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3811 commentaires affichés.

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vu "Wolfman"
Rarement, je m'étais autant ennuyée dans une salle de cinéma... mais là... 1h40 poussive, on a hâte d'arriver enfin au générique final. Benicio Del Toro est aussi expressif qu'une anguille au réveil... Le seul intérêt du film réside dans la prestation d'Anthony Hopkins...
Le scènario a du être écrit par un enfant de douze ans, pas de surprises, pas de sursaut, pas de suspens...
Regardez la bande-annonce, vous aurez tout vu...
Samedi 13 février à 23h12
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Metropolis (version restaurée)
Je ne connais plus personne.


Béru - les mirettes écarquillées
Vendredi 12 février à 16h25
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nadpic (660)
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A béru : métro... pas dodo (ouais elle est pas terrible !)
bon ben je ne comprends pas tout : télérama dit que c'est de l'inédit CE Métrpolis là et pis moi qui suis allée voir CE métropolis là il y a 6 mois, avec le même commentaire comme quoi à l'occasion du festval du cinéma ben ... bref, même topo : morceaux retrouvés, revisités etc... j'ai vu quoi alors ?

Bon, y a NCIS et le fiston qui revient alors... à moins qu'il soit tenté (hum !) par le Métropolis pour "comparé" car il est allé voir la version manga qd moi je voyais le vrai, le faux, nouveau Métropolis : coup de pub ? pourquoi not ?
Vendredi 12 février à 19h12
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Moi je punirais le gosse...
Pour pouvoir revoir ce film peinard (film que je vais découvrir ;°)*


Béru - stratégique à petit bras
Vendredi 12 février à 20h01
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nadpic (660)
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A béru : Métropolis
je ne l'ai pas revu, et oui, je n'ai pas "craqué" !
Dommage qu'il soit encore si présent ds ma tête, vu que je l'avais découvert il y a peu, TROP peu de temps. Je n'avais pas envie de le revoir trop tôt : un film fort, que j'avais aimé et qui mérite son titre ds notre patrimoine, un film long (!), aussi. J'ai à présent la solution de l'énigme : OUI j'ai revu en salle la version ENFIN remastérisée mais pas avec les 26' ajoutées...

alors, tes impressions ?
Samedi 13 février à 20h54
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À froid ?...
Impressionné.

Par beaucoup, beaucoup de choses. Pas sûr du tout d'ailleurs de pouvoir faire le tri, besoin d'aller lire, m'instruire, comprendre et activer pendant longtemps encore ma curiosité.
Je suis déjà tombé là-dessus : http://www.ecrans.fr/Metropolis-version-Lang,9189.html et ça me donne envie de fureter encore un peu plus.

Photo, théâtre, architecture, musique tout m'a sidéré.
Il fallait voir ensuite le trop court documentaire... sidérant est je pense le bon terme.

Et je suis d'accord avec Fritz Lang quant à cette fin un rien mièvre. C'est effectivement bien mièvre, mais wouaouh !

Et oui, il faut être courageux pour voir un tel film, mais fichtre ! quel film ! ça vaut mille fois le coup !

Et je me suis rendu compte que je dois encore voir nombre de films fondateurs et de me poser cette question : pourquoi fichtre diantre de tels films sont, lorsqu'ils sont diffusé, le sont quasiment toujours à des heures indues, en pleine nuit ?
Question pernicieuse ensuite : imaginez Métropolis avec 2 voire 3 coupures pubs... cette télé-là me débecte.


Béru - arte for ever !
Samedi 13 février à 21h25
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Piégé le Béru...
Bon en ce moment je me lance dans un truc de dingue, un machin à avoir des céphalés carabinées ce qui fait que j'ai pas consulté avant, comme je le fait d'habitude, le Télérama qui traîne dans un coin du web.

Pis là, je fini d'activer les badigoinces, je regarde si oui ou non y a keke chose à se mettre sous la dent de l'œil, vois les 2 TT célèbres et j'y vais sans aucune préparation.

Trouve le début musicalement pompeux, commence à me faire chmire, comprends pas où il veut en viendre le réalisateur, trouve pas de gâteaux secs, normal, tout bouffé, donc obligé de ronger mon frein les crocs dans le vide.

Et bien j'ai pas été déçu, même bel et bien piégé y faut dire, et je suis même prêt à en redemander. Même si l'assertion du départ concernant le hasard et le destin est discutable philosophiquement parlant, elle sert d'excellent prétexte à balader les spectateurs dans une certaine amérique, dans la douleur, la peine et la transmission à l'autre.

Film truculent, film grave, film fin, un beau film quoi...


Béru - j'aime bien ce flic qui perd son flingue et cette petite nana un peu fêlée, tiens...
Vendredi 12 février à 12h17
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rinrin (1486)
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Wiki au pied!
Le numéro 82 apparaît plus d'une douzaine de fois sous différentes formes tout au long du film : sur un pendu, sur les ailes d'avion, sous forme de cordage, sur des matricules divers, numéros de téléphone, adresses, publicités, sur des tableaux et pancartes... Comme stipulé à deux reprises dans le film, il fait référence à la parabole 8:2 de l'Exode dans l'Ancien testament annonçant l'une des colères divines constituant les dix plaies d'Égypte : « Aaron étendit sa main sur les eaux de l’Égypte ; et les grenouilles montèrent et couvrirent le pays d’Égypte »[5]. Le réalisateur annonce donc tout au long de son film la scène finale de la pluie de grenouilles. Cette scène sur la pluie de grenouilles est un phénomène météorologique qui a déjà été observé mais qui concernait plutôt des têtards (ou petits poissons) que de véritables grenouilles[réf. nécessaire].

