus d’abord, qui ne consent pas de son vivant à ce que son roman soit adapté pour le cinéma. Refus de sa veuve ensuite, qui s’opposa au premier scénario de Visconti qui réinscrivait l’histoire dans le contexte de la guerre d’Algérie. Rejet de la critique, qui fit au film un accueil glacial, et des ayants droit, qui s’opposèrent ensuite à une ressortie du film.
Un second volet de son histoire s’ouvre donc aujourd’hui avec cette copie neuve, restaurée que vous pouvez voir au cinéma depuis le 11 novembre 2009.
A voir - Lundi 11 janvier à 10h54
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à Nadpic (Marcello ahhhhhhhhhhhhhhhhh)
- çà alors, il ne passe pas dans ma petite ville, donc faut que je me le procure autrement, je ne savais même pas qu'il existait ce film !!
Marcello, Ana Carina et Bruno Cremer une trilogie d'acteurs que j'aime depuis toujours, dites Nadpic, vous connaissez "les yeux noirs" avec Marcello ??
si vous avez l'occasion de le voir, vous allez ADOREZ ce film ... - Mercredi 13 janvier à 11h01
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A country90 Marcello
- C'est curieux, ce tire "Les yeux noirs" me dit vraiment qq. chose mais si je n'arrive pas, en lisant la présentation du film, à me faire des images en tête c'est que ss doute, je ne l'ai pas vu : à noter bien sûr...
- Mercredi 13 janvier à 12h07
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Les Yeux Noirs
- Joli film en effet mais Mikhalkov , que j'adore , a fait mieux : entre-autre "Soleil Trompeur" dont j'ai parlé plus haut .
J'avais trouvé que ce film , malgré une mise en scene chatoyante , une bonne direction d'acteurs , et le fait de n'avoir trahi à aucun moment Tchéchov , s'était embarqué vers un style trop appuyé pour obtenir un comique et un savoir-faire propre à la comédie italienne .
Malgré ces faibles reproches que je peux faire , cele n'enlève rien au charme de ce récit plein d'élégance , d'esprit et de talent .
Et puis il y a Marcello ..... - Jeudi 14 janvier à 10h02
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- La révélation
- Ce film vaut pour l'incroyable capacité de "Mar-cellllllo" à nous faire aimer un être faible, et pour son son talent immense quant il incarne ce qu'on pourrait appeler la "déchéance digne".
Il vaut aussi le plan de la révélation finale (sur le pont du paquebot, un ralenti, il me semble dans mon souvenir, sur ce visage qui se tourne vers nous... ces yeus noirs ! Ah!...) d'un romantisme absolu.
- Jeudi 14 janvier à 12h45
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- les yeux noirs
- oui Elge, le plan final c'est à tomber par terre et rien que pour ce plan, ce film est à VOIR absolument ...
la preuve je l'ai vu pour la première fois, il y a bien 20 ans et je ne l'ai jamais oublié ... mais chut il ne faut surtout rien dévoiler !! - Vendredi 15 janvier à 10h14
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- beru_von_88 (1789)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Ce soir
- Passe à la télé Les choristes.
Chic me dis-je ! je vais pouvoir voir ce putain de film à la con qui m'a fait chier dès sa sortie ! Youhouh !
Bon, je vous dis pas la préparation psychologique préalable, ne pas exciter le chat par exemple, on sera suffisamment énervé comme ça, pas en rajouter hein !
Sauf que.
Ben oui, à chaque fois y a un contre-temps... en l'occurrence, je ne digère toujours pas d'avoir raté Le faucon Maltais. Ben wouais quand même... et ce soir passe Les trois jours du Condor.
Alors je vous prie de croire que Les choristes, rien à carrer !!! et que je suis super content, en prime, de ne pas avoir à les subir ce soir !!!