Couché Wiki.

Bon chien Wiki.
Vendredi 12 février à 12h38
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Ben tiens !
J'ai voulu faire mon curieux (après, je trouve ça plusse mieux, mais bon) sur Magnolia, ben à part Wiki, rien.

Me parlez pas des trois trucs de ciné soit disant qui mâchent à grand peine le synopsis et deux, trois images du film histoire de dire qu'y sont au jus...

Donc pas grand chose quoi... pour nourrir un grand curieux comme moi, c'est léger quoi.

Et vous Rinrin, en dehors du Wiki en copier-coller ? what else ? un avis personnel peut-être ?... avec des vrais mots de vous... là, oui, là, si, si, là.


Béru - appel à contribution
Vendredi 12 février à 14h40
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rinrin (1486)
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Même avis que vous
à quelques détails près sans importances.

Pour le coup, ça me donne envie de voir There will be blood.

Rinrin, au taquet.
Vendredi 12 février à 14h47
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Mon humble avis
Je crois que P.T Anderson est très sincère dans ce film, peut-être trop. La couche moralisatrice est présente dans tout le film, et elle évolue aussi avec les regards que portent les protagonistes, dans leurs rapports entre eux ( Jimmy Gator avec son épouse et sa fille, Frank avec son père sur son chevet, le gosse et son père qui ne se parlent plus). Le film jongle avec les clichés, parfois cela passe ( je trouve que William H Macy s'en sort très bien et pourtant quel rôle ingrat, en revanche Julianne Moore parfaite pendant une heure vire au discours pathétique devant son avocat). C'est là que la patte d'Anderson est pesante et lourde.
Je ne remets en revanche pas en doute la virtuosité du type à diriger ses acteurs et à compiler une bonne dizaine de plans bluffants, mais c'est sûr qu'on peut y voir aussi de l'esbrouffe, au détriment d'un traitement plus léger.




Vendredi 12 février à 18h44
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nadpic (660)
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"lovelys bones"
Je suis allée voir cet après-midi le dernier film de Peter Jackson. Si l'actrice principale "Saoirse Ronan" tient bien sa place, s'en sort assez bien , je ne sais toujours pas quoi penser du film : d'une part une angoisse bien rendue et une émotion lourde, d'autre part une bêtise à faire pâlir ts ceux qui comme moi, ont eu dans leur chambre un jour des posters avec des grands paysages dégoulinants de couleurs, de bonheur, d'arc en ciel et de paysages féériques (années 70, pour la précision !), de z'oizeaux et de zolis papillons qui sont beaux (bon là j'exagère)... Bref, tantôt cucul tantôt fort : le livre, car c'est tiré d'un livre, était il mieux ficelé que ça ?? Si Jackson avait laissé l'imaginaire du spectateur faire son boulot avec une voix off lourde et présente pour figurer l'enfant assassinée, je pense que ça aurait pu faire un bon film...
Jeudi 11 février à 19h21
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Par deux
Je n'avais pas compris à l'époque.

Je savais ma grand-mère amoureuse de beaux livres, mais gagnant peu, parfois ne pouvait elle que s'offrir que des livres de facture bien clinquante. De fait n'avait-elle pas acheté, parce que c'était vaguement cuir, vaguement doré mais au papier épais et à la police trop grasse, l'intégrale du divin Marquis sans y mettre une seule fois le nez dedans et sans donc en soupçonner un seul instant la nature licencieuse des écrits... où comment un petit garçon qui lit l'Enfant et la rivière fait aussi ses gammes sur le fait érotique ailleurs que dans la Redoute rayon lingerie.

Bref, ceci pour présenter ma grand-mère... (et dire qu'on me disait que je ne lisais pas assez...)

Un jour, alors que je quittais définitivement la région, me donne-t-elle un livre que je mis, faute de temps, longtemps à lire. En fait elle m'en avait déjà donné quelques-uns et je ne comprends pas toujours comment elle a pu les acheter, et surtout piquée de quelle curiosité.

Pour ce livre-ci, j'ai compris au hasard d'un article. C'est le livre adapté au cinéma qui fut, pendant un temps du moins, le plus diffusé à la télé. Il s'agit d'un Week-end à Zuydcoote. La grand-mère a dû vouloir lire le livre après avoir vu le film...

- -

Toujours en partant d'un livre et d'une adaptation au cinéma, je me désespérais de ne pas avoir pu le voir. En même temps nombre de films ont subi cette indisponibilité et ce manque de moyen financier... ni le premier, ni le dernier. Pourquoi alors celui-ci prit-il une amertume pareille ? Une critique, fine, argumentée sûrement... je ne me le rappelle pas vraiment.

Plus tard, une auteure qui parle de ce livre, qui me donna l'envie irrépressible de le lire, chose que je remets à plus tard lisant un énorme pavé actuellement qui va me demander encore beaucoup de temps à lui consacrer. Une dizaine de livres sont d'ailleurs en souffrance. Mais après avoir entendue cette jeune femme, ces dix livres attendront encore un peu.

Puis ces derniers temps je tombe malade. Rien de grave, juste que. Sans le faire exprès dans la même période, passe tard et en deux parties Lady Chatterley.
Un vrai choc.
Résultat, je trépigne littéralement d'impatience pour le lire enfin à l'éclairage de cette auteure et de ce film si subtil.


Alors à la question de savoir si les adaptations au cinéma porte ou non l'œuvre, n'arrêtant pas, moi, de faire sans arrêt l'aller retour entre littérature et chose cinématographique, je dis que si le livre en vaut la peine, si le réalisateur ne fait pas ça à la truelle, oui, ça vaut le coup.


Béru - de deux œuvres
Mercredi 10 février à 15h06
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à béru (les adaptations de livres au cinéma)
voici la petite liste qui me vient à l'esprit parmi les livres que j'ai lus et qui ont été adaptés au ciné

films/livres européens :

- l'été meurtrier (films et livres aussi bien l'un que l'autre)
- un long dimanche de fiancailles (le roman de Japrisot surpasse largement le film )
- ensemble c'est tout (le superbe romand'Ana Gavalda vaut largement mieux que son adaptation)
- le parfum (le livre de Suskind est pour moi un petit bijou, bon le film je m'attendais au pire, mais çà va, ce n'est pas trop dénaturé, mais on ne "sent pas les odeurs" comme dans le livre ..)
- le secret, livre de Philippe Grimberg et joué par Cécile de France (entre autres) est une adaptation fidèle du livre

films/livres étrangers :

- le silence des agneaux (livre et film semblables, même si le livre comportait plus de descriptions horribles)
- la maison Russie (superbe adaptation du roman de John le Carré)
- Millenium (j'ai bien aimé la trilogie, surtout le premier, et le film m'a bien plu en gardant la "substantifique moelle")
- le docteur Jivago (chiant à lire comme quasiment tous les romans russes, mais le film j'adore)
- Guerre et paix (idem)
- la firme (bouquin bien, film moyen)
- tous les livres d'Agatha Christie ont rarement été bien adaptés
- idem pour les Stephen King (the Thing est devenu un truc grotesque)
- les romans de Mac Cormick (comme "no country for the old men" est devenu un chouette film que j'ai vu récemment et bien apprécié surtout par son personnage joué par un Javier Bardem complètement halluciné)

bon j'en oublie,je suis sûre ....
Jeudi 11 février à 09h59
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nadpic (660)
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A country et béru : livres et cinéma
... et les nombreux livres jeunesse (je dis jeunesse, donc parfois grand ados) qui sont parfois bien ou mal adaptés mais très ou trop rarement signalés comme émanant de ce genre de littérature : pas assez vendeur ?!
Jeudi 11 février à 11h24
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nadpic (660)
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soirées ciné
El custodio
La nuit des tournesols
Il est plus facile pour un chameau

Rien à voir entre ces 3 films sauf que ce sont 3 films que j'ai vu ces jours-ci : les deux premiers faisant partie d'un super coffret films du monde que m'a offert mon fiston ce Noël (m'en va lui REfaire un chtit bisou à celui-ci...)

NOIR, on pourrait trouver ce fil entre tous : une noirceur différente, discrète, ennuyeuse ou violente, terrible parfois.

Je me dis que "La Nuit des Tournesols" avait tout pour faire un "carton", avec un scénario très très bon, une histoire qui se tient et qui nous envoûte jusqu'au bout. J'ai encore ses images dérangeantes en tête, la noirceur de la vie et ses hasards horribles !
De multiples rôles forts,
A VOIR !

"El custodio" est tout en silence, en retrait. J'ai aimé aussi...

"Il est plus facile pour un chameau", premier scénario (mais en a-t-elle fait d'autre ?) de Valérie Bruni-Tedeschi. Bon choix de casting (dont elle), bonne peinture de ces enfants riches qui se meuvent dans un monde où l'argent fait... la différence de jugement !

Mercredi 10 février à 12h19
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joanb (98)
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Il est plus facile...
Je me demande encore comme le film de Valérie Bruni-Tedeschi a eu ce succès qu’on connaît. Quand je l’ai vu, j’avais trouvé que c’était un film creux, idéal pour les branchés parisiens qui adorent les films égocentrique et narcissiques avec une touche « cinéma d’auteur ». Mais sûrement, je suis tombé dans mes « a priori » et dans mon manque d’intérêts pour les histoires de gosses de riches que soufrent d’être riche, et qu’ils ont assez d’argent pour exorciser cette grande souffrance en réalisant un film.
Il faudra que je le revoie, mais je n’ai pas le courage
Mercredi 10 février à 12h41
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....pour un chameau
En effet , ce film de la mignonne Valéria en est un de plus dans la liste des petites histoires de la bourgeoisie parisienne en mal de réels problèmes uniquement propres aux "bouseux provinciaux".
Cette histoire fait partie de cette manie française du moment : un truc collégial , c'est-à-dire avec de nombreux acteurs à la mode , qui vient dérouler ses petits problèmes existenciels devant une populace ravie de découvrir qu'elle n'est pas la seule à ramer et à avoir des histoires de couples , d'enfants , de boulot , de vie et de psycho-problèmes de comptoir.
Je concède cependant à la réalisatrice un travail honnêtement bien fait dans la forme .
Mais je ne pense pas moi aussi le revoir un jour .
Jeudi 11 février à 10h15
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à nadpic (il est plus facile pour un chameau ...)
je ne connais pas du tout les 2 premiers films dont tu parles, par contre Valeria Bruni-Tedeschi (la soeur de Carla mais tout son contraire anti-bling bling) je l'aime beaucoup en particulier dans le film "Les gens normaux n'ont rien d"exceptionnel" qui raconte l'histoire d'une jeune paumée qui ne sait pas trop quoi faire de sa vie mais cherche à embellir celle des autres ... bon ce n'est pas rigolo, rigolo, (çà se passe surtout en hopital psychiatrique) mais cette actrice toute en nuance et luminosité compose un beau personnage (qui lui a valu le César de la meilleure jeune actrice à sa sortie)