Béru - mais pourquoi est-il aussi méchant ? - Dimanche 10 janvier à 20h04
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à beru (la diversité de films)
- chest chat qu'est bien !!
bon je résume, moi j'adore "le faucon maltais" (suis une inconditionnelle du grand Bogard) mais j'aime aussi "les 3 jours du COndor" très bonne histoire d'espionnage (avec un de mes chouchous, le grand Redford) et j'aime aussi ............ les Choristes, histoire peut-être simple et gentillette mais très bien jouée, Jugnot excellent en prof humain et tenace, Berléand sombre et inquiétant et le jeune Pépinot, tout simplement adorable ...
comme quoi la diversité pour moi, çà a du bon (et pas seulement en politique !!)
nan zêtes pas d'accord Beru ?? - Lundi 11 janvier à 09h57
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A country90 diversité
- je suis bien contente que tu le dises, ça m'évite de dire la même chose ! bienvenue au club des diversificateurs cinéphiles !
j'ai l'humeur joyeuse ce matin... - Lundi 11 janvier à 10h02
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- "The stuff the dreams are made of"
1. C'était très bien, oui, de revoir Bogie dans "Le faucon maltais", suivi du très bon docu sur sa vie...
2. Les Choristes = une très belle performance d'acteur de Gérard Jugnot --- imaginons le film sans lui : un téléfilm de la série "famille d'accueil"
- Lundi 11 janvier à 10h29
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Soleil Trompeur
- À la fin de 1936, avant même que les grandes purges ne commencent, le Parti ne compte plus que 1 450 000 membres, soit une diminution de 750 000 en quatre ans. En 1937, première année de purge en profondeur, 500 000 autres membres disparaissent des registres, le plus souvent fusillés ou envoyés dans des camps. 1937 marque l'accentuation de la politique entreprise par Staline et ses sbires .
Ce film de Nikita Mikalkhov évoque la dernière journée à la campagne d'un colonel russe et de sa famille .
Un ami du militaire , promis à sa fille ainée , et commissaire politique , arrive pour le mettre aux arrêts . Le colonel fera tout pour que cette journée se déroule le plus naturellement possible pour sa famille et plus particulièrement pour sa petite dernière qui voue à son père un amour sans limite . Flash-backs et moments de vie sont au menu de ce film d'un lyrisme étonnant pour un film retraçant une période aussi noire que celle-ci .
Le réalisateur russe est le rôle principal , accompagné de sa propre fille , d'une oeuvre ou la monstruosité marque le pas devant l'amour .
Admirable .
- Dimanche 10 janvier à 09h19
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à brikaberce (soleil trompeur)
- oui je l'ai vu à sa sortie ce magnifique film et ne l'ai jamais revu depuis mais j'en garde un souvenir fort, j'étais scotchée sur mon fauteuil au ciné et n'arrivais pas à en sortir ....
un des plus beaux film sur la Russie que je connaisse (avec le docteur Jivago !!)
merci d'avoir parlé de cette superbe histoire !! - Dimanche 10 janvier à 12h04
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Jennifer Jones
- Je viens juste de l’apprendre !?
Jennifer Jones est morte le 17 Décembre dernier.
Et rien dans la presse ?!
Dés ses début, "coachée" par le grand producteur D.O.Selznick, (puis bien plus que coachée en raison d’affinités (sic)), Jennifer débuta magistralement dans « Le chant de Bernadette », d’Henry King, en 1943, par un Oscar.
Elle tourne ensuite dans le dernier film de l’immense Ernst Lubitsch, « Cluny Brown », puis Selznick, en 1946, persuadé de refaire l’événement (après « Autant en emporte le vent » met en chantier ce somptueus western mélo, « Duel au Soleil »… Commencé par Kink Vidor, fini par William Dieterle.
Aux côté de Joseph Cotten et Gregory Peck, Jennifer Jones joue Pearl : belle, érotique, dangereuse, fatale…
De ce film inégal, entre vulgarité et spiritualité, on retiendra la dernière séquence, démesurée, ce duel entre les deux amants maudits qui restera dans la mémoire collective…
Elle enchainera ensuite les grands rôles avec Dieterle encore (Le Portrait de Jennie), Vincente Minelli (Madame Bovary), Michael Powel (La renarde), King Vidor encore (Ruby Gentry)… etc
Bien plus tard, en 1974, elle apparaitra une dernière fois dans « La tour infernale »…
So long Pearl !