sinon elle a réalisé aussi "actrices" mais je ne l'ai pas vu.

Jeudi 11 février à 09h30
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une exécution ordinaire (Staline en 1952)
vu hier ce film, atmosphère très très glauque, opressante, une photo sombre toul le temps, des personnages qui évoluent dans un univers que l'on ne souhaite même pas à son pire ennemi ...

la délation est présente partout, ah le concierge joué par un Podalydès inquiétant et suspicieux à souhait, Marina Hands manipulée par un Dussolier en Staline plus vrai que nature, quel acteur !! on ne voit que lui pendant 1h45 du film , il joue au chat et à la souris avec son infirmière, écrabouille sa vie personnelle .... jusqu'au dénouement final ..

bref quand on sort de cette pénible histoire, on est content de retrouver le soleil et .. la liberté !! j'avais ressenti exactement la même chose en sortant du film "Est-ouest" de Régis Warnier avec Sandrine Bonnaire.

A noter que dans la salle, régnait un silence impressionnant (pas de papier de bonbon froissé, encore moins de pop corn !!)
Mardi 09 février à 09h27
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nadpic (660)
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Silence des dictateurs !!
Country tu sais savamment peindre l'ambiance du film ET de la séance : vivement l'air frais du dehors se dit on... !
La scène qd Staline (Dussolier) regarde un western américain est époustouflante !
N'oublions pas Edouard Baer (je ne sais plus trop comment s'écrit son nom !), qui n'en fait pas trop, qui est en retenue et en émotion subie, son "épouse" magnifique, extrêmement discrète et forte à la fois ; Podalydès OUI, comme tu le dis, si ordinaire et si infame !
En fait je ne crois pas que Dussolier tient toute la place du point de vue comédien mais il est l'araignée qui tisse les fils ET qui ramène tout ce monde à lui, un dictateur que l'on pourrait presque trouver à plaindre mais qui, jusqu'au bout, distille sa sève noire, ordurière.

ALLEZ voir ce film !
Mercredi 10 février à 11h48
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Meeeeerdre-euh !
Soirée Jedi...


Béru - et toujours pas de bière... mais qu'est-ce qui fout ce chat !
Lundi 08 février à 18h42
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Ah, c’est donc ça !
Là…je ne peux pas lutter.
J’attends donc la critique version Sankukai sur ces guerriers philosophes avec grande impatiente.
Et dire que je n’en ai vu aucun…Je suis vraiment inculte!

Entredeux : toute hirsute, euh non ce sont les Iwoks, pardon.
Lundi 08 février à 19h52
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combat
vuuuu vouuu kchiii kchiii
vououou vououou
kchiii kchiii

Luke: je suis ta mère
Lundi 08 février à 20h33
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Tu verras Béru, celui-là y l'est plus sombre
Ben wi, y a jeune con Skywalker qui tape son gros caprice version caca nerveux et qui se fait ratatiner, m'étonne qu'il ait envie de tout péter ensuite... m'enfin bon ça vaudra jamais le Joker de Batman ou mieux encore : Joe Dalton.

Jamais... mais alors jamais quelque chose de bien.

Pis je me suis endormi devant ! Déjà la fois dernière j'ai rater "hop, je te coupe la main !", là je sais pas trop ce que j'ai louper, si le début de mon sommeil...

Ce sont des films pour les prépubères, âge où le zizi chatouille (pour le restant de toute la vie [note personnelle]) et qu'on ne comprends pas pourquoi on se fait ramasser par ses vieux juste parce qu'on est une boule de douleur métaphysique (ben Kévin(a) n'a pas rappelé(e) alors que je lui ai laissé au moins 15 textos en une demi-heure et que mon daron m'appelle pour manger et que j'ai pas faim de toute façon, pas tant que Kévin(a) ne m'aura pas rappelé(e) pour m'expliquer sa trahison (une demi-heure quoi ! y aurait une guerre thermonucléaire, je comprendrais, mais là ! une demi-heure !...).

Nan, finalement je préfère Joe Dalton... plus crédible.

Là, c'est du sous-Claire Bretécher avec des joujous en plastique, des cascades au trampoline et des vaisseaux spatiaux qui font des bruits de meules qui marchent à l'éther... c'est chiaaaaant !


Béru - que c'est con un jeune, mais que c'est con, mais que c'est con... ce soir dc House, on nettoie tout ça à l'eau de javel !
Mardi 09 février à 06h52
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r'Hâââ !
J'ai eu ma dose !


Béru - that some bad hat harry !
Mardi 09 février à 22h41
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nadpic (660)
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les jedaï du lundaï
Tu fais concurence à sankukai ?? riresssss
Mercredi 10 février à 23h17
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nadpic (660)
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Jedi, lave en fusion et enfin : Dark Vador !!
Ah ! j'ai pensé aux échanges dits ici, lundi soir...
Je voyais ce 3° épisode pour la première fois et maintenant ?
Ben maintenant je me dis que le suspens (insoutenable !!!) des suivants doit y perdre beaucoup (rires) puiqu'on sait TOUT !!

Bon trêve de plaisanteries, sur les 3 premiers, celui-ci, plus noir sortirait presque son épine du jeu.

Bon c'est vrai qu'on dépense plus en bière en chocolat en soupirs et en tisane mais
au moins
maintenant
si on est de ceux qui avaient été aux premières loges pour les premiers films sortis de cette saga, on a bouclé la boucle.
Dis béru ? tu y seras quand même toi lundi prochain, devant le poste ?
Mercredi 10 février à 12h08
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Oui
Lundi je serais aux abonnés absents du cerveau.

Nan y se rendent pas compte, mais c'est vraiment saoulant comme truc ce truc à la psychologie taillée à la truelle de boucher.

Et le 3 qui s'en sortirait mieux... nan, nan, nan, mais vraiment nan. Disons qu'on comprend enfin pourquoi il nous a tant tenu la jambe que ça. Et on se dit : tout ça pour ça... ben mon colon !...


Béru - la prochaine fois je saurais, je fuirais...
Mercredi 10 février à 14h05
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elge (675)
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Rebelle en Chambre ("Control" d'Anton Corbijn)
C’est quoi un « film rock » ?

Et c’est quoi un grand film rock ?

Je crois qu’un « film rock », avant d’être un film sur/avec de la musique « rock » est un film qui traite de la « rébellion sans cause »,
La rébellion sans cause est celle de l’ado ayant du mal avec ses contradictions : s’affirmer/suivre une mode, aimer pour/ aimer contre, rêver d’absolu / se détester… se rebeller / rester dans sa chambre…

A ce titre, « Control » est un grand film rock !

Ian Curtis, chanteur mythique (de Joy Division), mais vie ordinaire, est exemplaire de cette rébellion mise en scène (une des premières scènes : Ian porte un « loden » au look bien rangé et marche dans la rue ; il se retourne ; on voit qu’il a peint « HATE » dans son dos).

Ian est chanteur de rock, mais il « choisit » de se marier très jeune (à 19 ans) … choisir ? En fait, il ne maitrise pas sa vie (« She’s lost control » est une des plus belles chansons de Joy Division, avec « Love will tear us apart »… ces deux chansons parlent de lui et de ses déchirements).

Ian est chanteur de rock, mais comme le dit Annik, sa maitresse, il est « déprimant » … rongé par l’indécision, entre la culpabilité de tromper se femme et l’intuition que son mariage est erreur
Ian est poète mais il reste muet devant sa femme qui pleure et rage, devant ses amis…

« Control » est également un grand film rock parce que les scènes de concert sont fabuleuses… Sam Riley est un Ian Curtis saisissant… la scène où son jeu scénique (gestes saccadés, tendus, à la fois maladroits et habités, touchants) se transforme en crise d’épilepsie est très émouvante… inoubliable !

Love is tearing us apart … again !

(PS : les bonus du DVD sont nuls... dommage)
Lundi 08 février à 13h53
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joanb (98)
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Love, love will tear us apart again...
Ah, Joy Division! Quel grand groupe de rock! Enormes et malheureusement brèves ! Combien de belles chansons pleines d’émotion et de tristesse. Et Ian Curtis, effectivement un poète, un poète romantique de la fin du XX siècle. Et derrière eux la très longue ombre de velvet underground… bonne j’arrête que on est sur le forum cinéma.
Le film, aussi, j’avais adoré. Ce noir et blanc crue qui transcrit si bien l’ambiance de l’époque. Et cet acteur, Sam Riley, uauuu ! Ils sont forts ces anglais quand il fait mettre le mot Acteur en majuscule. Et justement ce n’est pas un bio pic comme d’habitude, une simple reconstitution historique (généralement un peu chiants à mon goût), il est beaucoup plus centré dans le conflit intérieur de Ian, cette hypersensibilité émotionnel et son incapacité à répondre aux problèmes du monde adulte. Eh oui, tu as raison c’est a partir de ce déchirement de l’adolescence, qu’on construit un grand film rock.