You were what the dreams are made of !
- Samedi 09 janvier à 23h21
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Jennifer Jones
- En effet , je l'apprends moi aussi . Mon souvenir d'elle est effectivement celui de "Duel au Soleil" . Ce film , qui avait coûté cher pour l'époque et qui avait eu beaucoup de problèmes avec la censure , avait remporté un grand succés à l'époque .
Ainsi va la vie .... - Dimanche 10 janvier à 18h49
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- johnlecainri (433)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Pour ceux qui aiment bien cameron,
- dernièrement, je pensé à Strange Days, réalisée par son ex femme, mme Bigelow, point break, et démineurs, justement.
Mais restons sur Strange days, tout l' univers de cameron est dedans, mais surtout on ressent à travers cette histoire d' amour, le lien entre cette réalisatrice et son producteur.
Le film, visuellement est une merveille, des plans hypers travaillés, (pour les connaisseurs, l' as de la steadycam, et du mec qui renie son seul film, bien crade d' ailleurs, qui date de vingt piges, Street Strash, réalisé par james, ex jim, munro).
Enfin, de compte, sur ce film, le visuel est une merveille, il faut savoir, pour la petite histoire, qu' il était assuré par digital domain, la boîte de sfx de cameron à l' époque.
Sa création avait eut lieu après terminator 2, car il expliquait qu' ils ne savaient pas comment procéder, il leur avait donné 15 millions de dollars (énorme pour l' époque), rien que pour cela.
Avec le logiciel, ILM, donc, avait pût mettre sur pied "jurassic park" avec des sfx, et des raccords beaucoup plus convaincants que ceux de phil tippet initialement prévus.
Si je vous raconte cela, c' est pour en avant la personnalité de mr avatar, qui enfin de compte, tout ces films sont des challenges.
Et rétrospectivement, il a toujours joué avec le feu, au niveau de la technologie pour ses films, rien n' était acquis, ce qui fait de lui à Hollywood, un paria.
Contrairement aux autres, il remet son statut, ainsi que son "aura" d' invulnérable, en repoussant les limites imposés par les sfx.
En tout cas, le seul de ses films qui inspire le respect, à mes yeux, est terminator 2, la scène où sarah se fait courser par le nouveau terminator dans l' hp, et qui tombe sur son fils, suivi de schwarzy, bonjour l' arrêt cardiaque pour celle ci.
Comme disait verhoeven (paul robocop), on a tous à apprendre des deux terminators, ils sont d' une brusquerie à couper le souffle.
Pas étonnant, que l' hollandais violent, ait récupérer son monteur attitré sur robocop (terminator 1 et robocop sont extrèment similaire dans le fond, et dans le montage d' ailleurs).
Voilà, pourquoi j' aime le cinéma, c' est une science qui s' explique, mais qui n' explique pas une seule chose : le succès. - Vendredi 08 janvier à 22h11
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Hatari !
- “Hatari!” (de Howard Hawks) est, basiquement, “un film de safari” hollywoodien.
Mais, à l’instar de “Mogambo” (de John Ford), il en a modifié les codes…
Avant “Hatari!” le dialogue d’un film de safari (ou d’aventures africaines) était fait avec des phrases de ce type:
« Quoi ? une femme blanche dans ce coin du Mogombi ? Elle doit être folle ! »
« D’accord, je conduirai votre expédition, mais à une condition … »
« Porteurs dire beaucoup danger, B’wana. Eux dire pas vouloir aller plus loin. »
Avant “Hatari!”, les images d’animaux dans la savane ne faisaient pas partie de l’histoire, arrêtaient même l’histoire pour une petite séquence de contemplation naturaliste précédée d’une intervention du héros : “regardez là-bas !”, étaient souvent tirés d’autres films, documentaires ou non, d’une coloration parfois différente… bref, c’était moins bien fluide et intégré dans le script du film qu’une danse de Fred Astaire dans le fil conducteur d’une comédie musicale.