Lundi 08 février à 15h02
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
Elge tu es mon roi !
Génial ! Enfin de la création, du talent et du professionnalisme, un de ces films qui nous fait encore croire au cinéma. Merci !

ps : je vais aller régler le compte à Shamelocked Homeless.
Vendredi 12 février à 22h03
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joanb (98)
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MOTHER
Le personnage central : une mère. Pas une mère comme les autres… Une grande passion : l’amour. Ah ! C’est amour de mère. Et un voyage au fil du rasoir pour sauver son fils, pour se sauver elle (mais est qu’il y a une différence, Monsieur Bates ?).
C’est aussi une question d’oublie et de mémoire (Il avait déjà réaliser « Memories of Murder »). Et aussi de danser pour oublier et de se dire que tout va bien. Une histoire de monstres mais sans effets spéciaux (Il avait déjà réaliser « The Host »).
Sa façon de raconter est plus proche d’un cinéma américain, Spielberg ou Fincher, que de ce qu’on appelle cinéma asiatique (cela ne vaut absolument rien dire !!) mais à la fois il a ce côté « moins américain » de ne pas traiter le spectateur pour un imbécile et de laisser de l’aire entre les plans. Comme dans ses autres films, il y a au fond une critique de la société Coréenne et un goût pour un réalisme avec notes du grotesque.
Il n’y a pas de Kung-Fu (bon, un très petit peu !) et vous pouvez aller tranquillement sans besoin du Cahier du Cinéma.
Pour moi, et avec l’expérience de ces trois films, Bong Joo-ho est un grand. Je ne peux que vous conseiller ce film.
Lundi 08 février à 10h52
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Inscrit Libé +Suivre cet internaute | Profil
A voir donc
Tu n'es pas le premier à faire l'éloge de ce film . Aux dires de potes , "c'est un superbe film du réalisateur de The Host et surtout admirable portrait d'une mère qui se sacrifie continuellement pour son fils, allant même jusqu'a enquêter quand ce dernier est accusé de meurtre. Bong est à la fois un grand technicien comme un grand conteur. Bref , un des meilleurs de cette nouvelle vague ."
C'est aussi mon avis.
J'y vais dés que possible et on en reparle .
Lundi 08 février à 14h16
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joanb (98)
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a brikaberce
J'attends, impatient, ton avis
Lundi 08 février à 15h05
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Mother
Une première impression à chaud : je reste toujours aussi fasciné par la maitrise formelle de Joon-Ho Bong, ses ruptures de ton, ses ambiances élaborées si particulières, et ses audaces rythmiques. Le film avance parfois très lentement et peut rebuter le spectateur pas assez motivé: procédé dangereux qui ne nuit pas forcément à un scénario assez prenant mais qui use, toutefois, de certaines ficelles un peu grosses (le vieux du bric à brac, par exemple, , témoin providentiel qui servira en même temps d'épreuve pour la mère). Je suis également peu client d'un final que j'ai trouvé en demi-teinte.
Mais il y a heureusement tout le reste, des moments remplis de bonnes idées, un sens du cadre incroyable, un suspense captivant et parfois ludique (quand la mère tente de sortir de l'appartement du meilleur ami en essayant d'éviter les bouteilles au sol), des personnages décalés (l'idiot, par exemple, qu'on retrouvait déjà dans THE HOST) pour un ensemble résolument original.
Ca m'a bien donné l'envie de retenter l'expérience mitigée de THE HOST et de revoir MEMORIES OF MURDER qui reste toujours, et de loin, mon préféré du réalisateur .
Vivement la suite.
Vendredi 12 février à 09h56
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boca (1550)
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brikaberce
Bonjour à tous,

Je n’ai pas eu de mal à entrer dans le film sans jamais en sortir d’ailleurs, chaque scène vous attrape, il peut se passer plein de chose, imprévisible ou pas (la voiture au début du film qui a failli renverser le fils, la 1ère scène où la mère coupe des branches séchées).
Dans le film chinois Accident, qui est sorti récemment, il y a des sacrés longueurs, des plans longs et peut-être inutiles qui font qu’on n’a du mal à ne pas s’endormir par moment.
Par contre, lorsque l’on a pigé les liens entre les différents personnages, ce qu’ils font dans la vie, ça devient plus intéressant.
Dans Mother, les acteurs sont très beaux à regarder, ils ont des yeux magnifiques, même la mère en parle très bien dans une scène où ils déjeunent ensemble, rien qu’en les regardant, ils hypnothisent.
Il y a des séquences pas très politiquement correct, notamment quand le jeune homme se couche auprès de sa mère, bourré et qu’il lui touche le sein comme s’il voulait lui faire des câlins.
Pas de conformisme ici.
Et puis à la fin du film on pouvait très bien imaginer que la mère ne tuerait pas le vieux sdf quand elle a su que son fils était finalement le tueur malgré lui.
Qu’elle laisserait son fils en prison si on se fie à la raison.
Mais une mère est capable de tout, du meilleur comme du pire… et dans le pire, elle reste malgré tout humaine car sensible lorsqu’elle « pête » un câble après son geste assassin…
Vendredi 12 février à 10h48
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On tient là un sacré bonhomme !!
Je ne tiens pas à rentrer trop dans les détails avant une deuxième vision qui se fait de plus en plus désirer, mais il est clair que nous tenons là un jeune cinéaste important car seul dans son registre et riche d'une personnalité désormais clairement identifiable.
Vendredi 12 février à 11h58
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Jennifer body's
Mon fiston m'a trainé au ciné pour me montrer celle qui est pour lui Le Canon du siècle : j'ai nommé Megan Fox !! Le programme est annoncé d'emblée : Hell is a teenage girl ! Megan Fox est la bombe atomique du lycée . Sa "best" depuis le bac à sable, Needy (Amanda Seyfried) est aussi blonde, mal fagotée, invisible et sans doute vierge (mais pas coincée, elle a un boyfriend, ) que Jennifer est brune, à l'aise dans ses fringues (en clair jean taille basse, nombril largement à l'air et décolleté généreux), sur-visible et expérimentée. Un soir, elles rencontrent un groupe de rock et comme il est bien connu aux USA que le rock c'est satanique et le rocker sémillant et ambitieux , Megan, prise pour une vierge, et qui espérait le septième ciel, s'en sort mais avec un petit plus : Satan l'habite !
Donc comme ces rockers lui ont mis (involontairement la fièvre), Jennifer (un corps en fait) part à la chasse (sinon elle s'enlaidit et dépérit) : superbe aveux de Needy après consultation du rayon "sciences occultes" du cdi du lycée : les filles qui se tapent (comme petit déj') des garçons ont la peau plus belle et sont mieux fringuées ou quelque chose dans ce goût-là.
Needy est en manque... mais Jennifer aussi, et le boyfriend de Needy, Chip, est comestible...