Dans “Harari!”, l’histoire ne s’arrête pour regarder les animaux. Les “interludes” de chasse sont intégrés dans l’histoire. On peut même avancer que ce sont au contraire les scènes sans animaux qui sont les scènes “de repos”…
Avec “Hatari!”, non seulement, la relation humain-animal fait partie de l’action, jusqu’à placer l’humain en question en réel danger, par exemple quand John Wayne est assis dans son siège sur l’avant du 4x4 roulant à tombeau ouvert, tentant d’attraper un rhino…
On imagine même que c’est l’improvisation naturelle des animaux qui domine ces séquences et a sûrement déclenché des paroles voire des dialogues (semi)improvisés. Le montage, quoique très travaillé, ne peut alors pas montrer de champs/contre-champs centrés sur les acteurs. C’est pourquoi on remarque celui, insistant, qui met Elsa Martinelli en face de la bande de “mâles”, nous indiquant qu’elle ne s’est pas encore “intégrée”…
Et comme chez Ford, c’est la démonstration de son professionnalisme (elle est photographe) qui, plus tard, alors également mise en danger (c’est là leur VRAIE profession à ces “animal catchers”: l’apprivoisement du danger) qui l’ajoutera à la bande…
Et, plus tard encore c’est dans le même cadre de la caméra que Dallas (Elsa Martinelli) et Sean (John Wayne) marcheront l’un vers l’autre et que Dallas demandera à Sean comment il aime embrasser ! :-)
... scellant ainsi une relation blagueuse et virile ET composant un tableau romantique (coup double Hawksien virtuose).
En effet, pour Hawks une femme (qui compte) est un homme comme les autres (l’archétype de ce type de personnage étant “Feathers”, joué par Angie Dickinson, dans Rio Bravo).
“Hatari!” représente une solution enthousiasmante au problème fondamental de la narration d’un film de safari.
Et, au final, le film s’impose comme un nouveau prototype, modernisé, du genre.
Cependant, après ce film, sorti en 1962, a-t-on vu d’autres films de safari ?
- Jeudi 07 janvier à 23h41
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- les safaris (à elge)
- j'ai lu tout votre post et je suis OK, c'est le meilleur film dans ce genre-là, car après çà .... plus rien, ah si j'allais oublier "le safari" avec Kad et Olivier, sorti récemment ???
non il ne vous plait pas ce film-là, ben mince alors ............MDR
alors attendez, Elge, je pense à un autre, vous savez le lion Clarence, celui qui louche, çà y est je me souviens, çà s'appelait "Daktari" et ce feuilleton a enchanté mon enfance, pas vous ?? - Vendredi 08 janvier à 10h43
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Hatari
- C'est un film où on retrouve les grands thèmes chers à Hawks : le groupe d'homme , la guerre des sexes , la fraternité , l'universalité et parfois l'humour .
- Vendredi 08 janvier à 11h25
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Le Messager
- J’avais un souvenir ému de ce film, vu à l’époque lointaine, dure et bénie où je faisais le mur de la pension pour échapper au racket d’une micro-maffia lycéenne et Corse, et je voyais dans cette petite ville provinciale, tous les films de « ciné-club » possibles et sans sélection ... vierge que j'étais de toute aliénation cilturelle ! :-)
« The Go-between » ( « Le messager » comme titre français… mais la traduction littérale « celui qui va de l’un à l’autre » convient mieux)
Je me souvenais d’impressions de chaleur, de cruauté ingénue (ce garçon amoureux de la belle Julie Christie et qui devient son entremetteur avec l’amoureux viril), de réminiscences douloureuses du passé (passé qui, dit-on dans les premières images du film, « est une terre étrangère où l’on agit autrement »).
Il n’existe pas à ma connaissance de DVD Zone 2 de ce film du grand Joseph Losey…
Mais par la grâce d’une personne qui n’est pas très loin d’être un ange (elle se reconnaitra), j’ai revu ce film …
J’ai revu ces séquences où le pauvre Leo souffre de la chaleur et n’en dit rien, car, déplacé parmi les riches, il n’a aucun autre habit à se mettre, mais garde sa fierté du pauvre qui a toujours quelque-chose à prouver…
Puis Marian lui offre un costume VERT ... qui « exhibe » réellement Leo comme l’attraction de foire qu’il ne voulait pas être.
Cette humiliation douce, cette cruauté du bon sentiment, je l’ai encore ressentie aujourd’hui (il faudra peut-être qu’un jour, un psy me dise qu’est-ce qui cloche là chez moi ! :-)
A noter : au tout début de sa carrière Losey a réalisé « Le garçon aux cheveux VERTS » … le même psy ne devrait-il se pencher sur la problématique du vert chez Losey ? :-)
Au-delà du drame qui se joue entre Marian et son amant Ted, on retient cette vie ratée de Léo, qui ne se remettra jamais de cet été 1900…
J’ai remarqué ce coup-ci l’utilisation, audacieuse, de beaucoup de zooms, qui, comme ces « zooms italiens » qui accentuaient la pantalonnade des westerns spaghettis de 2ème zone, laissent un gout grinçant et ironique…
- Jeudi 07 janvier à 16h30
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- The Go-Between
- Je reprends en introduction de ce post le titre qui convient bien sûr le mieux à ce retour sur le passé . Le scénario habile de Pinter suggère tout ce qui se passe : l'innocence et la fragilité de Léo lui laisseront une profonde blessure puisqu'il n'est que l'instrument d'une passion coupable .
La caméra qui se fait parfois discrète capte lorsqu'il le faut de merveilleux paysages .
Du grand Losey !!
Avec "Accident" , "The Servant" et "Mr.Klein" , Joseph Losey est un des grands exclus du maccarthisme et un des auteurs les plus importants de son époque . - Jeudi 07 janvier à 17h39
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- louise_michele (251)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- j'ai trouvé le titre
- du film que je cherchais la semaine dernière
STILL WALKING film japonais et pas coréen ! - Jeudi 07 janvier à 14h34
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A louise-michel : Still Wlaking
- et ?
tu voulais aller le voir ou tu l'as aimé ? ou autre ?
Je te demande ça car ds les films du festival Télérama, il est un des rares que je n'aie pas vus alors, je souhaite y aller qd ça démarrera (le 20/01). - Vendredi 08 janvier à 08h19
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- louise_michele (251)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- merci pour la correction
- et merci aussi à Télérama !
je veux le voir je l'ai raté à sa sortie ......On y va ensemble ? :-))) - Vendredi 08 janvier à 08h25
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- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A Louise-michele
- Quelle correction ? le titre ? je crois plutôt que mal réveillée, c'est moi qui suis ds le faux et même pour ton pseudo : OUPS !
Pas de problème, on y va !
Il me restera à voir aussi "Le temps qu'il reste" car ds mon ciné, ils ne passeront que 8 des films sur 10 que Télérama a choisi et évidemment, ds les 2 de différence, c'était 2 films pas vus ! Snif ! BON système que ces reprises, ça devrait donner des idées à d'autres.
Bon là, je me sauve, sinon je vais rater mon train.
Bonnes séances du week-end si possible
Nadpic - Vendredi 08 janvier à 08h37
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- un quizz en ce début d'année !!
- il a été l'amiral Anderson dans "USS Alabama", le gouverneur Wallace dans "Pat Garret et Billy le Kid", il a joué aussi dans "un nommé Cable Hogue" et son dernier rôle était dans "Magnolia"
mais pour moi il reste l'inoubliable "Cheyenne" dans "Il était une fois dans l'ouest' un de mes 10 films préférés ...
et la réponse est ????? - Jeudi 07 janvier à 10h30
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- moon (221)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- @ country90
- James Coburn ?
- Jeudi 07 janvier à 10h39
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- désolée Moon ..
- non, ce n'est pas la bonne réponse, mais s'il y a des similitudes dans leur visage (des gueules burinées tous les 2)
allez je vous laisse chercher encore un peu ..... - Jeudi 07 janvier à 10h56
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- moon (221)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Tora ! Tora ! Tora !
Tora ! Tora ! Tora !
Et la réponse est......
;-)
- Jeudi 07 janvier à 11h11
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- ouh là là vous fachez pas ...