L'adolescence, c'est terrible... Supporter des groupes nazes sur toutes les radios, écouter des camarades de classe affirmer "c'est vrai, je l'ai lu dans Wikipedia", ne pas être prise au sérieux quand on veut jouer à Buffy, aller au bal du diable (comme Carrie ?), se chamailler avec sa meilleure amie en baignant dans l'indécision sexuelle et le manque, être un gros dur qui pleure ou un gothique littéraire qui est couvert de piercings et a peur des rats, zoner dans un trou où il ne se passe pas grand chose sinon les traces traumatiques du 11 septembre chez les adultes , avoir un prof avec une pince à la place du bras gauche... devenir adulte...
Diablo Cody a écrit un scenario qui recycle astucieusement le mythe de la vamp et les films d'horreur pour teenagers, sauf que la bimbo canon n'est plus la proie.. Tout le monde en prend pour son grade bien sûr, les adultes, les teenagers, les rockers, la bonne conscience et la compassion, le 11 septembre, les films d'horreur, y compris Disney (le baiser entouré des animaux de la forêt, mais Bambi a grandi et est un peu carnivore ). C'est gentiment gore et on s'étripe esthétiquement, en ombres chinoises, dans des banlieues pavillonnaires monotones. Le spectateur aussi est une proie (baignade de Megan Fox, début de scène entre filles, on joue à fond sur les attentes), le corps de Megan est le produit d'appel et c'est dévorant .
Megan Fox joue très bien mais sait aussi s'affadir. Amanda joue très bien le petit canard (vilain) sexy en réalité. Les garçons sont niais au même âge et des proies faciles, le groupe de rock est une caricature réussie. Le film n'est bien sûr pas exempt de défauts : une voix off envahissante ( le film est construit sur un grand flash-back), des effets appuyés (Needy parle de l'arbre tordu de son enfance, hop on nous le montre) et une fin (en fond de générique, pas vraiment nécessaire, on avait compris.
Mais je ne me suis pas ennuyé, c'est un film réussi dans l'ensemble, sympathique et pas idiot.
Et puis Megan ....................
Lundi 08 février à 10h00
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Erreur
Mon Anglais est à revoir : Jennifer's Body ...
Troublé à ce point par ce corps de rêve ???
Lundi 08 février à 17h49
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à Commode et Dod
arrêtez de vous étriper tous les 2, on croirait un duel avec l'homme à l'harmonica derrière (pour la bande son) et les 2 malfrats (vous 2 !!) prêts à dégainer .....

moi je trouve excellent Nicholson dans ce rôle de Mac Murphy (eh oui je pense comme Commode que Casavetes et son sourire carnassier aurait très bien pu aussi faire ce rôle)

non Dod, il ne surjoue pas Nicholson, et surtout pas dans ce rôle là, ni dans "Monsieur Schmitt", ni dans "tout peut arriver" et encore moins dans "the Pledge" en vieil inspecteur fatigué mais qui retourne encore au casse-pipe une dernière fois, pour résoudre un crime atroce ...

pour Commode = ah oui j'ai confondu le nom de l'actrice Louise Fletcher alias miss Ratchett dans "vol au dessus d'un nid de coucou" c'est parce que franchement son rôle lui colle à la peau (d'ailleurs je ne l'a jamais revue dans un autre film, étonnant non ??

pour Dod = je persiste et signe en disant que ce film, tout comme "Midnight express" n'a pas vieilli, et je les classe tj dans mes 10 films préférés, na !!



Lundi 08 février à 09h38
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Bon alors Country !
Si c'est pour vous, je suis ok et vous ai compris ! ;-)

Bha, des fois, faut bien prendre son - contre - pied.

dodu, pas difficile pour un rond.
Lundi 08 février à 16h26
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boca (1550)
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country90
non, il est fantastique Nicholson dans tous les films cités, que j'ai vus, le regard, les longueurs, il joue juste à tous les coups.
ça existe des personnages dans le vie, comme lui qui sont sûrs d'eux, qui manipulent les gens, charmeurs ...
comment dire qu'un acteur surjoue ?
Sous-jouer ou mal jouer, je veux bien mais sur-jouer ...
si le personnage est un peu barge, excessif, nerveux c'est normal que ça se retrouve dans le jeux.
Vendredi 12 février à 10h55
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M'ouais pas si barge
pour les Osacrs ou le compte en banque.
Vendredi 12 février à 22h05
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boca (1550)
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dod
Il joue tellement bien le barge qu'on pourrait croire qu'il l'est aussi devant son banquier ....
Vendredi 12 février à 22h27
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commode (934)
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Annonce importante pour mon ami SANKUKAI :
Son acteur préféré KEVIN KOSTNER est devenu chanteur.
Il sera à la Cigale, le 22 février prochain, avec son groupe, The Modern West.Tout le répertoire de la Country sera revisité par Kevin et son groupe, avec Denis Hooper à la batterie, Jane Tripplehorn à l'harmonica, Steven Seagal à la basse, Ben Affleck au triangle.
Si vous croisez Sankukai, merci de lui faire part de cette information qui lui fera grand plaisir, même si je suis convaincu qu'il a déjà réservé des billets.
Dimanche 07 février à 21h53
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C'est une blague ?
Non Commode , je ne vous persécute pas, mais ce groupe là, ces acteurs là, dont Kevin.. C'est sérieux ?

ps : vous aurez remarqué que je n'ai rien dit de désobligeant cette fois ( pour vu qu'on ne parle pas de Dustin... un de ceux... )

A+
Dimanche 07 février à 22h18
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panama (1282)
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dod
relisez quelques pages du forum avant de vous énerver pour rien.

Dimanche 07 février à 22h22
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commode (934)
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Oui, c'est vrai,
pour Kevin et le nom de son groupe, et je voulais absolument que Sankukai le sache.
Sinon, vous n'aimez pas non plus Dustin Hoffman ?
Bonne soirée.
Dimanche 07 février à 22h24
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Pourquoi pas Hughes grant ?
Ou l'autre là, ce grand dindon Tom Hanks ...


et puis...
et puis..
et puis...
et puis..
et puis...
et puis..
Cruise....... Robbins...
et puis...
et puis..
et puis...
et puis..
et puis...
et puis..
Rien je vais me faire traiter de grincheux encore...


Help !!! J'en ai aucun ( à part les préférés des Coen/Tarenitno et cie )

Pauvre Nolte, has been de chez les has been. Bon, juste parce qu'il m'é ému dans Affliction mais autrement...
Dimanche 07 février à 22h25
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phil69 (4090)
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Proposeriez vous mieux ?

Je n'en doute pas !
Lundi 08 février à 12h51
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Le coup de bluff du XXI siècle !
Les acteurs c'est comme les présidents, encore heureux qu'on puisse les décrocher de l'affiche, surtout quand ils sont mauvais ; la rançon du succès. Merci de flatter mon ego, phil69... hem ...
Bon, revenons à nos moutons, petit jeu, ce n'est plus un acteur, c'est un magazine à lui tout seul, qui est-ce ?
Indice, lui et sa bande de potes proprets, les Appollons nous ont fait le même coup que les Appolo... Ils sont toute une bande de romains à me les gonfler secrètement.

Faut taper chez eles Indés, chez ceux qui ne tournenet pas beaucoup , les chieurs ou les has been sur le retour, employés à rebours. Et là, y'a du matons, du bon ( la reconversion de Rourke/Carradine - rip - est super par ex - pour les sourds - plutôt que de nous resservir les mêmes, Nicholson au hasard ;-) ! Ou notre vieux James Bond... Tenez, si vous voulez vous amuser, tapez dans Google ces noms d'acteurs, et vous allez voir le nombre dingo de films alimentaires on va dire, qu'ils tournent entre deux bons films !! ) .
Lundi 08 février à 15h48
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sankukai (2949)
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Mon Cher Commode

J'ai réservé pour quelques happy few triés sur le volet la totalité des places disponibles. Par conséquent ce sera une sorte de soirée privée. Privée de tout d'ailleurs puisque nous serons privés de musique, les interprètes ayant reconnu qu'ils ne savaient jouer que du kazoo et encore, puisque le seul morceau qu'ils connaissent tous ensemble est la Macarena.

Ils feront donc un petit happening. On attend Steven Seagal au trampoline entouré par des crocodiles, Denis Hopper en mime pétomane couvert de peinture élastique violette, Ben Affleck tout nu en avaleur de serpents et Kevin dans un numéro de contorsionniste récitant des poèmes bulgares.

Si vous voulez en être je vous donnerai mes coordonnées PayPal (pas d'invites gratos pour le gratin), et ça va coûter bonbon. John G.y sera, David G. aussi, Régine aimerait bien venir et on attend Mick J.
 
Lundi 08 février à 10h43
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boca (1550)
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sankukai
Excellent, quel imagination... Seagal au trampoline ... fini la batterie faut innover ...
Vendredi 12 février à 11h02
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sankukai (2949)
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Boca

En fait Stiveune joue de la guitare et ressemble de plus en plus à Elvis à la fin. Mais j'ignorais qu'il jouait aussi de la batterie. Va falloir créer une ONG pour sauver le tabouret.
 
Samedi 13 février à 01h55
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