- c'est Jason Robards !!!
un autre quizz = il a joué dans tous les westerns de Sergio Léone et je l'ai vu récemment dans une comédie gentillette avec Cameron Diaz et Kate Winslet, en vieil homme bourru prénommé Arthur, qui reçoit un prix pour l'ensemble de sa carrière de scénariste à Hollywood
il avait bcp changé depuis "le bon,la brute, le truand" et c'est ??
ah oui il a aussi joué dans "mystic river" du grand Clint, c'était l'épicier
zavez trouvé (il a aussi une gueule quel'on n'oublie pas) ?????? - Jeudi 07 janvier à 11h26
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- moon (221)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Facile....!!
Van Cleef, j'ai tout bon, c'est sûûur, lol.
- Jeudi 07 janvier à 11h35
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- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à moon
- il s'agissait d'Elie Walach, même si Lee Van Cleef jouait aussi dans le Bon = Clint, l'unique, le vrai, le meilleur acteur et réalisateur du monde (oui oui je suis gaga, je sais)
la Brute c'était Elie Wallach et le Truand = Lee Van Cleef, euh me gourais-je ?? flute je ne sais plus ...
peut-être l'inverse, Elge au secours ??? - Vendredi 08 janvier à 10h36
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- moon (221)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- @ country90
"Clint, l'unique, le vrai, le meilleur acteur et réalisateur du monde (oui oui je suis gaga, je sais)"
Mama mia, je connaissais l'effet Kisscool mais pas l'effet Clint.
Non non, vous ne vous gourrez pas, c'est bien E. Wallach.
Jetez un oeil sur le post de brikaberce...
Là, dessous :)
- Vendredi 08 janvier à 11h25
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- brikaberce (78)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- Désolé
- Au sujet du deuxième quizz , je pense plutôt à Eli Wallach , qui jouait effectivement le rôle de l'épicier dans Mystic River .
- Jeudi 07 janvier à 13h42
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- moon (221)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- @ brikaberce
Eli Wallach, en effet...
Belle "gueule" aussi.
- Jeudi 07 janvier à 14h41
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- elge (675)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- "Le cheyenne"
- Finalement, c'est lui qui a le rôle le plus "romantique" dans "Il était une fois dans l'Ouest"... quand il renonce à Jill (Claudia Cardinale), on ressent un mélange de déception et d'admiration ... puis quand on comprend qu'il est blessé à mort... alors là, son empreinte devient indélébile !
Jason Robards ... j'aimerais lui ressembler .... moi, je le troube "bô" :-) - Jeudi 07 janvier à 11h28
- Signaler au modérateurRépondre
- country90 (679)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- à elge (le cheyenne)
- vous zen faites pas Elge, encore qq années, qq rides de plus et vous lui ressemblerez au Cheyenne !!
ah ah ah , au fait je vous souhaite une bonne Année pleine de petits et grands bonheurs et plein de bons films, à partager sur ce forum (euh moi Avatar, c'est pas mon truc, mais ça fait rien, yen aura d'autres sur lesquels on pourra discuter) ... - Jeudi 07 janvier à 11h32
- Signaler au modérateurRépondre
- nadpic (660)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- A elge : le Cheyenne ?
- Entièrement d'accord : magnifique...
et quand il parle de sa mère ?
le mot putain dans sa bouche n'est pas ordurier ;
un sacré bonhomme ! - Jeudi 07 janvier à 11h46
- Signaler au modérateurRépondre
- louise_michele (251)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- henri fonda ?
- ?
- Jeudi 07 janvier à 14h18
- Signaler au modérateurRépondre
- beru_von_88 (1789)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- La carmagnole ?
- ...
Je crois que j'ai pas lu l'énoncé moi encore...
... ou alors George Abitbol ?
Béru - bon... vous pouvez répéter la questiiiiion ? - Jeudi 07 janvier à 14h24
- Signaler au modérateurRépondre
- louise_michele (251)Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
- J'entrave que dalle
- :-)
- Jeudi 07 janvier à 14h33
- Signaler au modérateurRépondre
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